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Ô mon bel ange! Sauve-moi!

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Modèle: Olga Avec la permission de R. de la Suisse

 

Ô mon bel ange! Sauve-moi!

 

Engouffré dans les ténèbres de cette nuit qui m’envahit,

Toutes mes craintes menacent ma raison d’être et de survie,

De ce crépuscule tellement infernal qui s’annonce pour l’éternité,

Serais-tu, ô toi mon bel ange, envoyé d’une bienfaitrice divinité?

 

Mes pas s’enlisent dans la mouvance de mes songes,

Face à mes incertitudes, je n’en finis plus de me ronger les ongles,

Tends vers moi tes bras secourables et déploies tes blanches ailes,

Protège-moi de mes ennemis comme ferait un noble aigle.

 

Enlace-moi, moi l’humble être mortel que je suis,

Retardes l’heure fatale, ô mon ange, je t’en supplies,

Vivre près de toi, sentir la douceur de tes lèvres,

Admirer ta beauté qui ferait l’envie de mère Ève.

 

Ô mon bel ange au regard qui pénètre mille défenses,

Recouvre-moi de tes ailes d’une incomparable magnificence,

Viens près de moi que je t’embrasse avec amour et avec passion,

Dans une communion de corps et d’âme que nous nous unissions.

 

Toi qui es assis tout là-haut,

J’ai attendu ta venue depuis l’annonce du héraut,

Entends mes supplications tel que je ferais à un puissant roi,

Ouvres les yeux, tends-moi l’oreille! Ô mon bel ange! Sauve-moi!

 

De

 

RollandJr St-Gelais

Québec (Québec)

Canada

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Bel ange de mes jours ensoleillés

Un véritable ange!
Un véritable ange!

Bel ange de mes jours ensoleillés

 

 Ô toi, douce dame de mes rêves d’aujourd’hui,

Qui me donne une raison de plus de vivre l’instant présent,

Et qui éloigne de mon cœur toutes ces forces du néant,

Je désire simplement avec ces quelques mots te remercier de ton amitié.

 Ô toi, belle dame au cœur tendre et à l’âme sensible,

Crois-moi, je t’en conjure de toute ma personne malgré moi si impure,

Je ne saurai me pardonner de blesser une femme d’une noblesse si pure,

Je te le jure devant les Cieux et sur la Sainte Bible.

 Ô toi, divine beauté qui a su ouvrir mon cœur à ton amicale affection,

Comment pourrais-je te redonner toute cette bienveillance?

Serait-ce par un fraternel baiser sans ambivalence?

Dis-le-moi! Je t’implore avec grande émotion.

Ô toi, belle dame de mes derniers jours!

Qui est semblable à une fée dans le ciel étoilé.

Heureux est celui qui saura te combler d’un véritable amour.

Qui aura à ton égard un grand respect maintenant et pour toujours.

 Bel ange de mes jours ensoleillés en cette froide saison,

Tu as ouvert mon cœur à un possible avenir.

À un futur où je ne craindrai plus de souffrir,

Par craindre de blesser celle qui voudra être en communion.

 Bel ange de mes jours ensoleillés et de mes nuits solitaires,

Tu as su découvrir en moi toute ma sensibilité,

Tout en me dévoilant ton étonnante sensitivité.

Tu es magnifique. Et ça, je ne pourrai à jamais me taire.

 Comment puis-je te remercier de ta présence dans mon existence?

Si ce n’est qu’avec ces quelques mots que j’ai minutieusement choisis?

Pour te dire merci de ton amitié si précieuse au sein de mon humble vie.

Merci d’être la femme que tu es, tant pour ta beauté que pour ta prestance.

De

RollandJr St-Gelais

Québec (Québec)

Canada

Mon âme divague

Mon âme divague

Mon âme divague

 

Mon âme divague

 

Où suis-je rendu?

Je me sens perdu.

Qui suis-je vraiment?

Je crains que l’on me ment.

 

D’où viens-je réellement?

Suis-je né simplement?

Je sens bien mon sang couler,

Dans mes veines bleutées.

 

Et mon cœur qui bat au rythme des flammes,

Qui caressent ma peau telles des langues brûlantes.

Mon âme lutte à la recherche de cette femme,

Qui viendra apaiser mes yeux telle une douce brunante.

 

Où es-tu ange envoyé par les Cieux?

Où te caches-tu dans cette mer de pleurs?

Montre-toi, je t’en supplie, n’aie pas peur.

Je ne suis que le descendant de mes aïeux.

 

Un homme succombant sous le poids de ses péchés.

Qui, crois-moi, s’en repent assurément.

Ô mon ange, tu peux en être rassuré.

En ton amour, il se confie allégrement.

 

Écoute mon humble prière!

Retire de moi cette lourde pierre.

Que je puisse aller de ce pas embrasser,

Celle dont je ne saurais de ma vie me passer.

 

Je n’ai point ma demeure dans le royaume d’Hadès.

Oui, j’ai encore ma place sous le soleil.

Ô bel ange, tends-moi l’oreille!

Car de tous mes péchés, je me confesse.

 

Je le reconnais sans aucune gêne.

Mon ultime souffrance dans cette Géhenne.

C’est d’être loin de celle que j’aime plus que tout,

De celle sans qui je deviens fou.

 

Entends cette modeste supplication!

Je veux que le bonheur de ma bien-aimée.

Quitte à revenir en ces lieux enflammés,

Quand mon heure de laisser les plaisirs de la vie sera arrivé.

 

De

 

 

Rolland St-Gelais

Québec (Québec)

Canada