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Que la musique est terminée
- DeviantArt du photographe RickB. : https://rickb500.deviantart.com/ Pour acheter un exemplaire du portfolio, écrire à cette adresse email : rickB@arcor.de Poème écrit par RollandJr St-Gelais de Québec au Canada
Que la musique est terminée
Je pense souvent à toi mon amour,
Une pensée qui me vient toujours,
Lorsque je suis seule dans mon lit,
Car rien ne va depuis que tu es parti.
Tu m’as fait tant de promesses,
Sous une multitude de caresses,
Me couvrant de tes baisers,
De la tête jusqu’aux pieds.
Tu me chantais douce romance,
Pendant que je bougeais les hanches,
Tu m’abreuvais de tes mielleuse paroles,
Que je croyais car de toi j’étais folle.
Tu as pris tes affaires en me disant tout est fini,
Pourquoi m’avoir caché cette terrible vérité?
Qu’une autre femme dans ta vie tu as aimée,
Alors que je voulais passer avec toi ma vie.
Il ne me reste plus que ton instrument,
Avec lequel tu jouais pendant très longtemps,
Je l’ai pris dans mes mains avec le cœur brisé,
En découvrant pour de bon que la musique est terminée.
De
RollandJr St-Gelais
Québec (Québec)
Canada
Prisonnière de mon amour
- DeviantArt du photographe RickB. : https://rickb500.deviantart.com/ Pour acheter un exemplaire du portfolio, écrire à cette adresse email : rickB@arcor.de
Prisonnière de mon amour
Cela fait si longtemps que je suis ici,
Au fait, quelle est la date d’aujourd’hui ?
Je me rappelle le jour ensoleillé de mon entrée,
C’était, si je me souviens bien, par une belle journée d’été.
J’ignores ce que j’ai dit,
Encore moins ce que j’ai fait,
Mais dites-moi qui je suis, où je vis et où je vais,
Suis-je ici pour encore quelques jours ou bien pour la vie ?
Mon seul crime a été d’aimer,
Aimer celui qui m’a donné une raison d’exister,
Aimer jusqu’à m’extirper toute signe de vie en moi,
Lorsqu’il m’annonça qu’il voulait quitter la chaleur de notre toit.
Entourée de ces murs blancs,
Qui me font penser à la neige quand j’étais enfant,
Durant l’hiver où mes parents m’avaient offert une poupée,
Une poupée à qui je prodiguais des soins tel un petit bébé.
Déjà, j’avais tellement d’amour à donner,
Pour combler l’absence de mes parents si occupés,
À réaliser de si importants projets d’affaires,
Que de moi, ils en n’avaient rien à faire.
Je me rappelle cette lame dans la salle de bain,
Que j’avais trouvée et que j’ai prise d’une seule main,
La portant à mon poignet d’où des filets de sang jaillissaient,
Ah mon chéri, si seulement, si tu savais comme je t’aimais.
Je voulais vivre avec toi pour toujours,
Je désirais te faire l’amour de nuit comme de jour,
Je te souhaitais de tout mon être ton bonheur à chaque heure,
Mais quelle est désormais ma raison de vivre lorsque tu me brisas le cœur ?
De