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Parfois, il faut mettre un stop

Parfois, il faut mettre un stop Texte de Rolland Jr St-Gelais Photo par Gb62da Source : https://www.deviantart.com/gb62da/art/Stop-888369858

Parfois, il faut mettre un stop

Bonjour tout le monde,

J’espère que vous pouvez profiter des rayons chauds du soleil, surtout en cette période de canicule, que l’on a au Québec actuellement. De mon côté, je profite de chaque occasion qui passe pour me remplir l’esprit de pensées positives, lorsque je me promène en quadriporteur sur la piste cyclable qui passe devant mon domicile. Une piste cyclable dont le parcours mène en des lieux de repos entourés de verdure où de charmants écureuils gambadent joyeusement ici et là pour le plus grand plaisir de l’auteur de ces lignes.

Il m’arrive souvent de réfléchir lors de mes promenades. Ces réflexions portent sur des éléments de l’existence humaine. Des éléments tant intérieurs qu’extérieurs qui jalonnent l’expérience de la vie. Vous conviendrez qu’ils sont légion chez bon nombre d’individus. Qui plus est! De tels éléments influencent de manière très négative nos esprits.

En ce qui me concerne, j’ai remarqué qu’il ne se passe pas une journée où le négativisme soit omniprésent en particulier dans les médias de masse. Voilà pourquoi j’ai pris la décision de mettre un frein, ici, au Québec, on dit mettre un stop, à cet afflux de négativisme. Quand cela devient trop, il est inutile de vouloir encaisser au risque de perdre notre santé physique et psychologique.

Mais, qu’en est-il de relations toxiques que nous entretenons au quotidien? J’inclus par le terme de « relations toxiques » autant les amitiés que les relations amoureuses et même de simples relations de travail, voire certaines rencontres d’individus qui grugent notre énergie. Certes, nous avons un besoin foncier d’établir des relations avec autrui qui peuvent dans certains cas mener à des liens amicaux. Doit-on pour autant ouvrir notre intimité au premier venu? Bien sûr que non. C’est une question de protection de sa personne.

Chaque relation doit être basée d’une part, ce qui peut être acceptable d’être dévoilé et, d’autre part, ce qui ne l’est pas. Ce qui inclut les relations amoureuses. En effet, le pouvoir de garder secret un jardin est à la base d’une harmonie saine entre les individus. Telle une porte blindée protégeant un trésor d’une valeur inestimable contre des gens malintentionnés, être capable de savoir garder le secret sur l’aspect le plus intime de notre vie personnelle est le gage d’une grande sérénité.

Pour se faire, une seule chose doit être pratiquée de manière absolue. Une chose que bien des gens ont ignorée au fil des années. C’est-à-dire de savoir mettre un frein à tout ce qui nous empêche d’atteindre cette sérénité. Et comment cela peut-il être possible? Tout simplement en mettant en pratique ceci : « se mêler de nos affaires et faire en sorte qu’autrui ne se mêle pas des nôtres ».

Cela me fait penser à la formule que les membres de la communauté médiatique du Québec ajoutent en bas de leurs communiqués de presse. En l’occurrence, il s’agit du chiffre -60-. Ici, tout ce que l’on doit retenir c’est que tout ce qui peut être dévoilé se retrouve au-dessus de ce chiffre et tout ce qui ne se dévoile pas se résume en une page blanche. C’est aussi simple que cela.

Merci infiniment de votre attention

Rolland Jr St-Gelais de Québec au Canada

J’aurais dû le savoir

J’aurais dû le savoir
DeviantArt du photographe RickB. : https://rickb500.deviantart.com/ Pour acheter un exemplaire du portfolio, écrire à cette adresse email : rickB@arcor.de

J’aurais dû le savoir

 

J’aurais dû le savoir,

Que tout était qu’une histoire,

Une histoire d’une nuit, une histoire d’un soir.

Un conte de fée qui fut écrit sur une page blanche à l’encre noir.

 

Tu m’avais dit belles paroles,

De ces mots d’or qui vite s’envolent,

Je m’étais attaché à tes gestes d’amour,

Bien naïve d’avoir cru que cela serait pour toujours.

 

J’étais tellement bien seule,

À l’ombre du soleil sous le tilleul,

Lisant un roman dans la douceur de l’instant,

Profitant de chaque seconde s’écoulant lentement.

 

Tu es venu me trouver,

Avec ton regard langoureux,

De moi, tu me semblais être amoureux,

Avec ton air d’un gentil hors-la-loi tu as su me charmer.

 

Nous nous sommes revus à quelques reprises,

Par tes gestes si attentionnés, je fus de toi éprise.

Sans me douter mais avec du plaisir, je me suis laissé enjôler.

De ton corps d’Adonis de tout mon cœur je voulais tant y goûter.

 

Voyant mon désir en moi m’envahir,

Chez-toi tu m’invitas avec un profond soupir,

Comment aurais-je pu résister à ta belle masculinité?

Je voulais tant recevoir en moi ta si mystérieuse virilité.

 

Quelle belle nuit nous avions ensemble vécue,

Dans la chaleur de tes draps, nous étions bien nus.

Tel savoir-faire dans tes gestes pour m’amener au septième ciel,

Tendres baisers, doigts curieux, langue fouineuse avec la douceur du miel.

 

Tu me répétais sans cesse que tu m’aimais,

Qu’avec moi, tu vivrais maintenant et à jamais.

Tu me gavais de belles paroles et de chaude semence,

À tel point que je me sentais envahir par une incroyable démence.

 

Puis vint l’obscurité d’un sommeil réparateur,

Afin de pouvoir encaisser comme tu es si beau-parleur,

Car, vois-tu, une fois que tu es parti pour aller travailler,

Une lettre juste à mes pieds j’ai soudainement trouvée.

 

Une lettre signée par ta douce-moitié,

Par ta femme que tu semblais réellement aimée,

Et, à ce que j’ai pu finalement comprendre en la lisant.

Vous vivez, elle et toi, depuis longtemps avec vos deux enfants.

 

J’aurais dû le savoir dès l’instant où je t’ai vu,

Par tes lèvres, belle romance, tu savais bien racontée.

J’aurais dû le savoir dès le moment que tu me pénétras,

Depuis toujours avec mon cœur fragile, avec délice tu jouas.

 

De

 

RollandJr St-Gelais

Québec (Québec)

Canada