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C’est avec joie et honneur

Photographe : Alain Modèle : : Atsuko Site : Akiuonsen, , Artistes (artquid.com)

C’est avec joie et honneur

C’est avec joie et honneur que j’ai reçu un courriel, lequel a été accompagné par des photos réellement magnifiques. En effet, c’est avec joie puisque je ne croyais pas de recevoir un tel courriel en ce début du mois de septembre. C’est également un honneur puisqu’il ne m’est jamais arrivé que l’on me fasse une telle offre depuis que je me dévoue corps et âme à la construction de mon blogue. Enfin, est-il utile de préciser que de telles réalisations photographiques démontrent à la fois la perfection la beauté et le charme de son épouse? Si cela n’avait pas été le cas, je n’aurais pas accepté une telle offre.

De plus, j’aime bien son approche pour magnifier la nudité de son épouse. Une approche fort respectable et qui dénote un œil photographique indéniable. Ceci semble une chose facile pour les néophytes. Or, il n’en est rien. Bien au contraire! En effet, on associe trop souvent nudité et pornographie. Ce qui est rarement l’apanage du milieu des arts à proprement parler. Merci mon Dieu !

J’accepte d’utiliser quelques-unes de ses photos au sein de mon blogue dédié à la nudité artistique, à la poésie et à la photographie ainsi qu’à des réflexions personnelles. Et, pour débuter, j’ai décidé de composer un tel texte de présentation en utilisant certaines des photos que j’utiliserai dans un proche avenir. C’est vraiment une offre qui me réchauffe le cœur en ces temps troublés.

Sincèrement !

Rolland Jr St-Gelais de Québec au Canada

Non à la censure imposée par les bienpensants

Réalisation artistique par Stephen Babin de Trois-Rivière au Canada

Non à la censure imposée par les bienpensants

Bonjour tout le monde,

J’espère que vous allez bien en ce début de la première semaine de l’année 2021. Pour ma part, tout va pour le mieux. En effet, je profite de cette période de confinement pour d’abord, m’occuper de ma belle princesse Goldy, ensuite, pour entretenir mon humble demeure afin de la rendre la plus propice à mes inspirations et, enfin, à poursuivre la rédaction d’articles au sein de mon blogue artistique. Des articles qui sont écrits autant sous forme de poèmes que de proses. D’ailleurs, je vais essayer de rédiger davantage d’articles de réflexion tout au long de la nouvelle année tout en respectant le fondement de ce blogue, à savoir la nudité artistique, et ce en m’inspirant des réalisations faites tant par mes fidèles collaborateurs.  Je profite de l’occasion pour les remercier de leur aide si précieuse et pour souhaiter la bienvenue aux nouveaux venus.

Pour bien commencer cette première semaine du mois de janvier, je souhaiterais m’entretenir d’un sujet qui m’interpelle depuis le jour où ma passion pour la nudité artistique est née, soit depuis quelques années déjà. En fait, il s’agit de la censure à l’égard du nu et, en particulier, là où l’intimité masculine est présente. Un sujet qui peut sûrement faire sourire quelques-uns de mes abonnés, mais qui n’en reste pas moins très sérieux, si l’on tient compte du fait de l’omniprésence de la pornographie sur le web. C’est une réalité que nul d’entre nous ne peut nier, malheureusement.

Mettons les choses au clair une fois pour toutes. Il n’est en aucun cas question de glorifier l’immoralité dans le présent article. Dans les faits, l’objectif serait plutôt d’établir des règles qui délimiteraient la bienséance d’inclure cette partie de l’anatomie masculine au sein d’une œuvre d’art. Bien entendu, pouvoir éviter l’utilisation de barèmes religieux qui avaient jadis servi de garde-fous serait utile dans le contexte actuel où la laïcité se situe au sommet du podium des valeurs occidentales.

Personnellement, je suis contre toutes formes de censure en ce qui me concerne puisque d’une part, cela contrevient à la règle de base de l’art, c’est-à-dire de présenter la réalité telle qu’elle est et, d’autre part, il est difficile d’établir une norme de ce qui serait ou non présentable sur le plan artistique. Ce qui n’empêche pas d’établir des normes selon le public visé. En effet, la compréhension de l’art est avant toute chose une question d’une capacité d’adaptation progressive chez les individus. Un peu au fait que l’on passe d’une nourriture liquide à celle de plus adaptée à notre développement physique. Verrait-on un enfant de six mois consommer un plat fait pour un homme dans la fleur de l’âge? Bien sûr que non. Il en est de même avec les domaines artistiques dans leur ensemble. C’est là une question de logique tout simplement.

Un élément important qui vient s’ajouter à mon refus de la censure se rapporte au phénomène de l’hyper susceptibilité qui prévaut au sein de divers médias sociaux. Une susceptibilité alimentée par la  »gaugauche caviar » et les masses bien pensantes dont l’objectif principal, voire unique, est d’aseptiser la société de tout ce qui pourrait offusquer les âmes sensibles. Or, une société ne peut pas évoluer en évitant toutes formes d’impétuosité. En effet, il faut parfois brusquer les choses afin de justement faire avancer les pensées qui prévalent dans une société donnée et dans une époque précise.

Combien d’œuvres d’art de qualité exceptionnelle sont-elles mises à l’index par des groupuscules? Groupuscules qui n’ont que pour seule volonté, un peu à l’image du stalinisme, de faire table rase de la culture. Une culture dont les critères d’esthétisme des œuvres dignes d’être dans la nomenclature élective, terme emprunté au régime communiste sous l’ère de Joseph Staline et perpétué par ses successeurs, seraient ennuyeux et sans goût. Une œuvre serait indigne d’être qualifiée d’artistique.

Censurer l’art n’est-il pas le prélude au totalitarisme? L’histoire répond à cette question de manière remarquablement positive. Les livres d’histoire regorgent d’exemples parfaits qui démontrent la véracité de mes propos.

Merci de m’avoir lu.

RollandJr St-Gelais de Québec au Canada

La pudeur

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Superbe photo par spitting-to-windard https://www.deviantart.com/spitting-to-windward/art/Smile-838111638

La pudeur

Bonjour tout le monde,

J’espère de tout mon cœur que tout va bien pour vous et pour vos proches. Pour ma part, tout va bien. Ne vous inquiétez pas pour votre humble serviteur, la vie poursuit son cours telle une rivière au printemps. Bon ! Il est vrai que le temps peut parfois sembler long, j’en profite donc pour rédiger des articles sur mon blogue artistique et communiquer avec mes proches par voies électroniques. Une communication qui ressemble étrangement à un voile pudique servant à préserver une distance respectueuse entre les individus.

dancer_by_spitting_to_windward_dduzmzv-preCeci m’amène à discuter d’un sujet peu abordé au sein de mon blogue. Un sujet que je pourrais formuler en une question à la fois simple et sans ambiguïté. Quelle est l’importance de la notion de pudeur dans le domaine de la nudité artistique ? Ceci sous-entend qu’il faut se mettre d’accord sur ce que la pudeur est et ce qu’elle n’est pas. Selon le dictionnaire Le petit Larousse, la pudeur serait la « … disposition à éprouver de la gêne devant ce qui peut blesser la décence, devant l’évocation de choses très personnelles et, en particulier, l’évocation de choses sexuelles. » 1 Vous comprendrez donc que le fait d’être modèle nu est aux antipodes de graviter dans le milieu de la pornographie. 2

De plus, l’objectif même da la nudité artistique estprancer_by_spitting_to_windward_dduzn1j-pre double. En premier lieu, il s’agit d’étudier les composantes physiques qui touchent la variété des formes du corps humain. Une étude qui se fait très souvent au sein d’un groupe lequel est encadré par du personnel compétent. Il est tout de même vrai qu’il existe plusieurs artistes autodidactes lesquels ont fait leurs preuves de manière formidables. En second lieu, il s’agit d’être capable de dévoiler le modèle vivant selon son propre regard. Un regard apprivoisé, certains diront dompté même si je trouve un tel terme assez dur, sur le corps nu. Un corps nu découvert et présenté à la fois de façon tout à fait originale et bien personnelle.

J’ai écrit de façon originale et bien personnelle puisque chaque artiste aura tôt ou tard sa propre vision du corps du modèle. Une vision qui, à l’image de la pointe d’une mine de crayon au plomb dans un aiguisoir, se raffinera avec le temps. Un raffinement qui perdure au fil des expériences. Ce qui aussi le cas pour le modèle vivant.

En effet, le modèle vivant aura souvent l’impression de ressembler à un nouveau-né faisant ses premiers pas sous les regards attendris de ses parents. À l’exception que les regards qui porteront sur lui ou elle selon le cas seront toujours empreints de respect à son endroit. Un respect qui sera, et devra être, maintenu à chacune des séances qui auront lieu dans l’avenir. Oui, le respect va de pairs avec la notion même de pudeur.

Un dernier élément à retenir concernant la notion même de pudeur. Il ne faut en aucun temps craindre de se surpasser dans les poses de nudité artistique. Le désir de se surpasser naîtra tôt ou tard non seulement chez le modèle vivant mais aussi chez l’artiste qui aura requis ses services. Un tel désir, si un commun accord existe entre les parties présentes, pourrait être la source de réalisations magnifiques tels que soient les supports visuels utilisés.

Je vous remercie infiniment de m’avoir lu.

RollandJr St-Gelais de Québec au Canada

 

  1. https://www.larousse.fr/dictionnaires/francais/pudeur/64989

  2. Certains modèles nus féminins ont choisi pour des raisons qui leur sont personnelles de joindre les rangs de cette industrie. À chacun ses choix.

Une vision féminine sur une partie de l’anatomie masculine

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« L’homme ! » Peinture acrylique par Fa Ph de la Suisse

Une vision féminine sur une partie de l’anatomie masculine

Bonjour tout le monde,

Vous le savez peut-être déjà mais la vie fait souvent bien les choses. En effet, je désirais trouver un sujet original afin de faire sourire quelques-uns, je devrais plutôt écrire quelques-unes, de mes abonnés. Un désir qui a surgi à la suite d’une profonde réflexion face à tout ce qui nous arrive actuellement. Pourquoi ne pas publier un article sur un thème, toujours en lien avec la nudité artistique, qui permettrait de faire sourire mes fidèles abonnés? Chose plus facile à dire qu’à réaliser à première vue!

Fort heureusement, l’univers a répondu à l’appel de votre humble serviteur en me faisant découvrir tout à fait par hasard une réalisation artistique digne d’être acclamée par ceux et celles qui s’intéressent au domaine intimement lié à ce blogue, et ce depuis sa création. En effet, c’est en prenant mon petit-déjeuner en ma modeste demeure que j’ai fait la découverte d’une œuvre réalisée par une artiste-peintre de la ville de Lausanne en Suisse. Une œuvre remarquable tant pour la douceur que pour la vision propre à cette artiste.

À vrai dire il m’était impossible de passer outre devant un tel travail.92025929_684062712343301_7724362441198403584_n C’est pourquoi j’ai demandé à Fa Ph l’honneur de me permettre de publier ce chef-d’œuvre au sein de mon blogue artistique. Un honneur qu’elle a eu l’amabilité d’accepter. Mais, pourquoi donc un tel honneur de publier une telle peinture sur mon blogue, me diriez-vous? Je vous répondrai sans aucune gêne qu’il est rarissime que cette vision de cette région de l’anatomie masculine soit présentée de manière aussi noble et gracieuse, surtout à une époque où la pornographie omniprésente dans nos sociétés de consommation le montre comme un outil de domination envers l’autre, lui enlevant ainsi son caractère sacré.

C’est un fait indéniable. Cette partie de l’anatomie masculine, tout comme celle de l’anatomie féminine, possède une sacralité comme tout le reste du corps humain. Une sacralité qui a été quelque peu galvaudée par la diffusion de la pornographie, surtout depuis l’avènement de l’Internet. (1) Fort heureusement, il existe quelques artistes qui ramènent les choses à l’ordre, si je peux utiliser cette expression, en réalisant des œuvres sur divers supports visuels.

J’ai eu la chance de discuter avec l’artiste en question laquelle a apporté un éclaircissement sur sa vision de cette partie de l’anatomie masculine. Une vision que je qualifierais à la fois d’originale et d’amusante. Une originalité du fait que le nu classique ne lui plait pas trop. Ce qui ne l’empêche pas, bien au contraire, de trouver le corps d’un homme magnifique. Elle aime la sensualité qui s’en dégage et que, selon ses dires, que nous pouvons tout montrer sans qu’il y ait une connotation pornographique. Bref, que ce soit tout simplement beau. Une affirmation appuyée par le fait qu’elle a en sa possession une collection de nus.

À cela s’ajoute, comme je l’ai précédemment écrit, une vision amusante chez cette artiste. En effet, n’allez pas croire qu’elle voit cette partie de l’anatomie masculine avec un œil sévère. Bien au contraire !

92133904_10222792596547721_209156858546487296_oPar exemple, à la question un peu stupide à savoir lequel des deux modèles anatomiques a-t-elle préféré immortaliser? (2) Ce à quoi elle m’a répondu ; « j’ai aimé les deux… le circoncis était mon premier et le mon tableau préféré de tous ce que j’ai réalisé. Cependant, j’ai eu beaucoup de plaisir à faire l’autre car il y a beaucoup plus de travail au niveau des détails. » Il est facilement compréhensible en regardant la minutie des détails de cette peau présente dans le dessin au sein de ce paragraphe que la maîtrise de la technique est très exigeante. Une exigence nécessaire pour rendre ce morceau, pour employer l’expression utilisée par l’artiste elle-même, beau à ses yeux.3

En résumé, comme la vie fait parfois bien les choses. Non seulement, j’ai pu faire la découverte d’une œuvre d’art digne de mention mais j’ai aussi fait la rencontre, du moins virtuelle, d’une artiste au grand talent. Une artiste vivant aux pays des Helvètes. Un des plus beaux pays au monde, après le Canada bien entendu.

Merci infiniment de m’avoir lu.

Merci aussi à Fa Ph pour sa permission.

RollandJr St-Gelais

Québec (Québec)

Canada

  1. N’allez pas croire que je veux être moralisateur. Chacun est libre de faire ce qu’il veut et avec qui il le veut à ces deux conditions. Primo, que ce soit entre adultes consentants et, secundo, et que cela ne nuise en aucune façon au bien-être du prochain.

  2. Vous comprenez qu’il s’agit de celui qui possède ou non un morceau de peau protectrice.

  3. En effet, c’est un morceau qui a des spécificités indéniables. C’est le moins qu’on puisse dire.

Il faut être un connaisseur

Il faut être un connaisseur
« Il faut être connaisseur » Magnifique hoto réalisée par G.B., d’Allemagne deviantArt : https://www.deviantart.com/gb62da/art/Abstract-nude-833256531

Il faut être un connaisseur

Bonjour tout le monde,

J’espère que vous passez une belle journée en ce mercredi. Pour ma part, tout va bien et je profite du temps hivernal pour enrichir mon blogue par la découverte de réalisations photographiques faites par quelques-uns de mes fidèles amis et collaborateurs par le vaste monde. Des réalisations qui sont pour la plupart d’entre elles de véritables pièces maîtresses dans le domaine de la nudité artistique.

Certes, plusieurs de ces photos peuvent déranger les personnes peu ou pas du tout habituées à cette forme d’arts. Une telle méconnaissance les amènera dans la majorité des cas à mélanger la nudité et la pornographie. Vous en conviendrez avec moi que les deux phénomènes sont aux antipodes l’un de l’autre. Qui plus est ! Certaines réalisations peuvent heurter les âmes sensibles, voire prudes, à l’égard de la nudité.

Parfois, il faut posséder un minimum de connaissances afin d’en arriver à faire la part des choses de manière adéquate. Sans vouloir me prendre pour un autre, c’est déjà assez difficile pour moi de me prendre tel que je suis, il faut tout de même reconnaître que mon apport quasi quotidien et les appréciations reçues de la part de mes abonnés démontrent que mon sens critique est tout de même fort acceptable. Un sens critique qui de fil en aiguille s’est développé graduellement avec, je l’avoue, l’aide extraordinaire des artistes qui œuvrent dans ce domaine selon leurs méthodes de travail. Je pense notamment à la photographie mais aussi à celui du dessin.

Quelques fois, il peut s’agir d’un pur chef-d’œuvre photographique sur un corps féminin présenté d’une manière à la fois originale et légèrement provocante. Un pur chef-d’œuvre photographique par le fait que le résultat saura à la fois attirer et garder notre attention allant même à susciter un débat. Une présentation originale d’un corps nu, en l’occurrence celui d’une femme, susceptible d’amener chez le spectateur un regard nouveau. Et, enfin, une légère provocation dans la pose choisie rendant une telle réalisation photographique encore plus attrayante, voire avec un soupçon de mystère. 

Certains d’entre vous dirent qu’une telle photo est trop provocante pour être partagée au sein de mon blogue artistique. Je peux comprendre votre opinion. Toutefois, je leur répondrai ceci : « Rien n’est trop provocateur pour mes yeux admiratifs. » Et la raison réside tout simplement dans ma capacité de découvrir toute forme de beauté là où elle est. Faculté qui semble ne pas être donnée à tout le monde !

Merci de m’avoir lu.

RollandJr St-Gelais

Québec (Québec)

Canada