- Photo réalisée par mon ami Joel Pèlerin
Où je préfère ?
Veux-tu le savoir ?
Pourtant depuis que tu me connais,
Ne devrais-tu pas savoir ce qu’il me plaît,
Que tu as la chance de mon corps d’ébène le voir.
J’adore lorsque tu admires mon savoir-faire,
Car rien n’égale mes mains expertes sans vouloir te déplaire,
Mains adroites qui me caressent avec passion tout doucement,
Qui à chaque fois me satisfassent, crois-moi, assurément.
Me titiller délicatement les aréoles de mes seins,
M’exciter astucieusement l’entrée sacrée de mon vagin,
Imaginant en même temps ressentir la moiteur de ta langue,
Tel un sermon en chaire aux ouailles sur le plaisir qui harangue.
Mais, je n’en reviens toujours pas.
Que tu ignores ce qui vraiment me comblera,
Que mère nature a généreusement donné à sa fille adorée,
Un objet inestimable qui l’amène à coups sûrs au firmament étoilé.
Quoi de mieux qu’une plume d’oie ?
Pour satisfaire mes besoins comme il se doit.
Pour me procurer à chaque fois autant de merveilleux plaisirs,
Qui, peut-être un jour ou une nuit, deviendront de magnifiques souvenirs.
Ce cette plume d’oie qui longe mon corps d’Africaine,
Non, je n’ai point de honte d’avoir parfois des pensées vilaines,
Car dans mes veines coulent le sang chaud de la lointaine Afrique,
Dévoiler le secret de mon plaisir intime à mes amants c’est si féérique.
De