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Non à la censure imposée par les bienpensants

Réalisation artistique par Stephen Babin de Trois-Rivière au Canada

Non à la censure imposée par les bienpensants

Bonjour tout le monde,

J’espère que vous allez bien en ce début de la première semaine de l’année 2021. Pour ma part, tout va pour le mieux. En effet, je profite de cette période de confinement pour d’abord, m’occuper de ma belle princesse Goldy, ensuite, pour entretenir mon humble demeure afin de la rendre la plus propice à mes inspirations et, enfin, à poursuivre la rédaction d’articles au sein de mon blogue artistique. Des articles qui sont écrits autant sous forme de poèmes que de proses. D’ailleurs, je vais essayer de rédiger davantage d’articles de réflexion tout au long de la nouvelle année tout en respectant le fondement de ce blogue, à savoir la nudité artistique, et ce en m’inspirant des réalisations faites tant par mes fidèles collaborateurs.  Je profite de l’occasion pour les remercier de leur aide si précieuse et pour souhaiter la bienvenue aux nouveaux venus.

Pour bien commencer cette première semaine du mois de janvier, je souhaiterais m’entretenir d’un sujet qui m’interpelle depuis le jour où ma passion pour la nudité artistique est née, soit depuis quelques années déjà. En fait, il s’agit de la censure à l’égard du nu et, en particulier, là où l’intimité masculine est présente. Un sujet qui peut sûrement faire sourire quelques-uns de mes abonnés, mais qui n’en reste pas moins très sérieux, si l’on tient compte du fait de l’omniprésence de la pornographie sur le web. C’est une réalité que nul d’entre nous ne peut nier, malheureusement.

Mettons les choses au clair une fois pour toutes. Il n’est en aucun cas question de glorifier l’immoralité dans le présent article. Dans les faits, l’objectif serait plutôt d’établir des règles qui délimiteraient la bienséance d’inclure cette partie de l’anatomie masculine au sein d’une œuvre d’art. Bien entendu, pouvoir éviter l’utilisation de barèmes religieux qui avaient jadis servi de garde-fous serait utile dans le contexte actuel où la laïcité se situe au sommet du podium des valeurs occidentales.

Personnellement, je suis contre toutes formes de censure en ce qui me concerne puisque d’une part, cela contrevient à la règle de base de l’art, c’est-à-dire de présenter la réalité telle qu’elle est et, d’autre part, il est difficile d’établir une norme de ce qui serait ou non présentable sur le plan artistique. Ce qui n’empêche pas d’établir des normes selon le public visé. En effet, la compréhension de l’art est avant toute chose une question d’une capacité d’adaptation progressive chez les individus. Un peu au fait que l’on passe d’une nourriture liquide à celle de plus adaptée à notre développement physique. Verrait-on un enfant de six mois consommer un plat fait pour un homme dans la fleur de l’âge? Bien sûr que non. Il en est de même avec les domaines artistiques dans leur ensemble. C’est là une question de logique tout simplement.

Un élément important qui vient s’ajouter à mon refus de la censure se rapporte au phénomène de l’hyper susceptibilité qui prévaut au sein de divers médias sociaux. Une susceptibilité alimentée par la  »gaugauche caviar » et les masses bien pensantes dont l’objectif principal, voire unique, est d’aseptiser la société de tout ce qui pourrait offusquer les âmes sensibles. Or, une société ne peut pas évoluer en évitant toutes formes d’impétuosité. En effet, il faut parfois brusquer les choses afin de justement faire avancer les pensées qui prévalent dans une société donnée et dans une époque précise.

Combien d’œuvres d’art de qualité exceptionnelle sont-elles mises à l’index par des groupuscules? Groupuscules qui n’ont que pour seule volonté, un peu à l’image du stalinisme, de faire table rase de la culture. Une culture dont les critères d’esthétisme des œuvres dignes d’être dans la nomenclature élective, terme emprunté au régime communiste sous l’ère de Joseph Staline et perpétué par ses successeurs, seraient ennuyeux et sans goût. Une œuvre serait indigne d’être qualifiée d’artistique.

Censurer l’art n’est-il pas le prélude au totalitarisme? L’histoire répond à cette question de manière remarquablement positive. Les livres d’histoire regorgent d’exemples parfaits qui démontrent la véracité de mes propos.

Merci de m’avoir lu.

RollandJr St-Gelais de Québec au Canada

Pleinement homme

Pleinement homme

Pleinement homme

Peinture : Acrylique sur toile Par Stephen Babin

Bonjour tout le monde,

En cette semaine de Noël, il m’a paru bon de rédiger un article sur un aspect peu abordé au sein de mon blogue artistique. Je fais ici référence à l’un des personnages, bien avant les Beatles[i], qui a marqué l’histoire de l’humanité. Qui plus est! Le fait qu’il n’ait absolument rien écrit, qu’il ait parcouru toute une région loin d’être prospère tout en étant dominée par une puissance étrangère et, finalement, qu’il ait réussi malgré cela à transmettre un message de paix relève d’une certaine manière d’un véritable miracle.

Bien des théologiens ont écrit sur cet homme et sur l’aspect divin qui, semble-t-il, lui aurait permis à la fois d’atteindre les gens au fond de leurs êtres, de leurs cœurs et de leurs âmes et de manifester une puissance au service des plus démunis de son époque. Qui était-il vraiment? Malgré le fait que je sois catholique et pratiquant tout en ayant une formation en théologie, je considère qu’il est pour moi préférable d’éviter d’écrire sur sa divinité, et encore moins, de la place qu’il occupe au sein de la Sainte Trinité. Je laisse donc la place aux théologiens catholiques, orthodoxes et protestants qui se sont penchés sur cette épineuse question[ii].

Ici, je préfère exprimer mon opinion en toute modestie sur un aspect peut-être moins approfondi par les différents courants théologiques sur le Christ. Courants que l’on nommera avec le temps, la christologie et qui aura à son tour une influence énorme au sein de la mariologie. Vous noterez que les deux sont intimement reliés tant chez l’Église catholique que chez les églises orthodoxes, et ce depuis les Pères de l’Église[iii].

Qui était donc Jésus de Nazareth? Je souhaite répondre à cette problématique sous trois orientations. En premier lieu, l’homme de son époque. En deuxième lieu, l’homme sans compromis allant jusqu’à accepter un destin tragique. En dernier lieu, l’homme qu’il pourrait être à notre époque. Trois orientations que je tenterai d’approfondir de manière concise.

Tout d’abord, un homme semblable à ses contemporains. Un homme limité dans le temps puisqu’il vivait à une époque sensiblement aux antipodes de la nôtre, avec ses bons et ses mauvais côtés. Un homme purement charnel avec des désirs, des frustrations, des moments de bonheur et de tristesse. Un homme qui devait faire face à bien des inquiétudes, à d’innombrables questions et à des situations propres à sa situation économique. Et la liste peut s’allonger presque indéfiniment.

Ensuite, Jésus était de l’avis même de certains de ses congénères, un homme qui parlait avec autorité. On pourrait même dire qu’il était sans compromis dans ses prises de décisions et qu’il prenait même un certain plaisir à retourner les propos de ceux qui osèrent lui tendre un piège. D’ailleurs, il est intéressant de noter qu’à l’époque du renouveau religieux, conséquence indirecte du mouvement Peace & Love des années 1960, certains théologiens allèrent jusqu’à lui affubler le titre de Super Star. Un Jésus qui surfe sur une nouvelle vague tellement ses décisions allèrent à contresens de tout ce qui a été promulgué jusque-là. Personnellement, je n’irai pas jusqu’à dire que Jésus est une Super Star, mais qu’il est plutôt un homme dans le vrai sens du terme. Un homme qui a su mettre ses culottes quand il le fallait. Un homme qui ne craignait pas de dire ce qu’il pensait et qu’il pensait ce qu’il disait souvent au grand dam des gens ayant une haute opinion d’eux-mêmes.

Enfin, quel homme serait-il donc à notre époque? Une époque où la censure est omniprésente, où les moindres faits et gestes sont rapportés au sein des médias sociaux et où tout est passé au peigne fin. Nous ne pouvons pas nier cette censure qui empoisonne la vie de bon nombre de commentateurs et d’éditorialistes qui doivent subir les foudres de groupuscules à la recherche de gens qui expriment des opinions non conformes à leurs doctrines idéologiques. Nous pouvons nous douter que Jésus, je parle ici de l’homme en chair et en os, en prendrait pour son rhume. Ici, toutes les possibilités existent.  Ne dit-on pas à chaque époque, sa réalité?

En résumé, il n’est guère facile de comprendre qui est Jésus en tant qu’homme puisque pour en arriver nous devons impérativement le placer dans les contextes socio-économique et politique dans lesquels il a vécu. De plus, l’interprétation évolutive de ce personnage au cours de l’histoire est un élément important à retenir. C’est un fait que notre vision collective actuelle de Jésus est fort différente de celle qui prévalait, à titre d’exemple, chez les gens de la Renaissance. Elle le sera davantage dans les décennies à venir.

Merci infiniment pour votre attention.

Rolland Jr St-Gelais de Québec au Canada

[i] Je fais ici référence à une phrase prononcée par John Lennon selon lequel les Beatles était plus populaire que le Christ.

[ii] Trois courants religieux qui ont développé une christologie tout à fait remarquable.

[iii] Dont les écrits ont été grandement influencés par la philosophie grecque.

Grande vérité

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DeviantArt du photographe RickB. : https://rickb500.deviantart.com/ 
Pour acheter un exemplaire du portfolio, écrire à cette adresse email : rickB@arcor.de

Grande vérité

L’érotisme fait partie de la vie, la censure fait partie de l’hypocrisie du monde ! :)

Selon mon ami Joel Pèlerin de l’Île de la Réunion

RollandJr St-Gelais de Québec au Canada

Rappelez-vous …

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« Thérèse rêvant » de Balthus

Rappelez-vous … 

« Rappelez-vous l’époque des nazis où l’on devait brûler les œuvres qui ne correspondaient à leur « idéologies ». »

RollandJr St-Gelais de Québec au Canada

Une pétition à New York pour que le Metropolitan Museum retire une toile de Balthus

Des New-Yorkais ont lancé une pétition exigeant que le Metropolitan Museum of Art retire une toile de Balthus datée de 1938 où une jeune fille, un pied posé sur la chaise où elle est assise, montre le fond de sa petite culotte, rapporte le New York Post. Il n’en est pas question, a répondu le Met.

L’œuvre accrochée dans les salles du Met, baptisée « Thérèse rêvant », montre une « fille prépubère » dans une pose « suggestive », selon la pétition, qui avait été signée, lundi en milieu de journée, par plus de 7300 personnes.
 
« Il est gênant que le Met expose fièrement une telle image », estime le texte, écrit par Mia Merrill, entrepreneuse de 30 ans, à l’initiative de la pétition. Elle souligne que le Met est « un des musées les plus grands et les plus respectés des Etats-Unis ».
 
« Balthus avait un penchant notoire pour les filles à peine pubères et cette peinture présente une image romantique d’une enfant érotisée », regrette le texte.

Le Met n’a pas l’intention de retirer la peinture

Un représentant du Met a affirmé au New York Post qu’il n’était pas question de retirer la peinture, parce ce que l’art est le reflet de différentes époques, pas seulement la période actuelle. « Notre mission est de rassembler, étudier, conserver et présenter des œuvres d’art significatives de tous les temps et toutes les cultures pour mettre le public en contact avec la création, le savoir et les idées », a expliqué Kenneth Weine, porte-parole du musée.

Source : https://culturebox.francetvinfo.fr/arts/peinture/une-petition-a-new-york-pour-que-le-met-museum-retire-une-toile-de-balthus-266367

La nudité est tellement belle.

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La nudité est tellement belle.

Bonjour tout le monde,

Vous ne le savez peut-être pas, mais j’ai deux profil Facebook, ce qui est bien pratique au cas de blocage temporaire pour cause de publications ne correspondant pas aux critères de la censure sur ce réseau social. J’ai plusieurs « amis-es » sur ces deux profils dont plusieurs partagent avec votre humble serviteur une passion pour la nudité artistique. Une passion qui m’anime au plus profond de mon être.

Certaines de ces personnes ont des pages où elles publient plusieurs créations glanées ici et là sur le web. Il va de soi qu’il m’arrive de commenter certaines de leurs publications. Or, une des publications récemment mise en ligne concerne cette magnifique peinture. Je suis devenu vraiment ému par toute la beauté et le charme contenus dans cette peinture. Je tiens à remercier la présentatrice, du nom de Flaviana, qui a eu l’amabilité de poster une telle photo au sein de son groupe.

Oui, et c’est un fait indéniable, la nudité est tellement belle lorsque le respect y est présent. Et vous ? Qu’en pensez-vous ? Merci de m’avoir lu !

RollandJr St-Gelais

Québec (Québec)

Canada