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C’est l’heure de la fessée

C’est l’heure de la fessée Poème de RollandJr St-Gelais Photo de Appetitive-Soul Source : https://www.deviantart.com/appetitive-soul/art/S-l16e00-934242297

C’est l’heure de la fessée

 

Ma petite coquine,

Mon adorable copine,

C’est le moment tant attendu.

Je t’ordonne de t’exposer à moitié nue.

 

Descends ta jupe et laisse-moi faire pour ton caleçon.

Je le baisserai moi-même avec toute mon attention.

À bien y penser, il vaudrait peut-être mieux tout ôter.

Pour une bonne sanction, tout doit être présenté.

 

Mets-toi sur tes genoux,

Sur ces coussinets orientaux si doux.

Penche ton corps sur cette chaise de bois,

Et, compte lentement jusqu’à trois sur tes doigts.

 

Prends patience, ô, femme fidèle, mais pécheresse.

De tes offenses vénielles, je saurais te châtier avec tendresse.

Galbe ton postérieur divin afin que je puisse l’évaluer à sa juste valeur.

Avant que le premier coup de cravache l’ait embrassé en cette heure.

 

Combien de soufflets mérites-tu selon toi ?

Je te l’ordonne, en cet instant précis, dis-le-moi.

Sois sans crainte ! Tout ceci est qu’un simple jeu.

Que l’on réalise comme de jeunes amoureux.

 

Je dois reconnaître que cela me convient bien.

De tenir cette œuvre faite de cuire dans ma main.

Et d’entendre avec plaisir chaque respiration que tu fais,

De cette punition corporelle, je m’aperçois comme cela te plaît.

 

Oui, reste comme ça, ô, mon âme soeur.

La fougue de mes coups retentira avec ardeur,

De ton derrière j’ai le privilège incommensurable,

De le taper pour toutes tes fautes impardonnables.

 

De

 

Rolland Jr St-Gelais

Québec (Québec)

Canada

Pendant que tu es endormie

Pendant que tu es endormie Peinture par Noble Roro de la France et poème par Rolland Jr St-Gelais de Québec au Canada

Pendant que tu es endormie

 

Dans la chambre, je suis entré,

Lentement sur la pointe des pieds.

Sans faire de bruits en ce lieu,

Cet endroit béni par tous les dieux.

 

Doucement, j’ai cherché mes vêtements.

Sans oublier, il va de soi, mes sous-vêtements.

Une paire de bas, mon caleçon et ma camisole,

Mon pantalon et ma chemise avant que je m’envole.

 

Avec un silence monastique, j’ai tout enfilé,

Pendant que j’admirais avec respect ta féminité.

Éclairée à la lueur de la lampe tamisée d’un abat-jour,

Qui révélait, à mes yeux, le charme de tes contours.

 

Ces orées que j’aimais tant caresser avec plaisir,

Jusqu’à l’instant sublime où je t’ai entendu gémir.

Sentir ta peau frissonner sous mes doigts jusqu’au matin,

Par mon seul désir de satisfaire avec attention tes besoins.

 

Maintenant que j’ai réalisé avec tant de dextérité mon exploit,

Je vais rejoindre mon épouse avant qu’elle doute de quoi que ce soit.

Jamais je n’oublierai cette nuit passée en ta compagnie

À jamais, je me souviendrai comme tu es si jolie.

 

Grâce à moi, tu as découvert que tu es une femme fontaine.

Grâce à toi, j’ai vécu un conte digne de Jean de La Fontaine.

À présent, j’y vais avant qu’il ne soit trop tard. Ô, ma chérie.

Quelques gorgées de café et un croissant avalé, je serai parti.

 

Tu es endormie, je te laisse tranquille.

Je retourne maintenant dans cette triste ville.

Je t’enverrai un texto dès mon arrivée.

Oui ! C’est promis. C’est juré.

 

De

 

Rolland Jr St-Gelais

Québec (Québec)

Canada