Archives de tags | croupe
J’ai tout manipulé avec soin
J’ai tout manipulé avec soin.
Oh oui, chérie!
Je t’ai prise ainsi.
Par-derrière afin d’admirer,
Ton dos si agréablement cambré.
Sentir tes fesses rebondir sur mes coups.
Les rebonds, qu’ils me semblent, être si doux.
Serrer tes superbes hanches de mes mains si ravies,
En entendant haleter ta respiration, signe de la vie.
Comme c’était doux, comme c’était bon.
Tellement délicieux que je croyais perdre la raison.
C’est bien vrai que tout ce qui est interdit semble meilleur.
Tu sais, jamais je n’oublierai cet instant, ce moment, cette heure.
Tu savais bien diriger ma hampe vers ce lieu.
Un savoir-faire qui me paraissait alors si précieux.
Une instruction qui n’est enseignée dans aucun livre de science.
La confiance absolue en notre amour suffit à en prendre conscience.
Avec audace, nous avons enfin osé le faire.
En cette zone, je suis allé au risque d’aller en enfer.
Mais, quel délice de ressentir cette agréable sensation.
Au péril de subir, venant du ciel, la pire des punitions.
Au pays de Sodome, je suis allé.
Sur les terres de Gomorrhe, j’ai foulé.
Dans ta croupe, j’ai inspecté, avec prudence.
En tout temps, j’ai tout manipulé avec soin, telle une romance.
De
Rolland Jr St-Gelais
Québec (Québec)
Canada
Quelle belle posture !
Quelle belle posture !
Que vois-je en cet instant?
Un moment pour admirer ce corps,
D’une femme étincelante à la peau d’or,
Est-ce possible de la caresser un seul moment?
De cette position où sa croupe est présentée,
De ses courbes si finement découpées,
Que j’aimerais avec elle m’accoupler,
Malgré mon âge si avancé.
Hélas! Mes désirs ne seront que rêveries.
Alors que dans ma folle jeunesse j’ai bien ri,
De mes nombreuses conquêtes si comblées,
Par mon savoir-faire nuptial tellement appliqué.
Maintenant que me reste-t’il?
De mes rêves loin d’être puériles
Sinon de me coller tendrement près de vous
Et pour le temps d’un soupir redevenir amoureux fou.
De
RollandJr St Gelais de Québec au Canada
Quand la chaise ne sert pas à s’asseoir.
Quand la chaise ne sert pas à s’asseoir.
Voici une chaise,
Mon amour ! Mets-toi à l’aise !
Allons ! N’aies pas peur.
Tu sais, je suis toute douceur.
Raconte-moi ta journée,
Dévoile-moi toutes tes craintes,
Dis-moi tes rêves et tes envies,
Confies-moi tes bons coups et tes envies.
Tu sais mon amour,
Être près de toi me suffit,
Pour oublier mes chagrins et mes soucis,
Car tes yeux illuminent l’obscurité de mes jours.
Ton regard en dit long,
Sur tes secrets désirs et tes émotions,
Te voir enlever doucement tes vêtements,
Fait monter en moi la sève de la passion assurément.
Sans dire un mot,
Tu me tournes lentement le dos,
M’offrant ainsi ta croupe tant admirée,
Subjugué par mes pulsions d’amant tant aimé.
Sentant ma hampe se gorger de sang,
Ne souhaitant te rendre hommage délicatement,
Tu vis ma silencieuse demande avec grande joie,
À laquelle tu lui répondis avec entrain et de bon aloi.
Ô mon amour de ces temps interdits,
Où tout se vit ! Où tout se voit ! Où tout se dit !
C’est à la lueur d’une chandelle du début du soir,
Que tu m’aies appris que la chaise ne sert pas à s’assoir.
De