Vous savez que parfois je découvre des réalisations photographiques qui possèdent des caractéristiques hors du commun. Des spécificités qui les font ressortir du lot des œuvres que j’ai eu la chance de contempler au cours des dernières années où ma passion pour la nudité artistique s’est accrue au fil du temps. Une passion qui peut se comprendre aisément par le fait que cela m’a permis non seulement d’admirer des œuvres dignes de mention, mais aussi à développer des amitiés avec des artistes qui partagent la même passion que votre humble serviteur.
Il va de soi que plusieurs des œuvres peuvent m’attirer plus que d’autres par la manière dont leurs créateurs les ont tirées du néant. En effet, n’oublions pas qu’une œuvre existe déjà dans le monde de l’invisible, c’est-à-dire le monde des rêves et des possibilités. Si vous préférez le monde des arts. Dans ce cas, c’est l’artiste qui le sculpte à même son support de travail privilégié. Ici, tous les supports de travail sont bons surtout si l’artiste en question maîtrise bien son art. Bien évidemment que nul ne peut maîtriser son art sans avoir fait des erreurs. Mais comme dit si bien ce proverbe : « C’est en forgeant que l’on devient forgeron. »
Ceci écrit, une question se pose : Pourquoi une telle photo a-t-elle attiré mon regard ? Dit autrement, pour quelle raison j’aime cette photo ? La raison est simple. C’est parce que l’on y trouve un cachet particulier. Un cachet inhérent à l’image même de la nudité. En effet, une telle photo permet aux spectateurs d’inverser les rôles « modèle nu versus photographe ». Cela met en perspective une vérité indéniable de l’existence humaine. C’est que nous sommes tous semblables malgré les vêtements que nous portons. Enfin, c’est mon opinion bien modeste et sans prétention.
En résumé, je peux affirmer avec certitude qu’il s’agit bien d’une superbe photo réalisée avec un soin méticuleux et avec un angle de présentation tout à fait magnifique.