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Un regard d’amour
Un regard d’amour
Qu’ai-je fait ?
Pourquoi suis-je parti ?
Vers d’autres cieux, en d’autres pays ?
Alors qu’à côté se trouvait celle que j’aimais ?
J’ai parcouru bien des chemins,
Rencontré des géants et des nains,
Fait la connaissance de sorciers et de magiciens,
Tenu de véritables trésors entre mes pauvres mains.
J’ai bu des vins succulents,
J’ai senti des parfums enivrants,
J’ai connu des femmes ensorceleuses,
Qui m’envoûtèrent de leurs paroles telle une berceuse.
J’ai cherché ce que j’avais quitté,
Que j’avais abandonné dans ma folie,
Croyant aveuglément qu’il y avait mieux dans la vie,
Alors que rien ne vaut la quiétude de son propre foyer.
C’est en marchant péniblement,
Sur une route étrangère assurément,
Que j’ai sorti une photo d’elle délicatement,
De ma poche où je l’avais cachée précieusement.
Me souvenant alors,
Que le véritable amour vaut de l’or,
Qu’aucun trésor ne pourra égaler la beauté,
De celle que mon cœur perdu a sans cesse aimée.
Un regard d’amour ! Voilà ce que j’ai trouvé.
Un regard d’amour ! Voilà celle que je veux regagner.
Un regard d’amour ! Voudra-t-elle que j’aille la retrouver ?
Un regard d’amour ! Pourra-t-elle seulement me pardonner ?
De tous les mots de ces pays étrangers,
Aucun n’est semblable à ceux qu’elle a prononcés,
Prononcés dans la pénombre de la nuit aussitôt tombée,
Avec son regard d’amour elle me disait : Sans cesse je t’aimerai.
De
RollandJr St-Gelais
Québec (Québec)
Canada
Je pense donc je…
Je pense donc je…
Je pense donc je…
Que parfois la vie est un jeu,
Jeu de mains ! Jeux sans lendemain !
Où il n’y a que des géants et quelques nains.
Pourquoi penser?
À quoi sert de jongler?
La vie offre tant de réponses,
Qu’elles nous absorbent telle une éponge.
Savez-vous quoi ?
Si il y a une seule vérité en ce monde,
Avec ces merveilles et tellement de choses immondes,
C’est que malgré ce que l’on croit, il n’y a ni reines ni rois.
Il n’y a que des hommes semblables en dedans,
Qu’ils soient des noirs ou bien qu’ils soient des blancs,
Gens de grande pauvreté ou bien qui vivent dans l’opulence,
Aucun d’entre eux ne peut revivre la douceur de la tendre enfance.
De