- « Ce soir » par Stefan Grosjean de la Suisse. Son site internet est : www.stefangrosjean.com et https://www.deviantart.com/stefangrosjean
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Une belle préparation pour une journée exceptionnelle
Une belle préparation pour une journée exceptionnelle
Bonjour tout le monde,
J’espère que vous allez bien. Pour ma part, je me porte à merveille. Je viens à peine de me réveiller que déjà je suis devant mon clavier de mon portable, lequel me suit à chacun de mes déplacements dans le cadre de mes diverses activités de nudité artistique afin d’écrire mes publications au sein de mon blogue, pour vous faire part de mon expérience vécue ce jeudi 4 avril 2019 au collège de Drummondville. Une expérience qui m’a rassuré en ma capacité de reprendre de telles activités après plus de deux mois de convalescence stricte après mon accident de fin d’année.
Il est cependant vrai que je me suis mentalement et émotionnellement préparé pour une telle reprise. Une préparation qui se fait d’abord sur le plan mental puisqu’il est impératif de visionner dans la mesure du possible du choix des poses susceptibles d’être réalisées devant un groupe composé presqu’exclusivement d’étudiantes d’âge collégial. Chose plus facile à dire qu’à faire. Tout bon modèle nu aura la sagesse d’adapter ses poses en fonction de l’âge, de l’expérience et selon le rang scolaire des personnes présentes en classe. On ne pose pas de la même façon devant un groupe d’élèves de niveau collégial qu’au niveau universitaire ni s’il s’agit de professionnels ou d’artistes amateurs. C’est là faire preuve de gros bon sens.
L’aspect émotionnel est extrêmement important dans
le cadre de mes activités de modèle nu. Que sera l’ambiance dans le groupe ? Quels regards auront-ils sur mon physique ? Quelle approche devrais-je avoir envers ces personnes ? Et, surtout, jusqu’où ira leur ouverture face à certaines poses jugées utiles pour les faire travailler davantage ? Pour ce qui de l’ambiance, une présentation de mon cheminement tant personnel que professionnel est toujours appréciée tant du professeur que des élèves.
En ce qui concerne les regards, je leur explique que jadis seulement deux types d’individus s’intéressèrent à mon corps. Les premiers étant les professionnels du corps médical qui tentèrent de leur mieux de réparer les conséquences de la thalidomide. Les seconds étant les avocats, dont un en particuliers qui avait abusé de la confiance de mes parents et de moi-même en 1984 où j’ai été utilisé telle que de la vulgaire marchandise.
Pour ce qui est de mon approche, je dois reconnaître pour mon plus grand plaisir que les deux groupes pour qui j’ai posé nu étaient composée à plus de 99% de jolies étudiantes. Imaginez ! Servir de modèle nu au milieu de plus de 24 étudiantes en arts aussi jolies les unes que les autres et ce, pour deux groupes différents. Le rêve que bien des hommes font en cachette. Cependant, il est important que le sérieux et le sens professionnel prévalent en tout temps lors des séances. Je dois aussi vous avouer que j’ai dédié une de mes poses à une femme extraordinaire qui a et aura toujours une place privilégiée dans mon cœur.
Enfin, j’opte pour une approche graduelle lors de la réalisation de mes poses nues devant le groupe allant de type plus conventionnel et simple à celles de plus recherchées voire « provocantes ». Deux raisons majeures dans une telle démarche. En premier lieu, les adapter à mon physique quelque peu particulier en les amenant à l’apprivoiser, à l’effleurer de leurs yeux, à les prendre par la main pour mettre sur papier ce qu’elles découvrent pour la première sur un corps d’un homme différent en -dehors mais semblable à tous les autres au-dedans. En second lieu, les amener de manière subtile à toujours se surpasser, à accepter les erreurs de parcours lors de leurs réalisations, à vivre avec leur modèle du moment. Voilà pourquoi mes poses deviennent au fil des minutes qui s’écoulent dans le sablier du temps sans cesse plus originales, plus ardues et, parfois plus osées toujours dans un souci de perfectionnement.
Les prochains articles au sein de mon blogue artistique seront consacrés à la fois sous formes de prose et de poésie. Que ça fait du bien de pouvoir se réaliser dans ce que l’on fait. Cela ne devrait-il pas être le but ultime de la vie ? Si on est en amour avec notre profession, c’est un pas important sur la route du bonheur.
Merci de m’avoir lu !
RollandJr St-Gelais
Québec (Québec)
Canada
L’importance de la verge dans le domaine de la nudité artistique
L’importance de la verge dans le domaine de la nudité artistique
Bonjour tout le monde,
Il me fait plaisir aujourd’hui d’un sujet quelque peu spécial puisqu’il existe un grand tabou en ce qui le concerne. À vrai dire, c’est un sujet qui relève d’une perspective tant à la sexualité qu’à la masculinité au sens global. En effet, nul n’est sensible à ce que l’on peut trouver sur le web et qui, force est d’admettre, est loin d’être honorable. Bref, le sujet de cet article est nul que le sexe masculin communément pénis, verge et autres mots plutôt vulgaires auxquels je me refuse de nommer par respect pour mon blogue artistique.
J’ai décidé, pour ce faire, de republier un texte trouvé via le réseau social Facebook plus précisément sur l’un des groupes dont je suis membre. Vous noterez que ledit texte est ré écrit en noir et blanc et qu’un lien menant vers la source se trouve en annexe. Bien entendu, tout ceci est pour respecter le droit d’auteurs en matière légale.
Je vous souhaite une agréable lecture et vous remercie pour votre assiduité.
Sincèrement vôtre
RollandJr St-Gelais
Québec (Québec)
Canada
Pourquoi les statues antiques ont souvent des petits sexes ?
Vous l’avez surement remarqué lors de votre dernière visite au Louvre, les statues des sections grecques et romaines ont plus l’air de sortir d’une baignade dans la Manche au mois de février que de Rocco Siffredi.
Mais comment expliquer cette passion antique pour les petits sexes ? Une vidéo du NYMag.com publiée sur Facebook donne des éléments de réponse. Selon l’historienne de l’art Ellen Oredsson: “Dans la Grèce antique, les gros sexes étaient associés à la bêtise, la lubricité et la laideur. Plus le pénis était petit, plus son propriétaire était considéré comme rationnel et intellectuel. Ils pensaient qu’un homme avec un sexe plus petit allait être moins enclin à s’en servir en lieu et place de son cerveau.”
Dans une interview réalisée par Rue 89 en 2012, l’historien Thierry Eloi explique le rapport au sexe dans la Rome antique. Selon lui, dire “Ce type a une grosse bite” est une insulte. Un gros pénis était perçu comme une disproportion du corps, un canon de beauté bien éloigné de ceux d’aujourd’hui et de la sempiternelle question “est-ce que la taille compte?”
Une approche différente du sexe
Toujours dans cette interview, Thierry Eloi détaille une sexualité antique, bien différente de la nôtre. A Rome, le plaisir ne passe pas par la pénétration de “l’intérieur du corps“, considéré comme quelque chose de sale, mais par « ce qui fait la beauté décente du corps : la peau ». Le plaisir réside dans le fait d’embrasser quelqu’un, dans “l’échange de souffle” et non dans l’éjaculation. Une recherche de jouissance qui se pratique entre hommes libres et esclaves lors des banquets.
L’historien ne parle quasiment que des hommes, car une femme qui n’est pas esclave n’est pas censée ressentir de plaisir. « Elle est éduquée à ne pas en avoir », en effet, à Rome, la femme est là pour la reproduction. Le sympathique synonyme de femme libre étant « le ventre ». Cela est vrai au point que des hommes sont passés devant un tribunal pour trop aimer « le corps de leur femme ». On leur conseille donc d’aller voir des prostituées, une activité considérée comme beaucoup plus saine que de faire l’amour avec celle que l’on a épousée. « Le lupanar sert à réguler le déversement du sperme et des humeurs » auprès d’hommes ou de femmes non libres, le faire avec son épouse serait la considérer « comme une esclave ».
Le seul moment ou il est acceptable de le faire avec sa femme est pour procréer dans un rapport se limitant à un simple « déversement spermatique ». Le sexe en couple est une pratique civique destinée à créer de nouveaux citoyens, souvent assimilée à une corvée donnant « mal au dos » et « des boutons ». Une approche différente on vous disait.
Par Anne-Charlotte Dancourt