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Une créativité débordante

 

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Votre humble serviteur dans la voiture officielle de son héro d’enfance: Batman

 

Une créativité débordante

Bonjour tout le monde,

C’est avec un plaisir immense que je fais la seconde rédaction de mes publications concernant ma petite visite au Comicon qui se déroule actuellement dans la belle ville de Québec, berceau de la francophonie en terres d’Amérique. Une ville où il fait bon de vivre, où les opportunités de s’ouvrir au monde des arts ne manquent pas et où la jeunesse se manifeste de manière tout à fait positive par sa créativité réellement débordante. C’est le moins que je peux dire après avoir assisté à un tel événement ce week-end.

14670873_10154141544467523_3331992250316881799_nEn effet, ce week-end a été riche en variété. Des gens qui portent les costumes de leurs héros préférés, des artistes qui présentent quelques-uns de leurs oeuvres au grand public en espérant, ce qui est tout à fait normal, de réaliser des ventes potentielles. À cela s’ajoutent des rencontres avec quelques cosplayers de renommés internationales avec qui les membres du public pouvaient se faire photographier moyennant la somme de quelques dollars. Comme je l’avais mentionné dans le précédent article, j’ai fait la rencontre d’une Cosplayers tout à fait magnifique qui jouait, si je peux m’exprimer ainsi, le rôle de Felicia, l’un des nombreux ennemis de Batman. Fait cocasse à retenir, cette charmante dame occupe un poste au sein des forces armées des Etats-Unis d’Amérique. Oui, elle est vraiment très jolie mais elle possède également une belle personnalité rendant ainsi notre discussion fort agréable.

new-image64En ce qui concerne la créativité débordante manifestée par certains cosplayers, ou encore par des artistes présents à cette occasion, il y en a une qui a attiré plus particulièrement mon attention et ce, dès le début de ma visite. Elle portait un costume de son héroïne préférée dont hélas il m’est impossible de me souvenir de son nom. Le japonais n’est pas ma tasse de thé, désolé. Toutefois, je n’ai pas pu m’empêcher de la féliciter pour son costume qu’elle a elle-même confectionné en prévision de cet événement. Que de patience! Que de passion pour son héroïne! Que d’amour pour le domaine artistique, quelque peu underground vous en conviendrez, qu’est le cosplay. Que de patience et de gentillesse pour accepter de répondre à mes nombreuses questions. Pas si nombreuses tout de même.

Il y a aussi des artistes dont leur spécialité est le dessin. Alors-là! Croyez-moi quenew-image63 j’ai été choyé par une bonne proportion d’entre eux. C’est notamment le cas d’une dessinatrice de la grande région de Québec dont le talent m’a littéralement coupé le souffle. Je prends à titre d’exemple son tableau représentant le célèbre Joker, ennemi infatigable de Batman, c’est incroyable le nombre d’ennemis que ce type a dans sa vie, pour illustrer mon propos. new-image62Dès le premier coup d’œil, votre humble serviteur a été hypnotisé par ce véritable chef-d’oeuvre sortie de la main d’une dessinatrice extraordinaire. Tout y est fait pour attirer le regard et en même temps se mettre, dans la mesure du possible dans la peau de Batman. Quel être machiavélique se cache derrière se visage mutilé, blanchi par des produits chimiques lesquels auraient tué sur-le-champ n’importe quel individu sauf celui qui deviendra célèbre sous le pseudonyme de « Joker », et pourquoi suscite-t-il à la fois crainte, respect et dans une certaine mesure admiration auprès du grand public? L’immense succès au box office des films de Batman où le Joker occupe le rôle d’ennemi principal prouve hors de tout doute la véracité de mon affirmation. Bref, ce tableau a réussi à susciter chez-moi une telle interrogation et ce, dès l’instant où mes yeux se posèrent dessus. C’est, reconnaissons-le, un tour de force vraiment très bien réussi de la part de cette artiste.

new-image67Enfin, ce que j’ai aussi particulièrement aimé, c’est la possibilité d’entrer en interaction avec certaines cosplayers. Il est à retenir ici le genre féminin est utilisé pour la simple raison que la majorité des cosplayers qui ont accepté de jouer leurs rôles ont été surtout des femmes. Il me semble donc par un souci de justice de faire surtout référence davantage aux femmes qu’aux hommes. Fait amusant, c’est surtout avec des cosplayers interprétant le personnage de Harley Quinn, autre ennemi de Batman, décidément tout le monde lui en veut, que j’ai eu la chance de jouer en quelque sorte leur victime. Une victime consentante et qui s’est bien amusée en leur compagnie. La photo présentée ci-contre témoigne à la perfection mes propos. En passant, soyez rassurés! Je m’en suis tiré somme toute indemne et pas trop malmené par la très belle Harley Quinn.

Merci infiniment de m’avoir lu. Portez-vous bien!

RollandJr St-Gelais

Québec (Québec)

Canada

Être spontané! Un pré requis pour le modèle nu

Être modèle nu et spontanéité

Être modèle nu et spontanéité

Être spontané! Un pré requis pour le modèle nu

Bonjour mes amis et amies de la francophonie,

J’espère que vous allez bien et que vous pouvez profiter du beau soleil hivernal dans votre pays respectif. Ici, au Québec, nous avons eu droit à une journée tout à fait splendide où la joie de vivre apparaissait sur le visage de bien des gens de mon entourage. Quoi de mieux pour apprécier la vie à sa juste valeur qu’un peu de soleil, un ciel bleu et une neige blanche même si on se gèle le bout de son nez? Oui, vous le savez déjà, l’hiver est ma saison préférée, et ce, avec raison. À vrai dire, la raison principale qui fait que cette saison soit si unique à mes yeux réside dans le fait qu’aucune autre ne possède la capacité de me ressourcer aussi profondément. En effet, je ne me rappelle pas de ressentir autant de vivacité en moi lorsque je reviens d’une promenade dans les rues de la belle ville de Québec.

Québec! Berceau de la francophonie en Amérique du nord où les particularités linguistiques et les accents propres aux habitants des diverses régions de cette magnifique province canadienne enrichissent à la fois notre spécificité culturelle et patrimoniale. Québec! Terre où vivent des gens généreux, fiers et qui ne craignent guère d’être spontanés et authentiques. Spontanéité. Voilà le sujet de ce présent article. Vous vous questionnez certainement sur les liens possibles entre d’une part, la spontanéité en tant que tel et, d’autre part, la nudité artistique et, à plus forte raison lorsque j’offre mes prestations devant un groupe de personnes dont la catégorie d’âge peut varier de 20 ans à 80 ans et parfois plus.

Être modèle nu et spontanéité

Être modèle nu et spontanéité

Comme vous le savez déjà, je me donne entièrement aux artistes qui y sont présents afin de leur permettre de découvrir à la fois ce corps unique mais aussi, je devrais plutôt écrire « davantage », l’être qui fait le fait vivre sans animosité, ni rancœur mais bien avec une grande sérénité laquelle est le fruit de maintes réflexions sur la destiné humaine. Qui suis-je? Où viens-je? Où vais-je? Trois questions qui hantent l’esprit de l’homme, j’y inclus bien entendu la femme, depuis la nuit des temps. Bref, je pose nu tant avec mon corps qu’avec mon esprit. Ce qui ne peut être fait qu’en acceptant d’être spontané dans chacun de mes agissements. Il va de soi qu’une préparation tant psychologique que physique doit être réalisée afin de rendre ladite séance de belle qualité. Toutefois, une spontanéité peut en certaines occasions s’avérer plus que nécessaire évitant ainsi une répétition machinale de mes gestes, de mes postures et de mon corps. Un peu à l’image du joueur de hockey qui maitrise à la perfection son bâton et le maniement de la rondelle, il lui faut anticiper le jeu, voir à le provoquer afin d’ultimement marquer le point final à la partie. Là encore, le travail d’équipe est sans conteste un élément fondamental à ne jamais négliger. Certes, je peux tout offrir mais à la condition sine qua none que ceux et celles pour qui je pose nu manifestent à leur tour une réceptivité à mon égard. L’œil qui me regarde doit me prouver qu’il est intéressé par ce qu’il voit et, ainsi, se laisse pénétrer par tout mon être.

Quoi de mieux que de faire une surprise lors d’une séance de nudité artistique afin de vivre une réelle spontanéité au sein d’un groupe? Je vous donne ici deux exemples qui prouvent hors de tout doute raisonnable, pour emprunter au jargon juridique, la véracité de mes propos. Deux exemples dont le déroulement respectif a eut lieu à deux endroits différents et dont le caractère est aux antipodes l’un de l’autre. Voici de quoi il est question!

Le premier événement a eu lieu lors d’une séance de nudité artistique et érotique où un photographe spécialisé dans ce domaine, il est le seul à Québec, accompagné par une équipe extraordinaire dont je fis parti bien entendu, releva le défi de présenter un homme nu avec un handicap physique apparent mais sous un angle totalement inusité jusque-là, c’est-à-dire … érotique. Oui, un homme qui vit avec un handicap physique est d’abord et avant toute chose un être humain avec tout ce que cela implique; désir d’aimer et d’être aimé, de vivre une sexualité libre et épanouie et surtout d’aller à contre-courant de l’image angélique véhiculée au sein de la société souvent imbue de puritanisme et de son hypocrisie à l’égard de la sexualité.

Bref, l’opportunité m’a été offerte de travailler avec un photographe formidable pour une séance qui a eu lieu en début 2013. Croyez-moi sur parole! J’ai tout, absolument tout, donné ce que je pouvais, et ce, sans aucune retenue lors de cette journée hivernale de janvier. Rien a été laissé au hasard pour ce qui est de l’ensemble des poses sauf lorsque le temps de tourner des scènes « érotiques » dans la salle de bain prévue à cette effet arriva. C’est-là où la spontanéité prit tout son sens. Soyez rassurés-es! Tout a été fait avec un souci artistique irréprochable.

Séance de nudité artistique

Séance de nudité artistique tenue à la galerie d’arts Du Belgo de Montréal: « Aller vers l’autre »

Le second événement a lieu lors de ma prestation à la galerie d’art contemporain Le Belgo de Montréal le 9 octobre 2014. Là encore, j’ai donné tout ce que je pouvais aux membres présents à cette occasion. Je n’ai rien caché de ce que je suis tant d’âme que de corps pour la simple raison qu’il y avait d’une part, un respect mutuel incroyable et d’autre part, une chaleur humaine fort remarquable. Chacune de mes poses avait été mûrement réfléchie bien avant cette journée. Cependant, et c’est-là qui démontre bien que le plus remarquable arrive souvent lorsque l’on ne s’y attend pas, c’est à l’occasion de deux positions prises sur le coup de l’impulsivité que la communion spirituelle entre les participants a pu réellement se concrétiser. Je me souviens très bien de la réaction d’émerveillement qu’a suscité ma position intitulée « Regard de tendresse » au sein du groupe et de la chaleur humaine qui se dégageait notamment des yeux de la responsable du groupe. Un regard empreint de bonté et de beauté à mon égard. Pour ce qui est de la pose suivante que j’ai choisie tout-à-fait au gré du moment, il s’agit d’une pose à la fois et accessible à tout le monde, mais qui en avait rire plus d’un durant la séance. Elle s’intitule « Aller vers l’autre » et où je tendis mon bras gauche, qui est le plus long, vers l’autre en guise d’accueil à son endroit. Fait amusant! Un des participants unilingue anglophone m’avait tendu sa main. Preuve que ma position a bel et bien réussi. N’est-ce pas?!

En résumé, la vie est faite de divers événements dont quelques-uns sont prévisibles alors que la grande majorité sont souvent le fruit du hasard ou bien voulu par la destiné. Hasard? Destiné? Quels sont les alternatives offertes aux hommes et aux femmes qui sont souvent dépassés-es par les événements? Je répondrais à cela en demeurant ouvert à son plein potentiel car chacun possède des capacités magnifiques qui ne demandent qu’à être découvertes et exploitées non seulement pour le bien de soi, mais aussi pour celui de la collectivité.

Être spontané, c’est être vivant. Être vivant, c’est accepter nos limites mais aussi à reconnaître nos valeurs en tant qu’être humain. Être modèle nu, c’est simplement tout cela. Être, ici et maintenant! Merci de m’avoir lu.

Collaboration spéciale de Sofy

Collaboration spéciale de Sofy

RollandJr St-Gelais

Québec (Québec)

Canada

L’art avec un grand « A »

Grand Théâtre de Québec
Grand Théâtre de Québec Photo? Rolland St-Gelais

L’art avec un grand « A »

Bonjour tout le monde,

C’est avec un plaisir immense que je vous donne mon compte-rendu du spectacle auquel j’ai eu la chance incroyable d’assister ce dimanche 27 avril 2014 au Grand Théâtre de Québec. Il s’agit, au cas où vous l’ignoriez, d’une chorégraphie dont la mise-en-scène est l’œuvre d’Olivier Dubois dans laquelle plus de 18 danseurs, 9 hommes et 9 femmes, nous démontrent leurssavoir-faire en costumes d’Adam.

Rolland St-Gelais
Rolland St-Gelais

Cela faisait plus de deux mois que je m’étais approprié mon billet pour assister à ce spectacle. Deux mois, qui me semblèrent interminables, durant lesquelles je n’avais de cesse de me poser mille et une question, à surveiller la moindre publicité dans les quotidiens de Québec, à en discuter avec mes amis-es et, enfin, à me calmer en me répétant tel un mantra que je verrai bien ce qu’il en est une fois rendu sur place.

Ma réaction est tout à fait normale puisqu’une part, il s’agit d’une première en Amérique du nord où la troupe de ce chorégraphe offrait une prestation devant un grand public et, d’autre part, cela avait lieu à Québec. Il est à retenir que Québec est ma ville d’adoption depuis maintenant plus de 16 ans et dans laquelle j’y ai vécu des expériences souvent extraordinaires.

Bien entendu, vous avez deviné, outre le fait d’y avoir fait de nombreuses années d’études à l’université Laval où j’ai obtenu de nombreux diplômes dans divers champs d’études, j’y ai connu plusieurs liaisons amicales plus qu’extraordinaires. Bien entendu, de nombreux accomplissements eurent aussi lieu enrichissant ainsi ma vie. Oui, je le reconnais, la vie a été bonne pour moi et elle le sera tout autant dans l’avenir. J’en suis convaincu.

Bon! Je reviens au sujet de mon article.

L’une des questions posées au cours de mon purgatoire temporel est la suivante: Pourquoi vouloir absolument assister à un tel spectacle

Danseur et chorégraphe Olivier Dubois
Danseur et chorégraphe Olivier Dubois

étant  donné que je suis moi-même modèle nu? À cela, je vous réponds qu’effectivement je voulais partager le vécu des danseurs et des danseuses qui ont offert une performance hors de l’ordinaire. Cependant, je ne voulais en aucun cas briser leur intimité avec le public. Voilà pourquoi j’ai respecté leur demande de ne pas les photographier durant leur prestation, et ce, même si mon siège était situé à quelques mètres de l’estrade. Le respect est le mot d’ordre dans le domaine de la nudité artistique.

Une autre question concerne la raison d’être de cette représentation: Pourquoi vouloir faire cela à Québec? Je crois, et cela demeure mon humble opinion, que le fait que la ville de Québec soit le berceau de la francophonie en Amérique du nord  y est pour beaucoup dans un tel choix. Reconnaissons-le! La langue de Molière, et toute la culture qui y est subjacente, est menacée par l’hégémonie de celle de Shakespeare. Les liens culturels doivent par conséquent être resserrés entre la France et les pays membres de la francophonie tant en Europe qu’en Afrique et en terre d’Amérique.

Une dernière question, il faut bien faire un choix parmi toutes celles qui m’ont hanté l’esprit,

un chef-d'oeuvre
un chef-d’oeuvre

concerne l’image de la nudité véhiculée dans notre société dite « évoluée ». Sommes-nous, oui ou non, capables de faire la part des choses entre d’un côté, la nudité saine et équilibrée, et d’un autre côté, éviter toutes formes de débordement? La prestation à laquelle j’allais assister allait me donner une réponse plus que positive à ma question philosophique. Ce qui allait, bien entendu, faire mon plus grand bonheur.

Tragédie
Tragédie? Une œuvre remarquable!

Bref, c’est par une soirée d’un printemps plutôt frisquet que je suis allé au Grand Théâtre de Québec afin de me faire une idée précise et sans pression aucune de cette pièce où 18 personnes allèrent réaliser sous mes yeux un véritable chef-d’œuvre. Ce dernier terme est approprié pour décrire à la fois la chorégraphie en tant que tel mais également le travail méticuleux de chacun(e) des participants(es).

En effet, rien est laissé au hasard puisque chaque rôle est défini avec un soin presque

Une prestation rigoureuse
Une prestation rigoureuse

monastique. Par exemple, selon ce que rapporte l’hebdomadaire Voir de Québec, Olivier Dubois « a choisi une approche structurelle, s’inspirant de la tragédie grecque et de la structure implacable de ses chœurs: d’abord l’entrée, puis les épisodes, et enfin la catharsis et l’exode. L’alexandrin français lui a aussi inspiré des marches de 12 pas. Pour les 18 danseurs, cette structure progresse vers un mouvement de plus en plus intense et fait de ce spectacle un vrai tour de force, une chorégraphie d’une rigueur terrible.» 1

Les spectateurs, à voir la réaction de la foule lors de la salutation finale de la troupe, ont semblés être émerveillés par une telle prestation. Pour ma part, la chance que j’ai eu d’être assis tout prêt de l’estrade ma permis d’apprécier le travail physique de chaque artiste. Et, quand je dis « le travail physique », je fais référence bien entendu à la rectitude de chaque mouvement fait par celui-ci; ses pas, son regard, les gestes tant ceux des membres supérieurs que des membres inférieurs, le contrôle absolu de son corps sans pour autant y délaisser à la fois l’harmonie gestuelle et une symbiose avec l’esprit rendent sa présence sur scène digne d’un acteur de la Grèce antique.

Une perfection
Une perfection

Recommanderais-je à mes amis-es d’assister à cette pièce unique en son genre? Je vous réponds par l’affirmatif. Toutefois, un avertissement serait de rigueur afin de les préparer à la présence d’artistes nus sur scène. Oui, je le reconnais sans gêne aucune, la beauté des corps rend ledit spectacle agréable. Mais, il faut avoir la capacité d’aller plus loin que le premier regard et la meilleure façon d’y arriver c’est de se poser cette ultime question: Serais-je apte à accomplir une telle chorégraphie entièrement nu devant un public? En ce qui concerne, je m’imaginais de me voir sur scène offrant ma propre performance aussi minime aurait-elle pu être. Par ma seule présence, il est bien de noter qu’une des artistes était obèse, cela aurait pu démontrer que la diversité de la vie réside aussi en la diversité des corps.

Je termine cet article en vous racontant deux anecdotes assez cocasses. En premier lieu, je ne cessais de penser à l’une de mes amies à chaque fois qu’une des danseuses se présentait sur scène puisque cette dernière avait un tatouage sur la même jambe que mon amie. J’ai envers celle-ci un profond respect et une grande admiration. En second lieu, croyez-le ou non, deux des danseuses artistiques m’ont fait un beau sourire lorsque j’ai applaudit à la fin du spectacle. Je n’oublierai jamais leurs regards qu’elles me firent tellement ils témoignèrent de leur plaisir à avoir fait une si belle prestation. Je leur ai crié sans arrêt et à pleins poumons; «Bravo! Et encore bravo!».

Oui, c’est par ces derniers mots que je peux conclure mon compte-rendu personnel sur cette prestation extraordinaire. «Bravo! Et encore bravo!»

Merci de m’avoir lu!

Rolland St-Gelais

Québec (Québec)

Canada

1. http://voir.ca/scene/2014/04/17/olivier-dubois-tragedie-cachez-ce-sein-que-je-ne-saurais-voir/