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Alors, elle a éteint la lumière

Alors, elle a éteint la lumière Poème de Rolland Jr St-Gelais Photo par G.B. d’Allemagne Source : https://www.deviantart.com/gb62da/art/She-turned-on-the-light-943330233

Alors, elle a éteint la lumière

 

En ce début de nouvelle année,

Je suis allé voir ma maîtresse affectionnée.

Quoi de mieux pour commencer une autre vie ?

De satisfaire avec un plaisir éclaté nos légitimes envies !

 

Après tout, que peut-on qualifier du jour le plus sublime de l’année ?

Celui pour lequel nous exprimons nos sentiments à l’être aimé.

Il va de soi que je parle du 1er de l’an en ce temps de réjouissances.

Une période de voluptés et de souhaits partagés en abondance.

 

Je suis arrivé chez elle avec des pensées à la fois coquines et belles.

Avec un visage gracieux, elle m’a accueilli en portant de fines dentelles.

Elle m’attendait depuis de longues heures, elle m’a alors dit.

Avec un sourire qui témoignait d’une joie digne du paradis.

 

Bien entendu, en homme bien éduqué, j’ai apporté une bouteille de vin.

Tout en étant habillé comme un prince prêt à cueillir une fleur dans son jardin.

N’oublions pas qu’il est important de faire une juste sensation à la dame convoitée.

Après tout, elle deviendra peut-être, si tout lui plaît, si tout lui est bon ma douce moitié.

  

Aussitôt entré, illico, elle m’a déshabillé ! Avec un peu de gêne, j’en étais étonné.

Elle m’amena dans un lieu où une lumière éclairait des draps d’un blanc immaculé.

Bien installés dans son lit sur lequel nous avons bu quelques verres de grand cru.

Comme Adam et Ève, dans le jardin d’Éden, nous n’avions point honte d’être nus.

 

Un vin succulent du Midi de la France coulait à flots dans nos bouches avides de sens.

De nos esprits et nos mots, nous les perdions tellement avec notre conscience.

Sans plus attendre, sa langue entourait, de mon chêne, le pourtour de son sommet.

Bien vite, à ma satisfaction un peu coupable, j’ai alors connu le ravissement parfait.

 

Quel péché merveilleux qu’est la luxure ! Quel bonheur de partager un plaisir si pur !

Je gémissais en cet instant toute mon euphorie jusqu’à en défoncer les murs.

Drôle de coïncidence ! À la radio tournait une vieille chanson d’Alice Cooper.

Ce qui m’a fait penser à mon adolescence où j’affrontais toutes mes peurs.

 

Quoi de mieux, en cette nuit romantique, pour exprimer notre amour ?

La clarté limpide de la lune est la source d’inspiration depuis toujours.

Sans attendre, c’est par ses mouvements exécutés avec une parfaite finesse.

Qu’elle se dirigea vers la lampe, à côté de mes fleurs, pour l’éteindre avec délicatesse !

 

De

 

Rolland Jr St-Gelais

Québec (Québec)

Canada

Un peu de tendresse

Un peu de tendresse

Every woman has a name

par

Alice Cooper

You were so beautiful
Like a child, young and full of life
Seems a hundred years ago
You saw everything
So much more tragedy than good
You even watched the world blow cold

 

And even when your world was shaken
Even when your breath was taken
Even when your blue eyes turned to grey

 

Small town debutantes and queens
Every woman has a name
Cocktail waitresses with dreams
Every woman has a name
And every girl whose loves survives
A broken heart to stay alive
You signed your picture in the frame
Every woman has a name

 

You had your love affair
Some were perfect but most of them were pain
Seems a hundred years ago
It took you to the highest hill
Left you standing frozen in the rain
But you still feel the afterglow

 

And even when your world was shaken
Even when your breath was taken
Even when your blue eyes turned to grey

 

Housewives crying on the phone
Every woman has a name
Sacred sisters all alone
Every woman has a name
And even on the coldest day
When the kids are gone, moved away
It’s lonely now, there’s no one there
To hold your hand and play

 

I see it written on the grave
Every woman has a name

Il faut savoir lâcher-prise…

Il faut savoir lâcher-prise…

 

« Only My Heart Talkin »

 

Anybody’s dream can fall apart
Anybody’s mask can break
Couldn’t tell you how I wanted you
Enough to make you want to stay

I never said the words out loud
I guess I couldn’t get’em straight
Baby, give me one more chance
Before you walk away

It’s only, only, only my heart talkin’
Yeah, it’s only, only, only my heart talkin’
Saying things I never thought I’d say
Can’t you hear me knocking

Tried to fool you but it wouldn’t play
Cuz my heart it’s talkin’, it’s talkin’
Baby, it’s talkin’
Talkin’to you

Every time I take it to the edge
Every time I’m so afraid
Don’t you know I cry my eyes out, babe
Every time you look away

Oh, I almost dropped a tear
But I caught it just in time
I’d say the things you want to hear
If you’d help me, help me, help me try

It’s only, only, only my heart talkin’
Yeah, it’s only, only, only my heart talkin’
Saying things I never thought I’d say
Can’t you hear me knockin’

Tried to fool you but it wouldn’t play
Cuz my heart it’s talkin’, it’s talkin’
Baby, it’s talkin’
Talkin’to you

 

Well, I don’t want to hide away
Hide away without you, baby
Don’t you go and run away
Come on and help me, baby
Just a little help, baby
Oh, my little baby

 

Un reportage à voir absolument

Un reportage à voir absolument

Bonjour tout le monde,

J’espère que vous allez bien et que votre dimanche vous soit agréable. Pour ma part, tout va à merveille. Je me prépare tranquillement pour la prochaine séance de nudité artistique qui aura lieu mercredi le 22 novembre au sein d’un atelier qui se trouve à Montréal.

20171110_105211C’est pour moi un devoir de me préparer de manière convenable afin d’être à mon meilleur pour offrir une prestance digne d’intérêt pour les artistiques tant amateurs que professionnels qui y seront présents. Je m’inspire souvent de mon idole, lequel est nul autre que Alice Cooper, pour élaborer certaines poses et pour me rappeler que l’art peut parfois choquer mais que rien n’est plus choquant de ne pas être authentique. Oui, l’art dérange et il dérange parce qu’il nous force à voir la réalité autrement, à la percevoir avec les yeux de notre cœur, de notre âme, à l’écouter avec les oreilles situées dans les profondeurs de notre être et surtout de outrepasser la barrière des conventions sociales.

Je termine cet article en vous présentant ci-joint dessus un excellent reportage sur la vie et l’oeuvre d’Alice Cooper. Un être authentique qui a su outrepasser les conventions sociales pour démontrer que l’art est avant toute chose une affaire de cœur. Désolé si ledit reportage est dans la langue de Shakespeare. Il vaut, croyez-moi sur parole, le coût de le visionner afin de découvrir l’homme et l’artiste: Un être remarquable qui est et sera mon idole jusqu’à la fin de mes jours.

Merci de m’avoir lu !

RollandJr St-Gelais

Québec (Québec)

Canada

 

 

Une merveille !

« Ballad Of Dwight Fry »

By

Alice Cooper

 

Mommy, where’s daddy?
He’s been gone for so long.
Do you think he’ll ever come home?

 

I was gone for fourteen days
I coulda been gone for more
Held up in the intensive care ward
Lyin’ on the floor

 

I was gone for all those days
But I was not all alone
I made friends with a lot of people
In the danger zone

 

See my lonely life unfold
I see it everyday
See my only mind explode
Since I’ve gone away

 

I think I lost some weight there
And I-I’m sure I need some rest
Sleepin’ don’t come very easy
In a straight white vest

 

Should like to see that little children
She’s only four years old… old
I’d give her back all of her playthings
Even even the ones I stole

 

See my lonely life unfold
I see it everyday
See my lonely mind explode
When I’ve gone insane

 

I wanna get outta here
I wanna get outta here
I-I’ve gotta I’ve gotta get outta here
I-I gotta get out of here

 

I gotta get out of here
I gotta get outta here
I gotta get outta here

 

Ya gotta let me out of here
Let me outta here
I gotta get outta here
I gotta get outta here

 

See my lonely life unfold
I see it everyday
See my only mind explode
Blow up in my face

 

I grabbed my hat and I got my coat
And I-I ran into the street
I saw a man that was choking there
I guess he couldn’t breathe

 

Said to myself this is very strange
I’m glad it wasn’t me
But now I hear those sirens callin’
And so I am not free

 

I didn’t wanna be
I didn’t wanna be
I didn’t wanna be

 

See my lonely life unfold
(I didn’t wanna be
Leave me alone
I didn’t wanna be
Don’t touch me)
See my lonely mind explode
When I’ve gone insane