Je suis à ma dernière journée à Montréal. Cette semaine a été vraiment assez spéciale puisque j’ai eu la chance de poser nu pour une école d’arts afin de permettre à des étudiants et étudiantes de parfaire leurs savoir-faire et leur créativité, dans un champ d’étude réservé à une élite. En effet, très peu de gens osent se diriger sur cette voie qu’est le milieu artistique dit « traditionnel », De plus, il y a encore moins de gens qui accepteraient de poser nu devant un groupe d’étudiants ou d’artistes qu’ils soient amateurs ou bien professionnels.
Qui plus est ! J’ai réalisé ce mardi une séance de shiwari en compagnie d’une artiste et photographe, elle-même adepte de cet art extrême. À vrai dire, ce fut la seconde fois où elle et moi avons vécu une telle expérience. Or, nous avons décidé de pousser la limite un peu plus loin afin de créer des poses plus originales tout en respectant le protocole de sécurité. Bien des photos serviront dans les articles qui seront publiés ultérieurement. Il va de soi que lesdits articles concerneront les deux séances vécues cette dernière semaine.
Pourquoi donc vouloir réaliser autant de séances aussi diamétralement opposées au plan artistique. Je vous dirai que c’est simplement pour le plaisir de poser nu et de le réaliser de manière conforme à différents types d’arts. N’allez pas croire que cela est fait, si je peux me permettre l’expression, à l’aveuglette. Ce qui est fait l’est en conformité avec tout ce que l’on peut qualifier d’artistique tout en évitant une quelconque vulgarité. C’est là une preuve, parmi tant d’autres, de mon professionnalisme qui est reconnu au sein des écoles d’arts non seulement à Montréal mais aussi partout au Québec.
Fait intéressant à noter ! Cela fait maintenant un an jour pour jour où le Musée des Beaux-Arts de Montréal a retenu mes services en tant que modèle vivant pour une séance dans ses locaux. Et, suite à des emails reçus après ma prestation, je dois avouer que ce fut un grand succès. Un succès qui a amené à ma pleine reconnaissance au sein de ce milieu unique en son genre. Preuve ? Madame Samuelle D.H., avait mentionné ma participation à ses élèves lors de la séance car, à mon grand étonnement, une des personnes œuvrant dans le milieu lui en avait glissé un mot. Un mot très positif.