En cette journée du 1er juin 2020, je désire faire un petit clin d’oeil à une femme dont la beauté légendaire a fait le tour du monde. Une beauté qui a fait tourner bien des têtes de bien des gens tout en suscitant quelques envies chez la gente féminine. Une beauté qui illustre à la perfection le faste de la fin des années 1950 au début des années 1960.
Une époque dans laquelle les hommes avaient le droit de leur masculinité et les femmes fières de leur féminité. Une époque dans laquelle le rêve américain était l’apanage du succès et du bonheur. Une époque dans laquelle tout était possible, tout était réalisable. Une époque dans laquelle la beauté était loin d’être péché. Une époque qui semble être révolue, malheureusement.