Une bouffée de fraîcheur Juil12 Une bouffée de fraîcheur Poème par RollandJr St-Gelais Source : https://www.deviantart.com/appetitive-soul/art/00-01025-848249495 Une bouffée de fraîcheur Me berçant bien tranquillement, Je pensais à ma jeunesse en souriant, En écoutant une vieille chanson d’une groupe jadis populaire, Un groupe sur des îles où j’étais partie jadis faire cette lointaine guerre. Fraîchement arrivé en ces lieux, J’avais sûrement l’air avec un peu mystérieux, Avec mon manteau d’un soldat parlant peu la langue du pays, C’est alors qu’est apparue cette dame qui m’a tout simplement souri. Elle m’invita à prendre le thé et quelques biscuits, Elle m’apprenait les coutumes des gens de l’endroit, Afin d’être toujours sur le bon chemin celui est le plus droit, Ce qui ne nous pas empêchés d’avoir de bon cœur souvent ri. Les jours et les semaines ont si vite passé, Jusqu’au jour où j’ai dû pour le front embarquer, Lui annonçant que je m’absenterai pour longtemps, Sans lui dire, secret de guerre oblige, où j’allais précisément. C’est alors qu’elle me tendit avec une larme à l’œil de cette photo, Qui allait devenir parmi mes souvenirs le plus beau des cadeaux, Cette photo que j’ai réalisée parce qu’elle me l’avait demandée, Et devant sa grande beauté, à sa demande je n’ai pu résister. Une photo que je conservais bien précieusement, Tout près de mon cœur presque religieusement, Qui me protégeait tel un puissant talisman, Le jour fatidique du Débarquement. Jusqu’à ce moment j’ignorais pourquoi j’étais là, Mais dans le sable couvert de sang que j’ai compris, Qu’enfin tout avait un sens dans ma modeste vie, J’ai découvert que tout mon amour était pour toi. Ton doux visage me donna ardeur, Mon amour pour toi éloignait mes frayeurs, Jusqu’à cette journée bénie où vint la capitulation, Qui mit fin à cette querelle entre de nombreuses nations. Je suis retourné vers ta natale Angleterre, Afin qu’avec moi tu viens découvrir une autre terre, Où nous fonderont famille heureuse avec de beaux enfants, Ce à quoi tu me répondis avec plaisir bien évidemment. Les années passèrent dans le sablier du temps, De ces années de mille bonheurs que je me rappelle souvent, Jusqu’au jour la maladie t’emporta bien tristement, Mais un jour je te rejoindrai certainement, Alors je ne m’en fais pas vraiment. Car lorsque je regarde cette photo que tu m’as donnée, Je sens quelques larmes sur mes joues couler, Des larmes venant d’un si grand bonheur, Que je ressens comme une bouffée de fraîcheur. De RollandJr St-Gelais Québec (Québec) Canada Partager :Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Skype(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)WordPress:J’aime chargement…