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Qu’est-ce que vivre ?

Qu’est-ce que vivre ? Texte de réflexion par Rolland Jr St-Gelais Dessin par Eri Kel de la France

Qu’est-ce que vivre ?

Il y a bien des événements qui ont eu lieu ces dernières années. La majorité, je le reconnais, est constituée de faits joyeux. Il y en a d’autres qui sont plutôt cocasses et, plus rarement, Dieu merci, tristes. Je n’ai donc pas raison de me plaindre et, vous me connaissez bien, je suis loin d’être un plaignard. La vie est somme toute belle pour moi et, ma foi, je le lui rends bien.

Ceci ne m’empêche guère de me poser des questions sur les choix que j’ai faits. Choix tant dans ceux de mes fréquentations que par ceux liés à mon mode de vie. Lesdits choix étaient-ils conformes à mes valeurs judéo-chrétiennes ? Étaient-ils en harmonie avec mes besoins réels ? Une chose est certaine. J’assume l’entièreté de mes décisions et les conséquences qui vont avec elles.

Cependant, je me pose une question fondamentale. En effet, sur quoi aurais-je dû appuyer mes réflexions avant toute prise de décision ? Je répondrai à cela sur quatre pièces. Des pièces que je qualifierais de « maîtresses ». Elles ont immergé, telles quatre îles à la beauté sublime, de la philosophie grecque. Des pièces tellement importantes que l’Église catholique en a fait des vertus dites cardinales. Il s’agit de la sagesse, de la prudence et de la tempérance ainsi que celle du courage. De telles vertus ont tout de même été présentes depuis mon arrivée dans la capitale nationale en 1998. Mais, il y a des circonstances dans lesquelles j’aurais pu être plus attentif à une telle richesse.

À vrai dire, ces quatre vertus cardinales constituent sans contredit le pilier d’un bonheur véritable. Mais, comme un marin trop sûr de son bateau, il arrive que, parfois, on oublie de rentrer à bon port et d’y rester jusqu’à la prochaine accalmie. Heureusement, l’ancre de mon bateau est faite solide. Il en est de même de la charpente du navire sans oublier l’exactitude de ma boussole qui est un précieux outil pour naviguer dans les eaux tumultueuses des erreurs. 

Dieu merci. La sagesse me permet d’avoir un regard critique sur le passé. La prudence favorise le raisonnement afin de prendre les décisions adéquates pour le futur. La tempérance met un frein à des idées préconçues qui faussent de manière subtile la réalité. Enfin, le courage demeure sans contredit la pierre angulaire sur laquelle on peut s’appuyer pour d’un côté, éliminer le superflu de ma vie et, de l’autre, de garder ce qui me convient à la construction d’un bonheur véritable. 

Ce qui m’amène à résoudre cette interrogation : Qu’est-ce que vivre ? Je réponds par ceci : c’est sans cesse avancer. C’est souvent tomber. C’est d’avoir la volonté de se relever. Mais, c’est avant toute chose, de regarder toujours devant soi. Bref, c’est d’accepter le fait que nous sommes des êtres faillibles, en proie aux erreurs. Tout ceci est une partie inhérente de l’expérience humaine. C’est grâce à celle-ci, que l’on apprend encore et encore.

Merci de m’avoir lu.

Rolland Jr St-Gelais de Québec au Canada

Qu’est-ce que la féminité ?

La féminité ? Modèle Jenovaxlilith Photo par Christopher Warrick Source : https://www.deviantart.com/jenovaxlilith/art/whiteout-871208119

Qu’est-ce que la féminité ?

Bonjour tout le monde,

Cela fait maintenant plus de 8 ans que je publie des articles au sein de mon blogue consacré à la nudité artistique, à la poésie et à la photographie ainsi qu’à des réflexions sur divers sujets. Certains de ces sujets sont plutôt légers tandis que d’autres sont plus difficiles à développer. Il m’est arrivé en quelques occasions d’avoir été surpris par quelques-unes des réponses reçues à la suite d’appels à l’aide sur mon Facebook. Des réponses qui ont démontré un malaise palpable en particulier chez une répondante. Certes, nous agissons de manière différente face à une question qui nous interpelle. C’est notamment le cas où l’importance de l’image est omniprésente au sein de la société.

Mais au fait, comment ai-je précisé un tel appel à l’aide sur mon Facebook? Tout simplement comme suit : « Je suis dans les prémisses de rédaction d’un article qui portera sur la féminité. Par conséquent, j’aimerais avoir vos opinions sur ce que la féminité signifie pour vous. Tout comme la masculinité, chacun et chacune d’entre nous possède sa définition de ce qu’est la féminité. Quels en sont les critères? Pourquoi dit-on ou pas que tel type de comportements, de poses ou d’allures est féminin? La féminité chez la femme est-elle un élément important à vos yeux? J’aimerais avoir vos opinions sur le sujet. Vous pouvez les partager en commentaires ou bien me les dire en messagerie privée. Je vous en remercie à l’avance. »

Vous noterez qu’une telle demande a été faite avec respect. Et pourtant, la première réponse que j’ai reçue de la part d’une abonnée est ceci, je reprends les mots tels quels ;  » Aimerais-tu que j’écrive sur les infirmités? Pourquoi écrire sur la féminité? Je trouve ça bizarre. Écris sur la masculinité ou bien d’autres sujets, mais la féminité, je ne vois pas pourquoi. » Vous pouvez deviner mon grand étonnement lorsque j’ai lu une telle réponse. Mais je rétorque à cette réaction quelque peu agressive par ceci: pourquoi écrirais-je un article sur la féminité? C’est tout simplement parce que nous vivons à une époque où les points de repère sont de plus en plus galvaudés, voire rejetés par une minorité d’individus qui ont pour objectif la destruction des valeurs, c’est-à-dire les piliers, sur lesquelles le monde occidental s’est construit.

Mais qu’est-ce donc que la féminité? Ne voulant pas faire attendre plus longtemps mes abonnés, j’ai décidé de vous offrir ma propre réponse. Une réponse qui va sûrement vous étonner. Pour moi, la féminité, celle qui est voulue par la nature et dont les femmes seules ont à la fois le droit et le privilège de vivre pleinement, confère à l’humanité son caractère humain. En effet, à la force brute propre à la masculinité de l’homme et qui est capable d’arracher une pierre d’une montagne, la féminité répond par la patience apte à polir ladite pierre afin d’en tirer une œuvre remarquable.

La féminité est plus que le complément à la masculinité. À vrai dire, elle est sa raison d’être. Il ne peut exister de masculinité sans que la féminité y soit déjà présente. Je dirais même que la féminité occupe le haut du podium dans la notion de la perfection.

Bon! Vous allez me demander ce qu’est la perfection. Je vous réponds qu’il s’agit d’abord et avant des normes voulues par une société saine et de l’évolution de la nature qui a fait de la femme, en lien avec la féminité, et de l’homme, en lien avec la masculinité, ce qu’ils sont et surtout ce qu’ils ne sont pas. Qui sont-ils ? Des êtres dits évolués. Ce qu’ils ne sont pas? De simples primates.

Or, nous vivons dans une société que je qualifierais de gravement malade. Une maladie dont le virus du relativisme gangrène le long processus de l’évolution qui fait de l’être humain ce qu’il est, c’est-à-dire un être humain et non pas un être purement animal. Ici, renier la spécificité de la féminité relève d’un véritable sacrilège à l’égard de la femme. Celle qui s’est souvent battue contre vents et marées afin d’être reconnue l’égale de l’homme. Je dirais même qu’elle a été la pierre philosophale qui a transformé le fer, voire la réalité pure et dure, en or.

En résumé, je suis un passionné de la beauté, de la grâce, de la noblesse dont la féminité fait preuve. Je n’ose pas un seul instant imaginer ce que serait devenu le monde sans la présence de la féminité. Souvent, je me plais à me répéter que c’est la féminité qui a donné à l’humanité son âme. Ai-je raison? Ai-je tort? Je ne m’étendrai pas davantage sur ces points. Libre à vous d’être ou pas d’accord avec mon opinion.

Merci infiniment de votre attention.

Rolland Jr St-Gelais de Québec au Canada

Je me pose des questions

Je me pose des questions Texte de Rolland Jr St-Gelais Photo par G.B. d’Allemagne

Je me pose des questions

Bonjour tout le monde,

J’espère que vous allez bien et que vous avez des projets pour le week-end. De mon côté, tout va pour le mieux. Je dois même avouer que le confinement actuel n’a pas de conséquences négatives ni sur mon moral ni sur ma santé physique. En effet, je me fais un devoir d’une part, de fuir toutes formes de négativisme et, d’autre part, d’entretenir ma santé en profitant de la saison hivernale.

Toutefois, je ne peux pas m’empêcher de me questionner sur quelques-uns des aspects liés à la société actuelle. Des aspects qui minent de plus en plus ses fondements. Je fais référence, vous l’avez sans doute noté, à la société occidentale tributaire des valeurs judéo-chrétiennes et de la philosophie hellénique. De telles valeurs ont façonné, parfois pour le pire, mais davantage pour le mieux, tant nos définitions de l’être humain que les lignes de conduite qui ont prévalu jusqu’à nos jours. Des valeurs qui, somme toute, ont fait leurs preuves et qui méritent d’être maintenues pour les décennies à venir.

Trois constats doivent ici être établis afin de saisir l’orientation du présent article. Mais, au fait, quelles sont les motivations qui ont amené votre humble serviteur à rédiger un tel article au sein de mon blogue artistique? Bien que l’objectif soit avant toute chose la nudité artistique accompagnée par la poésie et la photographie, la réflexion personnelle y occupe une place importante.

Mon intention est en deux volets. D’une part, démontrer qu’il est dangereux de remettre en question les valeurs qui ont fait ce que la société occidentale est au plus profond d’elle-même. C’est-à-dire l’héritière du monde gréco-romain. Et, d’autre part, de rejeter les valeurs judéo-chrétiennes, parce que nous sommes entrés dans une ère où la science et la technologie sont devenues des démiurges omniprésents dans toutes les sphères qui composent nos vies, risque tôt ou tard de créer un néant dans lequel chaque individu remplira selon son gré. Un tel néant s’accentuera au fil des rejets des valeurs judéo-chrétiennes qui pullulent dans les milieux bien-pensants. En résumé, les constats qui sont décrits dans cet article ont pour objectif de prendre conscience que rejeter dans leur globalité les principes sur lesquels nos sociétés ont été établies équivaut à, si je peux me permettre d’utiliser cette expression populaire, jeter le bébé avec l’eau du bain.

Ici, trois constats suffisent pour démontrer la véracité de mes propos. Trois constats qui vous prouveront que la rectitude politique et le respect des valeurs judéo-chrétiennes ont encore leurs places à l’ère technologique. Une telle technologie, aussi utile soit-elle, ne peut en aucun temps remplacer ce que les êtres humains sont : des âmes incarnées à la recherche de l’absolu.

Parmi ces constats, le premier est de prendre conscience que nos valeurs sont nées des réflexions issues de la Grèce antique, dont la notion de la démocratie. En effet, nul d’entre nous ne peut imaginer un seul instant à tel point la philosophie grecque a donné naissance de notre monde. Certes, d’autres philosophes qui ont vécu plus près de notre époque eurent également une influence considérable dans la formulation de la démocratie. Il n’en demeure pas moins que la philosophie grecque demeure la pierre angulaire d’une telle formulation. Or, il semble que la notion même de démocratie appartient à une frange minime de la société pour laquelle tout ce qui s’éloigne de sa vérité mérite d’être mis à l’index. Pourquoi donc ? La démocratie pour qui bien des gens ont lutté, soit pour la protéger soit pour l’obtenir, serait-elle si mauvaise?

Le second constat est l’allergie que les sociétés éprouvent à l’égard de tout ce qui découle des valeurs nées du judéo-christianisme. Or, ce sont ces valeurs qui ont permis l’émergence de la majorité des hôpitaux, des centres pour les itinérants et bien d’autres œuvres de bienfaisance. Qui plus est! Ce sont aussi ces valeurs qui sont à l’origine d’une majorité des programmes sociaux, du moins en ce qui concerne le Canada.

C’est notamment le cas de l’œuvre extraordinaire du pasteur Tommy Douglas qui, devant la pauvreté grandissante des gens touchés par la crise économique des années 1930, se devait de mettre en pratique le message chrétien qui exige de permettre aux plus vulnérables de la société de vivre dans la dignité. Il est à noter que la doctrine sociale de l’Église catholique possède une vision quasi similaire à celle du Cooperative Commonwealth Federation. Une des conséquences directes de cette doctrine est la fondation de l’Institut de réadaptation de Québec. Un tel établissement avait à l’origine de favoriser un retour des travailleurs ayant subi un accident de travail, de reprendre une vie la plus normale et de retourner dans la vie active. Pourquoi alors une telle allergie au sein de la population? Les valeurs judéo-chrétiennes n’ont-elles pas fait leurs preuves? Ont-elles été aussi néfastes comme le prétendent les bien-pensants de la gauche caviar?

Le dernier constat se rapporte au fait que ce sont les minorités qui semblent gouverner dans nos sociétés actuelles. Certes, les minorités ont le droit de parole et leurs membres ont aussi le droit inaliénable à l’existence. Toutefois, elles ne peuvent tenir des discours qui ont pour objectif la destruction de ce qui a fait ce que nos sociétés sont fondamentalement, c’est-à-dire un regroupement d’individus qui acceptent de vivre selon des normes qui se sont avérées propices pour le bien-être de la collectivité.

Or, certains de ces groupuscules rejettent non seulement les valeurs citées plus haut, mais également la notion même de « masculin » et de « féminin » sous prétexte qu’il s’agirait de constructions sociales. Je ne peux être en accord avec un tel raisonnement pour une question de gros bon sens. Détruire les notions de « masculin » et de « féminin » ne ferait d’accentuer le néant qui est apparu au sein de notre société. A-t-on besoin de ceci? Est-ce nécessaire pour notre équilibre? Et, surtout, pourquoi en arriver là? Ne serait-ce pas la preuve indiscutable de la tyrannie de la minorité, la très petite minorité, envers la majorité? Serait-ce la pointe de l’iceberg qui défonce le navire dans lequel notre société se trouve et qui l’amène inlassablement vers les abysses?

Je garde l’espoir que le mouvement du pendule le portera tôt ou tard vers la droite afin de préserver les acquis qui ont fait ce que notre société est : une terre où prédomine une réflexion axée sur la raison et où les valeurs judéo-chrétiennes ont fait leurs preuves. Pour toutes les personnes qui craignent un quelconque extrémisme de la droite, je vous exhorte de vous calmer. En effet, le pendule reprendra le mouvement en sens inverse en temps et lieu. L’histoire en est ainsi.

 

Merci de m’avoir lu.

Rolland St-Gelais de Québec au Canada

Et action

DeviantArt du photographe RickB. : https://rickb500.deviantart.com/ Pour acheter un exemplaire du portfolio, écrire à cette adresse email : rickB@arcor.de

Et action

Bonjour tout le monde,

J’espère que vous entreprenez la dernière semaine du mois de novembre de manière satisfaisante. Pour ma part, je dois dire que tout va bien. En effet, j’ai décidé depuis belle lurette de garder le sourire et de faire confiance en la vie. Qui sait ce que l’avenir lui réserve? Ce qui ne signifie pas que l’on doit être imprudent, ni téméraire, mais plutôt d’essayer de faire son possible au jour le jour. C’est ce que j’appellerais simplement être en action puisque chaque action aussi minime soit-elle peut être le début d’une aventure, d’une rencontre, d’une création et même d’une nouvelle vie. 

Il en est de même lors d’une séance photo dans laquelle la nudité est présente. Cela va peut-être vous paraître bizarre, mais le mouvement existe bel et bien au moment précis pendant lequel la photo est prise car tout continue de vivre. C’est un fait indéniable que la vie existe par le mouvement lequel peut être à peine perceptible à l’œil nu. J’ai à titre d’exemple cette magnifique photo réalisée par mon ami Rick B., d’Allemagne lequel est accompagné par un modèle féminin possédant, avouons-le, un corps superbe. 

Nous pouvons croire, en regardant cette photo, que tout semble être arrêté. Or, il n’en est strictement rien puisque la vie continue son cours inlassablement. Entend-t-on les oiseaux chanter dans les arbres, les échanges entre le photographe et son modèle ainsi que le bruit environnant? Et pourtant tout porte à croire que de telles réalités existent bel et bien surtout dans un milieu urbain. Je pense notamment au fait qu’une telle photo ai été faite en public tout en prenant soin d’être loin des regards indiscrets. En résumé, tout autour d’eux demeure en action. 

Autrement dit, l’action est la vie et la vie est action. Cela peut se manifester certes par le corps mais également par l’esprit. C’est encore le cas dans la photo qui vous est présentée dans cet article. En effet, les réflexions ne cessent pas d’affluer tant chez le photographe que chez le modèle. Cela peut être notamment sous forme de questions. Cette pose convient-elle? Est-ce l’objectif que je recherche? Pouvons-nous faire mieux? Quel serait le meilleur angle? L’endroit est-il propice pour telle ou telle pose? La liste peut s’allonger encore et encore. Bref, rappelez-vous de ceci : Tout est action.

Merci de m’avoir lu.

Rolland Jr St-Gelais de Québec au Canada

Quelle merveille est le corps humain

Quelle merveille est le corps humain Texte de RollandJr St-Gelais Photo par FantasyArtReference Modèle : Catalina Source : https://www.deviantart.com/fantasyartreference/art/Cat-6845-2-861747598

Quelle merveille est le corps humain

Bonjour tout le monde,

Vous savez probablement que cela fait plusieurs années que je publie des articles presque de manière quotidienne au sein de mon blogue consacré à la nudité artistique, à la photographie, à ma passion en tant que modèle vivant et à la poésie ainsi qu’à des réflexions sur la vie. Ces dernières ont pris une place de plus en plus importante au fil du temps. Il est vrai que ce blogue est devenu un peu mon enfant chéri tellement j’y ai consacré d’heures et d’énergie afin de l’enrichir, lui donnant ainsi ses lettres de noblesse.

Or, après avoir longuement réfléchi, je me suis rendu-compte qu’une telle noblesse réside avant tout chez celle que l’on retrouve chez le corps humain. En effet, le corps humain est en soi un pur chef d’œuvre liant à la fois force et agilité, sexualité et pudeur, matérialité et spiritualité ainsi que fermeté et fragilité. Le corps humain témoigne à lui seul le caractère sacré de la vie. Je l’admets avec humilité qu’un tel caractère se trouve également chez tous les êtres vivants sur terre. Néanmoins, le corps humain possède à lui seul une beauté que l’on ne retrouve nulle part ailleurs. 

Une beauté que plusieurs artistes ont cherché à immortaliser, notamment chez les peuples helléniques. Une recherche qui est reprise, quelques fois de manière particulièrement bien réussie telle que cette photo l’illustre à la perfection, par certains artistes de notre époque. Des artistes qui utilisent divers supports pour réaliser leurs œuvres. Or, semblerait-il, l’utilisation de la photo est l’outil par excellence chez plusieurs d’entre eux. Un outil qui, lorsqu’il est manipulé avec soin et attention, donne des résultats spectaculaires démontrant une fois de plus que le corps humain est véritablement une pure merveille.

Merci de m’avoir lu.

RollandJr St-Gelais de Québec au Canada