- En sentant tes cheveux Poème par RollandJr St-Gelais et magnifique photo par G.B. d’Allemagne Instagram gb62da & https://www.deviantart.com/gb62da/art/I-love-the-scent-of-my-hair-839970675
Archives de tags | brusquer
Les trois vertus théologales
- Photo réalisée par mon ami Joel Pèlerin
Les trois vertus théologales
Selon la doctrine de l’église catholique primitive, les trois vertus théologales que sont la foi, l’espérance et l’amour tirent leur origine de la grâce divine. Une grâce semblable à trois corps nus de femmes parfaites en beauté. Chaque corps possède du fait de sa beauté une tâche interdépendante aux autres.
Le premier a pour fonction d’exalter la sacralité de la foi. La foi est un don gratuit que nous fait Dieu, si on est croyant, ou bien la vie si on est plutôt agnostique. Cette sacralité témoigne de la noblesse inhérente au corps. Nul ne peut l’asservir, ni le brusquer. Brusquer ou asservir le corps d’autrui, c’est aussi agir de la sorte envers le sien.
Le deuxième a pour activité d’aller sans cesse à la recherche de l’autre. Le chercher pour se retrouver, pour espérer encore et toujours dans une interdépendance totale. L’objectif est et sera à jamais d’envisager un monde peut-être pas parfait, mais au-moins meilleur à chaque jour.
Le dernier est sans contredit le plus important. En effet, on peut avoir une foi à déplacer les montagnes ou bien une espérance contre toutes espérances, mais si l’amour est absent de chacune de nos actions, toute beauté que l’on peut trouver à ce corps est veine. Voilà pourquoi le corps nu de la femme qui représente l’amour peut être n’importe lequel de ceux présentés dans ce présent article. Cependant seul l’amour compte vraiment puisque sans celui-ci rien ne peut exister dans le cœur des hommes et des femmes de bonne volonté.
Rolland St-Gelais
Québec (Québec)
Canada
Dame blanche

Modèle ? Katarzyna B. d’Italie
Dame blanche
Dame blanche !
Que vous êtes belle,
Êtes-vous encore pucelle ?
De vous, j’ai envie en voyant vos hanches.
Avec grande précaution,
Je me collerai sur vous avec attention,
Sans vous brusquer ! Sans vous heurter !
Je saurai vous satisfaire afin de mon amour vous prouver.
Que votre regard est si vivant,
Et qu’en mon âme il est si pénétrant,
De votre peau de satin, je couvrirai de baisers,
Afin d’ultimement et à jamais vous rassasier.
Voilà mon but ! Voilà ma raison de vivre !
Voilà ma raison d’exister ! Sans cela je ne fais que survivre.
Le temps d’une chanson ! Le temps d’un refrain !
Serait-ce simplement encore là demain ?
Que votre sublime féminité,
Ravive en moi cette masculinité,
Me rappelant que ce privilège n’est point éternelle,
Un véritable don du ciel semblable au vol d’une hirondelle.
Alors permettez-moi avec humilité de vous demander,
Puis-je dans mes bras meurtris et blessés vous serrer ?
Afin d’oublier et ne plus y penser qu’un de ces jours,
Inévitablement je quitterai ce monde pour toujours.
De