Où il me sera permis de t’aimer
Soleil levant,
Qui me tire du néant,
Du royaume de mon sommeil ,
Où rien en ce monde est pareil.
De ce noir qui m’entoure,
Jusqu’aux caresses du petit-jour,
Dignes d’un conte de fée qui me fait rêver,
Rêver de ce moment mirifique où je t’ai rencontrée.
Je ne sais plu qui je suis,
Je ne sais plu pourquoi je suis là,
Je ne sais simplement pas comment faire,
Je ne sais vraiment pas comment me défaire.
Me défaire de cette crainte de te déplaire,
Crainte lourde à mes pieds telles que des fers,
Fers que je briserais pour te trouver pour te chercher,
Pour t’amener dans ce monde où il me sera permis de t’aimer.
De