Un modèle féminin prometteur : Indira Spr de la Réunion
Un modèle féminin prometteur :
Indira Spr de la Réunion
Bonjour tout le monde,
Comme vous le savez déjà, ce blog est consacré plus particulièrement à la nudité artistique, à la poésie et à la photographie bien que parfois j’y ajoute des réflexions personnelles sur certaines réalités de la vie. En effet, la vie est faite d’une multitude d’expériences que nous devons affronter inexorablement. Or, on peut y faire des découvertes très intéressantes.
Toutefois, je dois rendre hommage à l’un de mes plus fidèles amis et collaborateurs dans le domaine de la nudité artistique avant de poursuivre la rédaction du présent article. En effet, Joël Pèlerin a joué un rôle plus que considérable dans l’élaboration de ce blog grâce notamment à sa permission d’utiliser quelques-unes de ses plus belles réalisations photographiques tant pour la rédaction d’articles sur des sujets divers que pour la composition de mes poèmes. Des poèmes qui, pour mon plus grand bonheur, semblent plaire à plusieurs d’entre vous. Or, qui dit séance photo dit aussi modèle vivant et dit, par ricochet, une personne bien vivante possédant des valeurs, une histoire de vie et une âme exceptionnelle.
Or, j’ai la chance inouïe d’avoir l’une de ses modèles au sein de mes relations sur le réseau social Facebook. Un modèle féminin qui a réussi à m’interpeler grâce à sa beauté toute féminine et qui m’a donné le goût d’en savoir un peu plus sur elle. Ayant pris mon courage à deux mains, des mains symboliques dans mon cas, j’ai fait les premiers pas en lui proposant de rédiger un article sur elle, non seulement en tant que modèle mais avant toute chose en tant que femme.
Eh oui! Il y a chez chaque modèle un être vivant et qui vit pleinement. Réalité qui semble être oubliée par le grand public. Triste constat, en effet.
De son propre aveu, elle se considère comme une grande amoureuse des animaux et ne peut supporter qu’on leur fasse du mal de quelques manières que ce soient. Le tigre est l’animal qui le rejoint le plus. Elle en a même fait son animal totem. Et ce, à tel point que ‘’ … si j’avais le moyen de les protéger, surtout en Inde ou le braconnage est fortement présent allant jusqu’à donner mes biens et mon corp pour leur survie.’’ Et d’ajouter qu’à ses yeux, un animal est un être pur et sans péché. Qui plus est ! Chaque animal est en soit magnifique et adorable. L’être humain peut être vraiment cruel surtout lorsqu’ils s’en prennent à eux.
Pourquoi est-elle devenue modèle pour le photographe Joël Pèlerin? Question à laquelle elle répondit tout simplement par ceci : ‘’Je suis devenu modèle pour avoir un peu plus confiance en moi et Joël Pèlerin, photographe professionnel, ma vraiment été d’une grande aide.’’ Personnellement, je ne suis guère étonné qu’elle ait trouvé en Joël Pèlerin une telle aide vue tout l’humanisme qui l’anime et le respect absolu qu’il a envers ses modèles.
Et comme tous les modèles, elle a de nombreux rêves qu’elle aimerait réaliser notamment de voyager et de voir pleins d’animaux. Fait intéressant à noter, elle voulait devenir vétérinaire lorsqu’elle était enfant. Elle semble posséder une âme d’une combattante pour les droits des animaux car elle aspire ardemment que les êtres humains comprennent toute l’importance de faune et de la flore sur terre et qu’ils cessent enfin de tout détruire.
Sur le plan familial, elle aimerait bien fonder une famille et avoir deux enfants, un garçon et une fille, qu’elle nommerait Ciel pour le premier et Céleste pour la seconde, ‘’ … enfin si le père est également d’accord bien sûr.’’ Mais au fait, que signifie son prénom? C’est le nom de la sœur de Gândhî. Ça veut dire beauté et splendeur. Un choix judicieux fait par son frère car elle est vraiment d’une beauté splendide.
Merci à Indira Spr pour sa permission de publier un tel article sur mon blogue artistique. Merci à vous pour votre assiduité.
J’entre dans le vif du sujet en formulant cette question : Quel est l’instant le plus important lors d’une séance de nudité artistique ? Une telle question pourrait vous sembler superflue, surtout si vous parcourez mon blogue artistique depuis le 13 janvier 2016 date de sa création. Une date qui restera longtemps en mémoire puisque la création de ce blogue a été pour moi le point tournant d’une carrière formidable. Certes, je n’ai pas la notoriété d’un rock-star, ni d’un acteur de cinéma, mais il a permis de faire connaître mon corps, via sa nudité autrement qu’une simple erreur pharmaceutique.
Oui, je le sais bien. J’aurais pu choisir d’autres options plutôt conventionnelles selon les normes sociales établies. C’est un fait que je ne peux réfuter en aucun temps. Or, je l’ai choisi et j’assume mon choix pleinement et librement sans me justifier d’une manière ou d’autre autre. Toutefois, et c’est un élément majeur qui apporte un point positif dans un tel choix, cette carrière a favorisé la rencontre de gens formidables œuvrant dans divers domaines liés de près ou de loin à la nudité artistique. Je pense notamment à la peinture, la photographie, aux cours de dessins offerts dans les facultés, les écoles et les ateliers en arts. Aurais-je pu en dire si j’avais fait un autre choix? Permettez-moi d’en douter.
Néanmoins, et après avoir noté que jamais il n’a été question d’élaborer sur le moment le plus important lors d’une séance de nudité artistique, il m’a paru nécessaire d’élaborer quoique de manière concise sur le sujet. À vrai dire, trois points majeurs font de la période où je me prépare à affronter, si je peux m’exprimer ainsi, les regards des artistes qu’ils soient professionnels ou bien simplement amateurs.
En premier lieu, la confiance en soi est la pierre angulaire en cette période cruciale. J’ajouterais même que chaque vêtement enlevé ressemble d’une certaine manière à la couche protectrice de notre âme. N’oublions pas que chaque vêtement a sa propre importance que ce soit les souliers, le gilet, le pantalon et tout le reste. Pour sa part, le peignoir demeure le dernier rempart contre les regards des gens présents.
En deuxième lieu, savoir quoi offrir et comment l’offrir constituent, à l’image d’un menu de restaurant, ce dont les personnes présentes en ce lieu ont le droit de s’attendre non seulement d’une telle activité mais encore plus de ma participation. Autrement dit, je dois connaître à la perfection les poses choisies tout en ayant une idée suscitant la créativité envers mes convives. Pour se faire, un travail de longue haleine est souvent nécessaire même si tout peut se jouer au moment où je me retrouve derrière le paravent.
En dernier lieu, est-ce vraiment ma place? Vous l’ignorez sûrement, mais le modèle vivant a un droit absolu de participer ou non à une séance, et ce en tout temps. Bon ! Il est peut-être un peu tard pour y penser. Cependant, ce droit est inhérent au respect absolu de sa personne et nul ne peut le révoquer. Toutefois, une discussion franche, honnête et sans ambiguïté entre les personnes concernées demeure l’outil par excellence pour éviter une telle situation.
En résumé, vous seriez étonnés si vous connaissiez tout ce qui peut se passer dans la tête du modèle vivant lorsque vient le temps de sa préparation à quelques minutes de monter sur la balustrade. Il s’agit d’un précieux moment où il se retrouve seul face à ses craintes, ses interrogations, ses espoirs et ses attentes. Des attentes qui, fait cocasse, sont quelques fois plus élevées que celles des autres artistes en ces lieux. Il s’agit bel et bien d’un instant de répit, de prise de conscience et surtout de faveur.