C’est réellement avec un plaisir immense que je peux rédiger un tel article, et ce pour deux raisons majeures. La plus importante est sans contredit la chance d’avoir pu éviter des problèmes de santé lesquels auraient mis en danger ma vie. En effet, j’ai été dans l’obligation de me rendre aux urgences de l’hôpital situé près de chez-moi car mon état de santé m’inquiétait au plus haut point. À vrai dire, les membres du personnel ont du m’hospitaliser suite à la découverte d’une bactérie ressemblant étrangement à la bactérie mangeuse de chair. J’y ai donc passé presque 24 heures sous antibiotiques par voies intraveineuses. Traitement qui durera en clinique aussi longtemps que ce sera nécessaire. Mais, soyez rassurés, je vais très bien maintenant. Morale de cette histoire ? La santé n’a pas de prix. Et, c’est bien vrai.
La seconde raison, c’est de pouvoir vous présenter une photo d’une de mes connaissances rencontrées à l’occasion du Comicom de Québec qui se déroula voilà quelques semaines à l’université Laval. Marie-Lou Ferland avait eu l’amabilité de poser pour votre humble serviteur afin d’enrichir mon album photos lequel servira en quelques occasions à la rédaction d’éventuels articles au sein de mon blogue artistique dédié à la nudité artistique, la poésie et, bien entendu, la photographie. Trois domaines qui me passionnent au plus profond de mon être. Or, la chance m’a sourit une fois de plus puisque j’ai découvert une photo de nudité artistique réellement remarquable où Marie-Lou Ferland a servi de modèle vivant.
Je dois avouer mon grand étonnement d’avoir trouvé une telle photo. Non pas que j’ai douté de son sens professionnel, loin de moi une telle idée, mais plutôt par la qualité du résultat. En effet, tout y est réalisé de manière très artistique avec un soupçon, permettez-moi cette remarque, de sensualité, voire d’érotisme tout en y évitant une quelconque vulgarité. Oui, je peux avouer qu’il s’agit là d’une œuvre d’art bien réussie, et même d’un petit chef-d’œuvre en son genre. Cette photo possède tout pour susciter l’intérêt visuel du spectateur. Je pense notamment à l’effet miroir du corps sur la glace, la luminosité choisie, le jeu des couleurs et enfin, par la pose elle-même choisie par le modèle. Rien ne semble avoir été laissé au hasard durant la séance même si, et j’en parle par expérience personnelle, le « feeling » de l’instant présent y est pour beaucoup dans le choix des poses. D’ailleurs, il n’y a rien de telle que l’inspiration pour y dénicher le meilleur de ce dont on peut offrir devant une lentille d’appareil-photos.
Je termine cette missive pour remercier Marie-Lou Ferland de m’avoir donné sa permission d’utiliser cette magnifique photo afin de rédiger cet article. J’espère que vous serez, chers amis de part le vaste monde, en admiration pour cette photo tout comme je le fus dès mon premier regard posé sur celle-ci.
Vous savez ! Cela fait maintenant plus de 19 ans que je reste dans la belle ville de Québec, sans compter ma période d’étude à l’université Laval où je résidais à même sur le campus, et ce de 1983 à 1996. En effet, j’ai profité de ces années d’études pour élargir mes connaissances tant en histoire, en sciences politiques et en communication publique. Je dois ma passion pour la connaissance à ma défunte mère qui a fait tout en son pouvoir afin de m’inculquer le goût de la lecture et, par conséquent, l’ouverture sur le monde.
C’est ainsi que j’ai fit la connaissance de gens extraordinaires avec qui les échanges d’idées m’ont amené à évoluer au fil du temps. Il va de soi que notre perception du monde se transforme selon nos expériences personnelles et la réalisation de nos projets lesquels peuvent être des réussites ou bien des échecs. La vie est ainsi faite. C’est là une vérité que nul d’entre nous ne peut se soustraire. Et, croyez-moi sur parole, il en va de même pour votre humble serviteur.
Or, j’ai eu l’opportunité de m’investir dans des domaines qui m’étaient, semble-t-il, interdis vu ma situation physique dont la pratique des arts martiaux et le monde du modèle nu. En ce qui concerne ce dernier, cela m’a parmi de faire la connaissance de gens tout à fait magnifiques et avec qui j’ai approfondis davantage mon bien-être intérieur face à la particularité de mon corps. Inutile d’en dire plus à ce sujet. N’est-ce pas ?! Toutefois, il m’est arrivé en certaines occasions de découvrir que quelques-unes de mes connaissances avaient la même passion en ce qui regarde la nudité artistique. Une nudité qui est aux antipodes de ce que le web regorge en fait de pornographie car son but premier est avant toute chose la recherche de la beauté en évitant de sombrer dans la vulgarité.
C’est ainsi que j’ai trouvé quelques photos réalisées par une de mes amies de Québec au fil de nos discussions sur le réseau social Facebook. Qu’ai-je ressenti en voyant, je devrais plutôt écrire en admirant, les photos de mon amie Mélia Niang ? Tout d’abord, je fus ébahi par le charme qui se dégage de chacune de ses photos. Un charme typiquement féminin où l’œil averti peut y déceler avec aisance la recherche de la perfection non seulement dans les poses choisies mais aussi dans l’expression corporelle de ce modèle féminin exceptionnel.
Ensuite, la sensualité y est présente mais de manière réellement respectueuse à l’endroit de Mélia Niang. Elle a su tenir les poses de manière à éveiller la masculinité, voire ici le désir bien légitime d’aller vers l’autre sexe, tout en amenant une profonde réflexion sur la féminité chez votre humble serviteur. Pourquoi est-ce si beau ? Pourquoi suis-je si attiré ? Et, corollairement, par quoi suis-je vraiment attiré ? Autrement dit, quelle est donc la force attractive de ces photos ? Enfin, force est de constater que je fus étonné que l’une de mes connaissances de Québec ait accepté de collaborer à une telle séance photo, surtout en ce qui concerne Mélia Niang, car jamais elle ne m’avait fait part de son intérêt pour un tel domaine lors de nos rencontres à la brûlerie limoilou de Québec.
Quoiqu’il en soit ! C’est vraiment avec une joie indescriptible que j’ai fait une telle découverte. Je profite de l’occasion qui m’est offert pour la remercier d’utiliser ces photos dans l’optique de rédiger le présent article.
Et, qui sait ?, nous vivrons peut-être une séance de nudité artistique dans le futur. Tout est possible dans la vie. N’est-ce pas ?
Pluie du printemps, J’entends gaiement souffler le vent, Vent froid qui rafraîchit mon corps fatigué,
De voir ce triste monde j’en suis épuisé.
Pluie du printemps, Que ton bruit est doux à mes oreilles, T’écouter est une pure merveille, Et me fait revivre le temps où j’étais enfant.
Pluie du printemps, Qui annonce les douceurs de l’été, Faisant disparaître la neige de l’hiver passé, Écouter ta mélodie quelle chance d’en avoir le temps.
Pluie du printemps, Larmes des tendres sirènes, Qui guérissent les blessures de la haine, Lave mon âme de mes péchés qui me tourmentent tant.
Pluie du printemps, Pluie qui ne dure jamais longtemps, Calme mon esprit de ses futiles pensées, Car je sais que bientôt le ciel deviendra tout étoilé.
Connaître, c’est sortir du carcan de l’ignorance !
Bonjour mes amis du Québec et des pays de la francophonie !
Je vous invite cordialement à lire cet ouvrage extraordinaire écrit par Monique Fournier sur l’évolution historique du Québec de la fondation de la Nouvelle-France jusqu’à aujourd’hui. Différentes thématiques sur l’histoire du Québec y sont présentées de manière à la fois simple pour la compréhension des faits et agréable pour la lecture sans pour autant omettre l’aspect scientifique avec des données servant à appuyer les affirmations de l’auteur.
À lire absolument pour les passionnés de l’histoire du Québec.
Connaître, c’est sortir du carcan de l’ignorance !