Par Michel T. Desroches Modèle Juliette Pottier Plaziat
Trois œuvres d’art de qualité exceptionnelle
Bonjour tout le monde,
C’est avec plaisir que je partage avec vous une série d’œuvres d’art de qualité exceptionnelle. Ladite série est une réalisation de mon bon ami Michel T. Desroches. Il est un artiste-peintre québécois des plus remarquables à l’heure actuelle. Son talent est connu des deux côtés de l’Atlantique. En effet, ses tableaux sont vendus tant en Amérique du Nord qu’en Europe. Par ailleurs, j’ai moi-même eu la chance de poser pour cet artiste-peintre tout au début de mon expérience dans le domaine de la nudité artistique. Sa grandeur d’âme, son sens professionnel et son style font de lui un artiste-peintre accompli.
C’est en parcourant ses nombreuses publications que j’ai eu la possibilité de faire la découverte de ces réalisations. Des réalisations qui démontrent à la perfection son style de travail. Personnellement, j’adore cette façon de dessiner. Et pour cause! En effet, ses visions du sujet étudié nous suscitent à l’émerveillement, à nous ouvrir vers l’autre et à voir les choses d’une manière tout à fait inhabituelle. Ces trois derniers points que sont l’émerveillement, s’ouvrir vers l’autre et voir les choses autrement ne sont-ils pas les bases du monde des arts?
De mon point de vue, ces trois réalisations, qui mettent en vedette le modèle féminin Juliette Pottier Plaziat, constituent un exemple parfait de l’agencement de ces bases. Trois exemples serviront à expliquer mon propos. En premier lieu, l’agencement des traits dessinés en noir fait ressortir une perspective fort intéressante de la part de l’artiste. Un peu à l’image d’une âme qui naîtrait tranquillement des profondeurs du néant. En deuxième lieu, l’intronisation à la fois simple et judicieuse des couleurs établit hors de tout doute raisonnable la capacité notable de l’artiste Michel T. Desroches à travailler en utilisant autant le style »noir et blanc » que les couleurs. En dernier lieu, l’harmonie semble être une prérogative majeure dans l’ensemble de ces œuvres.
Enfin bref, cela fait très longtemps que je ne vous avais pas offert quelques-unes des œuvres de cet artiste, et encore plus mon ami, au sein de mon blogue dédié à la nudité artistique, à la poésie et à la photographie sans oublier bien entendu des articles de réflexion personnelle sur divers aspects de la vie. Une vie qui, malgré les soubresauts des derniers mois, est remplie de belles surprises. Il suffit d’ouvrir les yeux de notre cœur pour les découvrir.
J’espère que tout va bien pour vous. Pour ma part, je vais super bien même si je suis quelque peu surpris par la température frisquette de cette journée du 9 mars 2020. À vrai dire, j’ai déjà vu mieux et, parfois aussi, pire. Le soleil printanier québécois est loin d’être chaud. Bon ! Que puis-je y faire sinon d’attendre que les journées d’été arrivent au plus vite?
Fort heureusement que je possède ce blogue dédié à la nudité artistique, à la poésie et à la photographie sans oublier la publication, de plus en plus fréquente, de textes de réflexion personnelle. C’est d’ailleurs par l’entremise de mon blogue que je partage avec vous quelques-unes des créations artistiques découvertes au sein de mon site DeviantArt. Il va de soi que je demande toujours aux auteurs leurs permissions afin d’utiliser leurs œuvres au sein de mes articles. Il s’agit-là d’une question de principe.
Bien que les œuvres choisies aient pour thème la nudité artistique, il existe toute une panoplie de tendances. Des tendances que je qualifierais de parfois « soft », parfois « hard », d’autre fois de « réflexion » et parfois un terme dit de « hard reflexion ». Veuillez pardonner mon utilisation momentanément de l’anglais dans le cadre de cet article. Mais, il s’agit-là des thermes les plus appropriés pour décrire plusieurs de ces œuvres qui m’inspirent grandement pour la composition notamment de mes poèmes lesquels semblent être très appréciés par mes abonnés.
Parmi les dernières œuvres que j’ai trouvées, un dessin réalisé par le dessinateur connu sous le pseudonyme CapitaPerdu a attiré mon attention par son originalité tant amusante qu’inattendue. Amusante puisque la manière dont le dessin a été fait dénote, du moins à mes yeux, un certain sens humoristique mais avec un souci minutieux de respecter la force qui se dégage des modèles féminins. En effet, l’on a qu’à penser aux traits dudit dessin qui nous font ressentir l’aspect combatif de la scène en action notamment par la sévérité des visages et aux poses ardues tenues par les modèles.
Une originalité qui est tout à fait remarquable puisque le dessinateur a ajouté une touche bien personnelle à son dessin pour, était-ce volontaire, le différencier de la photo initiale. Je prends à titre d’exemple, l’absence de tatouages sur la poitrine et les épaules de la modèle « dominante » sur la « soumise » rendant son ouvrage par cette façon de faire plus fluide, plus doux et plus agréable à regarder, voir à admirer. Bien d’autres éléments prouvent une volonté d’honorer le travail du photographe, qui est John Fraser, en adoptant l’image pugiliste qui émane dans les moindres détails. Bref, c’est à mon humble avis une réalisation qui est digne de figurer au sein de mon blogue artistique.