J’espère de tout mon cœur que vous vous portez bien et que vous pouvez profiter du beau temps ensoleillé que nous avons ces jours-ci. Pour ma part, tout va à merveille. En effet, je me prépare à vivre une aventure qui se veut être prometteuse en fait d’expérience dans mon domaine de la nudité artistique. Une aventure qui se passera au courant de cet été. Je ne peux pas en dire plus pour le moment. Soyez assurés que vous en saurez plus le moment venu.
Sous un autre ordre d’idées, je continue à dialoguer avec certains artistes qui excellent dans leurs domaines respectifs dont notamment le dessin du nu. Or, il y a parmi ces artistes une femme au talent extraordinaire qui réussit, avec brio et intelligence, à réaliser des œuvres d’arts tout à fait sublimes. Elle s’intéresse, entre autres, au sexe masculin. Et quand j’écris sexe masculin, c’est réellement le cas, puisqu’elle met l’accent sur cette partie de l’anatomie de l’homme.
Mais, attention! Elle le fait avec un sens professionnel remarquable et avec un respect qui transparait dans le résultat final. Or, qui dit sens professionnel ne veut pas forcément dire rendre les choses compliquées. Comme elle me l’a expliqué à l’occasion d’une petite interview bien amicale elle m’explique ceci : « Je commence toujours par peindre ma toile en noir. Ensuite, j’utilise du beige très clair juste pour l’esquisse, c’est-à-dire les proportions et les formes. Et enfin, je termine le tout uniquement avec du blanc et du noir. »
Un élément fort intéressant à retenir, c’est que l’artiste en question est totalement concentrée lorsqu’elle travaille sur ses œuvres. Il n’est donc pas question de se laisser divaguer à des pensées, disons-le avec un brin d’humour, coquines. Comme on dit si bien : « Chaque chose en son temps et un temps pour chaque chose. » Autrement dit, son modèle du moment est là uniquement à titre de modèle rien de plus. Et, selon ses dires, elle est imperturbable sur ce point.
Enfin, toutes ses explications démontrent jusqu’à tel point elle souhaite présenter cette partie, trop souvent présentée à mauvais escient dans les films pornos, de l’homme. Voici donc … The man.
Une vision féminine sur une partie intime de la femme par Fa Ph
Une vision féminine sur une partie intime de la femme
Bonjour tout le monde,
Vous le savez d’ores et déjà que la vie m’a donné la chance incroyable de rencontrer des gens possédant à la fois des talents immenses et une ouverture d’esprit peu commune. Des talents dans des domaines et sur des sujets que je n’aurais jamais soupçonnés un seul instant de ma vie. Des sujets de travail rendus possibles grâce notamment à cette ouverture d’esprit dont certaines personnes ont su développer au fil des années. J’ignore si vous saisissez ce qu’une telle occasion représente à mes yeux, mais je rend grâce au Ciel que cela m’est arrivé. Une occasion qui m’a aussi permis de découvrir des œuvres tout à fait remarquables qui représentent, entre autres, des parties de l’anatomie qu’une majorité de gens, sans vouloir porter un jugement irrévérencieux à leur égard, n’oseront jamais évoquer sur le plan artistique.
Ce qui est le cas, mais pas exclusivement, des artistes féminins surtout si le sujet d’étude concerne les parties intimes du corps humain. Vous avez sûrement deviné qu’il ne s’agit aucunement des pieds, des mains ou encore de nez dont je fais référence dans mes propos, mais bien d’organes propres à la procréation ou, si vous préférez un terme plus explicite, servant à une bonne baise.1
Il est tout de même vrai que de choisir un tel sujet de travail est loin d’être une sinécure pour la majorité des artistes œuvrant en arts visuels, et ce peu importe le support utilisé. Une difficulté inhérente à l’exploitation pornographique qui n’a eu de cesse de grandir au cours des trente dernières années et en particulier depuis l’avènement de l’internet lequel regorge de sites pornos plus ou moins légaux.2 Réaliser une œuvre artistique qui a le sexe pour terme principal est loin de faire l’unanimité tant aux yeux du grand public qu’aux yeux de la communauté artistique. Voilà pourquoi, il est impératif que la décision soit mûrement réfléchie et que l’angle avec lequel l’artiste désire prendre appuie soit simple et original. Telle une soupe, une pincée de sel et de poivre suffit pour la rendre délicieuse alors que d’en mettre un peu trop la gâchera.
Rares sont les artistes qui savent, à l’image d’un chef cuisinier, réaliser avec brio une œuvre dont le sujet est les parties intimes. Or, il y en a une qui possède cette disposition extraordinaire. Une artiste dont j’ai déjà rédigé un texte de présentation et un article sur l’une de ses œuvres. Une œuvre qui m’a littéralement bouleversé tant par la beauté même du résultat que par son cachet. Une œuvre qui m’a incité à savoir qui est son auteure. Bref, qui était Fanny ? Un article qui a été accueilli chaudement tant auprès de mes nombreux abonnés que ceux de cette artiste du pays des Helvètes.
À l’œuvre présentant un sexe masculin dans sa position de repos, l’artiste a récidivé en réalisant un dessin qui a mis l’emphase sur l’ensemble des parties intimes de la femme. Une présentation que je qualifie volontiers être de bon goût et tout en douceur. Une peu comme si elle voulait y poser un filtre afin de ne point offenser le commun des mortels. En effet, une telle présentation peut heurter les âmes dites sensibles. La réalité de la vie est ainsi faite.
Une question doit certainement vous venir à l’esprit. Une question que je formulerais ainsi ; pourquoi suis-je interpelé par une telle réalisation artistique sur la partie la plus intime du corps féminin ? Ma réponse est à double volet. En premier lieu, le choix d’utiliser les différentes teintes de noir et blanc afin de décrire dans les moindres détails cette région anatomique spécifiquement féminine est tout à fait formidable. En effet, cela lui donne une certaine aura de mystère tel qu’éprouverait un amant la nuit où il ferait l’amour à sa maîtresse pour la première fois loin des yeux à la fois inquisiteurs et accusateurs, voire envieux et jaloux de leur bonheur interdit. En second lieu, la minutie avec laquelle les détails de cette vulve, il faut savoir dire les choses avec les bons mots si on veut éviter toutes formes de grossièreté, démontre le sens professionnel de cette artiste. Tout y est dessiné avec une qualité remarquable. Une qualité qui rend justice à la noblesse de toutes femmes, jeunes et moins jeunes, qui forment avec les hommes l’humanité. Une noblesse qui démontre de manière indéniable que chaque partie du corps humain mérite un respect absolu.
Je termine cet article en remerciant vivement Fanny de la Suisse pour m’avoir donné sa permission d’utiliser son œuvre pour rédiger cet article. Une rédaction qui, à voir le nombre de paragraphes, m’a beaucoup plu. Et pour cause puisqu’il est rarissime qu’un tel dessin à la fois magnifique et de grande qualité soit fait sur un sujet si particulier.
RollandJr St-Gelais de Québec au Canada
Parfois, il faut dire les choses comme elles le sont afin de se faire clairement comprendre. Qu’on le veuille ou non.
En effet, le caractère légal des sites pornographiques varient de manière considérable d’un pays à l’autre. Ce qui ouvre la voie à des sites qui sont, avouons-le franchement, répugnants.
C’est avec un plaisir immense que je vous présente un dessin réalisé par mon ami Noble Roro de la France. Un dessin qui montre certaines parties de l’anatomie féminine avec un angle bien particulier. Un peu comme si nos yeux s’y poseraient avec une délicatesse attentionnée. Ce qui est tout à fait normal puisque rien en ce monde possède autant de beauté que le corps féminin.
C’est avec grand plaisir que je vous présente trois œuvres réalisées par mon ami Noble Roro de la France. À vrai dire, il s’agit de trois dessins qui mettent, si je peux m’exprimer ainsi, en vedette deux parties de l’anatomie de la femme. Deux parties qui agrémentent la vision de l’homme.
Bon ! Je reconnais que rien ne vaut la gracieuse beauté du visage d’une jolie femme. Mais, avouons-le, les deux parties que je vous présente dans le présent article sont réalisées avec un touche de créativité bien personnelle à mon ami Noble Roro. Une touche qui donne une originalité à chacun de ses dessins.
Merci de m’avoir lu !
RollandJr St-Gelais de Québec au Canada
Cacher ce sein que je ne saurais voir. Par Noble Roro
Cacher ce sein que je ne saurais voir ? Mais, pas du tout. Quelle est la plus noble création de la nature que le sein d’une femme ? Magnifique dessin, mon ami.
Un peu de lait Par Noble Roro
Un peu de lait pour mon café s’il-vous-plaît ! Joli des sein. Bravo !
Quel joli postérieur ! Par Noble Roro
Quel joli postérieur ! Un postérieur que j’admire de bon cœur. Un postérieur rieur? moqueur? Que je peux caresser avec bonheur? Magnifique dessin.
J’ai décidé de vous présenter une critique personnelle à propos d’une réalisation photographique réalisée par James Fraser du Royaume-Uni. Certes, ce n’est pas la première fois qu’une telle critique est faite par votre humble serviteur sur l’une de ses œuvres mais je dois avouer que je réponds à sa demande publiée sur sa page au sein du site DeviantArt. Quant à répondre favorablement à sa requête, j’ai cru qu’il serait approprié de partager ma critique au sein de mon blogue artistique. Et ce, pour votre PLUS GRAND plaisir et le mien.
Un élément majeur est à retenir dans le cas présent, une telle photo sur cette partie de l’anatomie du corps humain est loin d’être aisée à réaliser surtout si l’on tient compte qu’il s’agit d’un corps de femme. Une difficulté liée de près à l’image hyper sexualisée de la nudité au sein de notre société actuelle. (1) Doit-on s’en étonner devant la consommation quasi effrénée des sites pornographiques disponibles sur le web? Je ne le pense pas.
Pour en revenir à ma critique artistique d’une telle photo, je vous dirai qu’il y a trois aspects qui la rendent réellement intéressante. Trois aspects qui peuvent échapper à un néophyte dans le domaine du nu et qui méritent d’être démontrés dans ce présent article.
Le premier point à noter est qu’il appert que le choix de la teinte bleuâtre rend le résultat agréable à regarder. En effet, une telle teinte adoucit le choix de la pose faite par du modèle et accepté par le photographe. Bon ! Le contraire est aussi possible. Qui plus est ! L’agencement des ombres démontre une recherche d’originalité de la part du photographe.
Et pour approfondir ma réflexion sur un tel agencement, deuxième point à retenir, je vous dirais que les ombres donnent une certaine aura de mystère sur les parties intimes du modèle. Une aura semblable à un voile pudique lentement déposé sur cette région la préservant ainsi des regards mal-attentionnés et qui n’ont certes pas leur place dans le domaine de la nudité artistique. (2) Une pudeur qui semble être occultée par une proportion considérable d’individus. Triste constat, je l’admets avec regret.
Enfin, le dernier point se rapporte sur mon impression tout à fait personnelle que celui qui découvre une telle photo en arrive à la toucher par un simple regard tout en le faisant avec une précaution minutieuse. Un peu comme si cette partie du corps du modèle serait de porcelaine. Par ailleurs, c’est par une telle fragilité qui transcende cette photo qui lui attribue une beauté si particulière.
J’en conviens qu’une telle critique artistique au sein de mon blogue peut paraître long à lire. Toutefois, j’ai désiré développer ma critique de manière à susciter un certain débat au sein de mes fidèles abonnés. Savez-vous pourquoi ? Tout simplement, et contrairement à ce que le dicton affirme, les goûts se discutent très bien sans pour autant les imposer à autrui.
Merci de m’avoir lu.
RollandJr St-Gelais
Québec (Québec)
Canada
Je devrais plutôt écrire sur l’ensemble des sociétés et ce peu importe les époques. En effet, chaque époque reflète à la fois les interdits et les permis véhiculés par les populations lesquelles sont assujetties de manière plus ou moins formelle aux principes imposés par les règles civiles et plus particulièrement les institutions religieuses. L’histoire regorge d’exemples qui peuvent avec une facilité déconcertante démontrer la véracité de mes propos.
N’oublions que la pornographie et la nudité artistique se situent aux antipodes l’une de l’autre. Certes, il peut arriver que la seconde ait de manière occasionnelle une certaine forme érotisme sans pour autant verser dans l’obscénité.