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Combat de filles

Combat de filles
Combat de filles par James Fraser. Modèles Paige et Tatiana. Source : https://www.deviantart.com/mtl3/art/Girl-Fight-8-827273057

Combat de filles

Bonjour tout le monde,

Combat de filles 3Vous savez probablement déjà que le domaine de la nudité artistique renferme toute une panoplie de facettes d’une variété que je qualifierais non sans gêne de déconcertante. J’ai bien écrit non sans gêne puisque certaines desdites facettes peuvent susciter un certain malaise auprès de personnes peu ou bien pas habituées à de telles initiatives. Des initiatives qui peuvent repousser les limites de l’imagination. D’ailleurs, repousser les limites de l’imagination ne serait-il pas le devoir de tout artiste digne de ce nom ? Poser la question est à mes yeux y répondre.

Parmi les réalisations qui peuvent choquer unCombat de filles 4 public peu ou mal informé de la possibilité des poses de nudité artistique, celles qui mettent en valeur le mouvement de deux modèles nus féminins occupent certainement le haut du pavé. Ce qui semble aller de soi puisqu’il est tout de même rarissime que de telles réalisations photographiques soient faites de nos jours. En effet, la grande majorité des photos de nu sont prises lorsque les modèles posent de manière, disons-le, plus conventionnelle.

Combat de filles 5Pour ce qui est des créations photographiques du nu mettant, si je puis dire, en vedette un duo des modèles féminins en mouvement, le fait d’en avoir une certaine expertise est un pré requis indéniable pour arriver à créer une œuvre digne de mention. Comme dirait le Christ : « Beaucoup d’appelés, peu d’élus » Mais, fort heureusement, il y a parmi mes précieux collaborateurs, un photographe qui a un talent formidable pour ce genre de photos. 1

James Fraser, photographe britannique, est à monCombat de filles 6 humble avis l’un des meilleurs photographes œuvrant dans ce style assez inusité. En effet, son sens professionnel transpose dans l’ensemble de ses œuvres lesquelles démontrent une patience presque angélique de Paige et de Tatiana ses modèles féminins qui, je l’avoue, sont d’une beauté tout à fait exquise. La beauté n’est point un péché lorsqu’elle peut servir à enrichir la nature profonde de l’art. Et, en particuliers, l’art du nu.

Et quoi de plus innovateur sur le plan artistique que de photographier deux modèles nus féminins dans des poses imitant un combat à mains nues? 2 Des poses qui dénotent, je suppose, deux éléments d’une importance capitale dans le déroulement de la séance photo. En premier lieu, une complicité complète entre Paige et Tatiana sans laquelle une telle séance aurait été impossible. Et, en second lieu, une confiance absolue de leur part envers James Fraser. En effet, peu de modèles accepteraient de prendre des poses plus ou moins explicites devant une lentille de caméra même si cela est fait notamment sous un angle presque eurythmique.

Combat de filles 2Enfin, je terminerai mon propos en soulignant l’originalité d’un dessin réalisé par un artiste utilisant le pseudonyme de CapitaPerdu sur la photo de présentation de cet article. Un tel dessin représente de manière assez remarquable l’ensemble de la photo et d’une façon tout à fait agréable à contempler. Certes, ce ne sont pas tous les éléments qui y sont rapportés mais bien les principales composantes, et ce avec un certain cachet. Un cachet qui m’a incité à faire le va-et-vient entre ledit dessin et la photo originelle. Comme quoi, toute représentation de nudité artistique peut devenir en elle-même une source d’inspiration pour un autre support visuel lui donnant ainsi une deuxième vie.3

Je vous remercie de m’avoir lu.

RollandJr St-Gelais

Québec (Québec)

Canada

  1. J’ai déjà eu l’opportunité de rédiger certains articles, parfois sous formes de proses, parfois sous formes de poésie, au sein de mon blogue.

  2. J’ajouterais qu’il n’y a pas que leurs mains qui soient nues dans le cas présent.

  3. Source : https://www.deviantart.com/capitaperdu/art/Harsh-Struggle-840101217

Une vision féminine sur une partie intime de la femme

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Une vision féminine sur une partie intime de la femme par Fa Ph

Une vision féminine sur une partie intime de la femme

Bonjour tout le monde,

Vous le savez d’ores et déjà que la vie m’a donné la chance incroyable de rencontrer des gens possédant à la fois des talents immenses et une ouverture d’esprit peu commune. Des talents dans des domaines et sur des sujets que je n’aurais jamais soupçonnés un seul instant de ma vie. Des sujets de travail rendus possibles grâce notamment à cette ouverture d’esprit dont certaines personnes ont su développer au fil des années. J’ignore si vous saisissez ce qu’une telle occasion représente à mes yeux, mais je rend grâce au Ciel que cela m’est arrivé. Une occasion qui m’a aussi permis de découvrir des œuvres tout à fait remarquables qui représentent, entre autres, des parties de l’anatomie qu’une majorité de gens, sans vouloir porter un jugement irrévérencieux à leur égard, n’oseront jamais évoquer sur le plan artistique.

Ce qui est le cas, mais pas exclusivement, des artistes féminins surtout si le sujet d’étude concerne les parties intimes du corps humain. Vous avez sûrement deviné qu’il ne s’agit aucunement des pieds, des mains ou encore de nez dont je fais référence dans mes propos, mais bien d’organes propres à la procréation ou, si vous préférez un terme plus explicite, servant à une bonne baise.1

Il est tout de même vrai que de choisir un tel sujet de travail est loin d’être une sinécure pour la majorité des artistes œuvrant en arts visuels, et ce peu importe le support utilisé. Une difficulté inhérente à l’exploitation pornographique qui n’a eu de cesse de grandir au cours des trente dernières années et en particulier depuis l’avènement de l’internet lequel regorge de sites pornos plus ou moins légaux.2 Réaliser une œuvre artistique qui a le sexe pour terme principal est loin de faire l’unanimité tant aux yeux du grand public qu’aux yeux de la communauté artistique. Voilà pourquoi, il est impératif que la décision soit mûrement réfléchie et que l’angle avec lequel l’artiste désire prendre appuie soit simple et original. Telle une soupe, une pincée de sel et de poivre suffit pour la rendre délicieuse alors que d’en mettre un peu trop la gâchera.

Rares sont les artistes qui savent, à l’image d’un chef cuisinier, réaliser avec brio une œuvre dont le sujet est les parties intimes. Or, il y en a une qui possède cette disposition extraordinaire. Une artiste dont j’ai déjà rédigé un texte de présentation et un article sur l’une de ses œuvres. Une œuvre qui m’a littéralement bouleversé tant par la beauté même du résultat que par son cachet. Une œuvre qui m’a incité à savoir qui est son auteure. Bref, qui était Fanny ? Un article qui a été accueilli chaudement tant auprès de mes nombreux abonnés que ceux de cette artiste du pays des Helvètes.

À l’œuvre présentant un sexe masculin dans sa position de repos, l’artiste a récidivé en réalisant un dessin qui a mis l’emphase sur l’ensemble des parties intimes de la femme. Une présentation que je qualifie volontiers être de bon goût et tout en douceur. Une peu comme si elle voulait y poser un filtre afin de ne point offenser le commun des mortels. En effet, une telle présentation peut heurter les âmes dites sensibles. La réalité de la vie est ainsi faite.

Une question doit certainement vous venir à l’esprit. Une question que je formulerais ainsi ; pourquoi suis-je interpelé par une telle réalisation artistique sur la partie la plus intime du corps féminin ? Ma réponse est à double volet. En premier lieu, le choix d’utiliser les différentes teintes de noir et blanc afin de décrire dans les moindres détails cette région anatomique spécifiquement féminine est tout à fait formidable. En effet, cela lui donne une certaine aura de mystère tel qu’éprouverait un amant la nuit où il ferait l’amour à sa maîtresse pour la première fois loin des yeux à la fois inquisiteurs et accusateurs, voire envieux et jaloux de leur bonheur interdit. En second lieu, la minutie avec laquelle les détails de cette vulve, il faut savoir dire les choses avec les bons mots si on veut éviter toutes formes de grossièreté, démontre le sens professionnel de cette artiste. Tout y est dessiné avec une qualité remarquable. Une qualité qui rend justice à la noblesse de toutes femmes, jeunes et moins jeunes, qui forment avec les hommes l’humanité. Une noblesse qui démontre de manière indéniable que chaque partie du corps humain mérite un respect absolu.

Je termine cet article en remerciant vivement Fanny de la Suisse pour m’avoir donné sa permission d’utiliser son œuvre pour rédiger cet article. Une rédaction qui, à voir le nombre de paragraphes, m’a beaucoup plu. Et pour cause puisqu’il est rarissime qu’un tel dessin à la fois magnifique et de grande qualité soit fait sur un sujet si particulier.

RollandJr St-Gelais de Québec au Canada

  1. Parfois, il faut dire les choses comme elles le sont afin de se faire clairement comprendre. Qu’on le veuille ou non.

  2. En effet, le caractère légal des sites pornographiques varient de manière considérable d’un pays à l’autre. Ce qui ouvre la voie à des sites qui sont, avouons-le franchement, répugnants.

Pourquoi autant de photos de nudité artistique?

 

Pourquoi autant de photos de nudité artistique

DeviantArt du photographe RickB. : https://rickb500.deviantart.com/Pour acheter un exemplaire du portfolio, écrire à cette adresse email : rickB@arcor.de

Pourquoi autant de photos de nudité artistique?

Bonjour tout le monde,

J’entre directement dans le vif du sujet dans cet article en vous présentant une question qui me vient très souvent à l’esprit. Question qui, d’ailleurs, j’ai posé à quelques reprises à quelques-unes de mes connaissances et amis. Une question qui se résume en ces mots : Pourquoi je m’inspire autant de photos de nudité artistique dans mes publications? Cela peut vous paraître futile qu’une telle question soit le sujet de cet article, mais il n’en est rien. En effet, j’aurais pu tout aussi bien utiliser d’autres sources d’inspiration pour rédiger mes articles car, vous pouvez vous en douter, les sujets sont légions.

Or, l’un de mes premiers désirs qui est venu en mon esprit lors de la gestation de mon blogue consistait, et c’est toujours le cas, à lui donner une image authentique de vulnérabilité de l’être humain. Quoi de plus symbolique que la nudité pour signifier une telle vulnérabilité? Un autre de mes désirs les plus sincères était, il en est de même maintenant, de présenter la beauté et la grâce de la nudité en évitant dans la mesure du possible toutes formes de vulgarité.

J’ai bien écrit « en évitant dans la mesure du possible » puisqu’une photo peut être perçue de manière tout à fait artistique et non vulgaire pour certains et perçue tout autrement pour d’autres. Ne dit-on pas que les goûts ne se discutent pas? (1) À tout cela s’ajoute le souhait de donner à mon blogue un cachet unique en son genre, c’est-à-dire d’incorporer mon expérience personnelle en tant que modèle vivant pour des écoles d’art et des ateliers en art dans une panoplie de réalisations artistiques provenant par le vaste monde.

C’est un fait.  Le titre de mon blogue est bien modèle vivant à Québec, mais je suis un modèle comme bien d’autres, même si je possède un physique pas tout à fait comme les autres, et je me devais d’englober la présentation d’autres modèles et ce, pour une question à la fois de justice et de logique. Qui plus est ! Une telle manière de faire facilite grandement la diversité au sein de mes publications. Et qui dit « diversité », dit aussi « enrichissement ».

En résumé, le choix est donc multiple. Une multiplicité qui repose toutefois sur un seul leitmotiv, celui d’agrémenter votre parcours de manière respectueuse envers les modèles qui offrent leurs services. Un respect que je partage également.

Merci infiniment de m’avoir lu.

RollandJr St-Gelais

Québec (Québec)

Canada

 

1. Personnellement, les goûts constituent une source intarissable de discussion. Oui, les goûts peuvent se discuter aisément mais ils ne peuvent en aucun cas être imposés. Il s’agit d’un sujet susceptible d’être développé ultérieurement.

Ma chère Laurita

Bonjour tout le monde,

Aujourd’hui je désire réaliser une critique à propos de deux photos réalisées par un photographe qui expose ces œuvres au sein du site deviantArt. Un site qui me permet à la fois de correspondre avec plusieurs artistes œuvrant dans le domaine de la photo et du dessin. Ces supports artistiques ont pour sujet la nudité de leurs modèles. Ces derniers sont autant féminins que masculins. Il est tout à fait normal que la permission d’utiliser quelques-unes de leurs œuvres leur soit demandée avant de réaliser un quelconque article. Il s’agit-là d’un principe à la fois moral, d’éthique et légal. Moral puisqu’il s’agit de leurs œuvres. Éthique puisque cela cadre avec la recherche de l’excellence. Légal car agir autrement irait à l’encontre du droit d’auteur.

Toutefois, ma critique s’adresserait à une certaine Laurita. Pourquoi donc ? Tout simplement pour donner une originalité au présent article. En effet, je préfère m’adresser à ce superbe modèle, un peu comme si je me confierais en secret, loin des oreilles indiscrètes. Une chose doit être dite une fois pour toute : Tu es un modèle à la beauté exquise. Une beauté mise en valeur par l’ensemble des deux photos même si l’une des deux l’accentue de manière fort appréciable tant sur le plan artistique que sur le plan visuel.

Ma chère Laurita

Comme je l’ai mentionné plus haut ta beauté est tout à fait exquise. La magnificence de tes cheveux lesquels semblent posséder la douceur de la soie, la perfection de ton visage qui peut saisir le plus difficile des hommes et la grâce toute féminine de ton corps font de toi un modèle qui ferait l’envie de bien des écoles d’art. Un corps agrémenté tant par des seins magnifiques et une vulve rasée font de toi une déesse en ce monde.

Chacune des photos pour lesquelles tu as servi de modèle rend grâce tant à ta beauté qu’à ta féminité. Toutefois, elles le font d’une manière qui leur est propre. Puisque je dois choisir l’une des deux pour commencer ma critique, j’opte pour celle réalisée en couleur.

La belle Laurita 3Pourquoi un tel choix? Tout simplement parce qu’elle accentue le regard sur les particularités de ton corps. Sois rassurée! Le regard dont il est question est empreint de respect à ton égard tout comme celui du photographe qui a eu la chance inouïe de travailler avec toi à l’occasion de cette séance. Des particularités qui, un peu à l’image d’une carte géographique, nous font découvrir des zones que seuls des yeux expérimentés peuvent percevoir.

Je prends ces deux exemples à titre explicatif. En premier lieu, les aréoles des seins et les bordures des grandes lèvres donnent, et ce par leurs teintes, à la photo un cachet unique. Certes, il s’agit d’un cachet unique mais loin d’être vulgaire puisque cela est englobé dans un ensemble de couleurs où l’harmonie est de mise. En second lieu, une telle harmonie transpire dans chacune des parties qui composent cette photo. L’on a qu’à regarder la progression des couleurs de l’avant-plan à celles de l’arrière-plan pour s’en rendre compte. En effet, elles passent du rose aux différentes teintes de bleu avec le bois de l’éventail lequel me fait penser à un soleil. Ce dernier point était-il voulu par le photographe? C’est possible.

Le tout est entrecoupé par la présence, loin d’être désagréable pour les yeux, des bas noirs que tu portes avec grande classe. Une telle classe témoigne de ton professionnalisme et celui du photographe. C’est tout à votre honneur.

Que puis-je écrire à propos de la photo réalisée en noirLa belle Laurita 2 et blanc ? Quelle serait davantage conforme à ce que l’on attend d’une photo où la nudité artistique est présentée ? Qu’a-t-elle de si particulier par rapport à la précédente ? Et pourquoi devrais-je autant m’y intéressé ? Voilà les questions auxquelles je vous apporte des réponses.

Tout d’abord, il m’est apparu impératif de m’y intéresser puisqu’elle se situe être aux antipodes de la précédente. Non pas dans le sens d’être de mauvais goût mais plutôt d’être tout aussi belle tout en étant fort différente. Des différences qui sont perceptibles pour tout amateur d’œuvres où le corps est présenté dans son plus simple apparat.

La première différence réside dans l’arrangement propre au noir et blanc. C’est-à-dire que l’on assiste à une fonte graduelle de ces deux réalités visuelles. (1) C’est un fait indéniable : les réalisations en noir et blanc possèdent une douceur tout à fait remarquable. Je dirais même qu’elles peuvent cacher certains défauts plus visibles dans les réalisations en couleur.

La deuxième différence se trouve dans le jeu de lumière. En effet, les couleurs que l’on voit dans la première photo deviennent à leur tour une accentuation des teintes passant parfois du blanc au noir avec une progression lente du gris. J’ai à titre d’exemple les barreaux de l’éventail qui n’a plus cette caractéristique de me faire penser au soleil. Ce qui n’enlève rien à l’éclat du résultat final.

La dernière différence, et possiblement la plus notable, concerne la capacité de rendre une photo de nudité plus conforme aux normes non écrites liées au nu. Désolé pour l’exemple qui suit mon propos. Mais, sans vouloir me justifier pour un tel choix, je vous dirais qu’il n’en a pas d’autres d’aussi appropriés dans les circonstances. En l’occurrence, la visualisation bien perceptible de l’anus du modèle diminue de manière significative le caractère artistique d’une telle photo.

Aussi utile est cet orifice, je ne crois pas qu’il soit tout à fait approprié que l’on puisse le voir de manière aussi visible au sein d’une photo de nu. Personnellement, et c’est mon humble opinion, un filtre aurait été appréciable pour amoindrir sa présence. Un peu comme le fait de jeter un voile pudique afin de mettre davantage l’accent sur le reste de cette œuvre. Ce qui, tu dois sûrement t’en douter, n’ôte en aucun cas à ton charme.

En résumé, je préfère la seconde photo à la première. Certes, il existe d’autres éléments qui peuvent davantage appuyer mon choix. Lesdits éléments sont trop longs à énumérer dans ce présent article. Peut-être à l’exception d’un seul, celui de devenir un superbe fond d’écran pour mon ordinateur.  (2)

Chère Laurita, ce fut avec un plaisir immense que j’ai partagé avec toi et avec mes nombreux abonnés ma critique sur l’ensemble de ces deux photos dans lesquelles ta beauté toute féminine y est présentée de manière très agréable.

RollandJr St-Gelais de Québec au Canada

(1) J’ignore comment dire les choses autrement puisque le noir et blanc, si je me fis à mes rares cours d’arts à l’époque du lycée, ne sont pas des couleurs à proprement parler. J’ai donc opté pour réalités visuelles afin de faciliter la démonstration de mon point de vue.

(2) Il est à noter qu’il en est de même pour la photo réalisée en couleur. Ce qui prouve qu’une telle photo a été faite presque à la perfection.

 

Chaleur de l’instant

Chaleur du moment
DeviantArt du photographe RickB. : https://rickb500.deviantart.com/ Pour acheter un exemplaire du portfolio, écrire à cette adresse email : rickB@arcor.de

Chaleur de l’instant

Bonjour tout le monde,

Vous savez depuis que vous suivez la publication de mes articles, que ce soit sous la forme de proses ou bien de poèmes, au sein de mon blogue artistique que l’un de mes objectifs est de transmettre l’instantanéité du ressenti à l’égard des modèles, hommes ou femmes, qui jalonnent les réalisations photographiques découvertes au fil de mes correspondances avec des photographes du monde entier. De telles correspondances ont favorisé une ouverture d’esprit chez votre humble serviteur.

Soyez rassurés ! J’ai conscience de la chance qui m’est offerte de pouvoir échanger avec des gens appartenant à des cultures à la fois linguistiques et historiques différentes les unes des autres. Des différences qui nous enrichissent mutuellement. C’est là une opportunité qui, à l’instar de l’étoile filante dans le firmament, doit être saisie dès que l’occasion se présente. Une occasion qui, trois fois hélas, semble être passée sous silence dans notre mode actuel où tout ce qui est futile a remplacé de manière irrévocable l’essentiel.

Or, l’essentiel n’est-il pas de savoir saisir la chaleur de l’instant? Une chaleur qui réchauffe la profondeur de notre être et ce, dans ces moindres parcelles. Qui dit savoir saisir, dit aussi savoir attendre le bon moment. Pour se faire, le temps écoulé n’a aucune importance puisqu’une seconde d’attente a la même valeur qu’une heure ou bien une journée entière. Parfois, il suffit d’un heureux hasard pour trouver la pose parfaite, c’est-à-dire celle qui a su capter, tel un rayon de soleil par un matin automnal, le rayonnement inhérent du sujet.

Réussir un tel exploit est digne de mention. En effet, pour paraphraser une parole de l’évangile, beaucoup sont appelés mais peu sont élus. Dit autrement, plusieurs artistes tentent d’attraper en douceur l’immédiateté d’un moment vécu. Chose davantage plus facile qu’à faire, et ce, peu importe le support utilisé. Or, c’est avec un plaisir immense que je vous présente une telle œuvre rarissime.

Une œuvre photographique qui joint à la perfection la beauté féminine, la luminosité des lieux et une sensualité du modèle. Une beauté féminine remarquable, une luminosité qui agrémente notre regard et une sensualité du modèle qui lui donne un léger cachet de ce que je qualifierais de quasi mystique. Ce sont là trois éléments qui démontrent le professionnalisme de mon ami et collaborateur Rick B., d’Allemagne.

Je vous remercie de m’avoir lu.

RollandJr St-Gelais
Québec (Québec)
Canada

English version

Heat of the moment

Hello everyone,

You know since you follow the publication of my articles, whether in the form of proses or poems, in my art blog that one of my goals is to convey the immediacy of feeling towards models, men or women , which mark the photographic achievements discovered through my correspondences with photographers from all over the world. Such correspondences have fostered an open-mindedness in your humble servant.

Rest assured! I am aware of the opportunity to interact with people from different linguistic and historical cultures. Differences that enrich each other. This is an opportunity that, like the shooting star in the firmament, must be seized as soon as the opportunity arises. An opportunity that, three times alas, seems to have been ignored in our current mode where all that is futile has irrevocably replaced the essential.

But isn’t it essential to know how to capture the warmth of the moment? A heat that warms the depth of our being and this, in these small estities. Who says know how to grasp, also says to know how to wait for the right moment. To do so, the time elapsed does not matter since a second of waiting has the same value as an hour or a whole day. Sometimes it only takes a happy coincidence to find the perfect pose, that is, the one that has captured, like a ray of sunshine on an autumnal morning, the inherent radiance of the subject.

To achieve such a feat is noteworthy. Indeed, to paraphrase a word of the gospel, many are called but few are elected. In other words, several artists try to gently catch the immediacy of a lived moment. This is easier than it is, regardless of the medium used. However, it is with immense pleasure that I present to you such a rare work.

A photographic work that perfectly combines the feminine beauty, the luminosity of the place and a sensuality of the model. A remarkable feminine beauty, a luminosity that embellishes our look and a sensuality of the model that gives it a slight stamp of what I would describe as almost mystical. These are three elements that demonstrate the professionalism of my friend and collaborator Rick B., from Germany.

Thank you for reading me.

RollandJr St-Gelais
Quebec City
Canada