Archive | juillet 2014

Verdure qui passe!

Verdure d'été!
Verdure qui passe!

Verdure qui passe!

 

Ô parents et amis des saisons de jadis,

Je vous le jure et à jamais je vous le redis;

Chose est certaine en ce monde que la douceur de l’été n’a pas son pareil.

Et ses couleurs si bigarrées sont à mes yeux de pures merveilles.

 

Admirer les diverses formes de la grâce propres à la féminité,

En secret, bien entendu, afin de ne point les offenser.

Car un chaste regard est toujours pour toutes ces dames,

Au plus haut point apprécié tant par leurs cœurs que par leurs âmes.

 

Ô verdure incommensurable de ce bel été!

Toi qui défiles au gré du temps et qui pourtant sans répit revient,

Tu nous rappelles certes notre funeste destiné,

Que de notre naissance, hélas un jour, notre mort survient.

 

Mais, d’ici-là, inutile de songer ne serait-ce qu’un seul instant,

À ce triste moment de notre trépas qui nous fait faux bond,

Profitons dès maintenant chers comparses de ce soleil resplendissant,

Et délectons-nous de ce plaisir si délicieux tel un simple bonbon.

 

Oui, je vous le redirai sans cesse quitte à en perdre la voix.

Que nous sommes, au cas où vous l’ignoriez, des enfants de la lumière,

Et dire le contraire, vous pouvez en être convaincus, n’est que des chimères.

Ceci dit ! Marcher sous l’astre du jour, telle est notre ultime voie.

 

Le royaume d’Hadès envie les mortels que nous sommes depuis l’éternité.

Tandis les dieux de l’Olympe, de leurs trônes imposants, redoutent notre science,

Laquelle ils le craignent fort assurément dans un profond silence,

Nous permettra peut-être de leur dérober le secret de l’immortalité.

 

Ne cessons pas de bénir la vie pour ce qu’elle nous donne,

Et faisons l’amour avec fougue et grand plaisir,

Et festoyons gaiement avec une chanson que l’on fredonne,

Sans oublier de partager avec les démunis afin de leur donner un sourire.

 

Ô verdure d’un bel été!

Tu me rappelles avec délicatesse ma destinée,

Qui est d’une étonnante frivolité:

C’est d’aimer et d’être aimé.

 

De

 

Rolland St-Gelais

Québec (Québec)

Canada

Résurrection!

Résurrection
Résurrection

Résurrection!

Pauvre être humain que je suis,
Chaque fois que mes yeux te contemplent,
Mon cœur pourtant rempli d’amour languit,
Car j’aimerais t’ouvrir mes bras tel un temple.

Aussi radieuse qu’un ange descendu du Ciel,
Tes lèvres me font penser à la douceur du miel.
Et tes yeux mirifiques telles des émeraudes,
Me rappellent la grâce de l’aube.

Nul besoin de me regarder,
Et encore moins ton attention me donner,
Puisque ta présence près de moi me suffit,
Pour faire le bonheur à l’homme que je suis.

Non! Je t’en pries ne dis point un mot.
Car dans ton regard je vois bien,
Que je suis, hélas!, le dernier des vauriens,
Et pourtant, de ton âme j’aimerais tant en extirper les maux.

Quel crime impardonnable ai-je commis?
Dis-le moi, je t’en supplies, à tête baissée.
Pour me refuser ce tendre baiser,
Qui seul saura apporter un répit à mon corps meurtri.

Ce que tu es belle, Ô ma bien-aimée!
Admirer un instant ta beauté en toute simplicité,
A changé à tout jamais le restant de mes jours,
Puisqu’en moi est enfin ressuscité le grand Amour.

de

Rolland St-Gelais

Québec (Québec)

Canada

inspiré.

Québec est en elle-même une oeuvre d’art.

La ville de Québec
La ville de Québec

Québec est en elle-même une œuvre d’art.

J »ai décidé pour aujourd’hui de vous montrer un aperçu de la belle ville de Québec.

Ma vie y a pris une tournure très positive.

Qui plus est! J’y ai accompli de très belles réalisations.

Rolland St-Gelais

Québec (Québec)

Canada

Ophidien

La nudité féminine est souvent une source extraordinaire de poésie.