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Si
Si
Si je pouvais revenir
Ce que j’aimerais te dire
Comme je t’ai aimée
À toi, je m’étais attaché.
Si je pouvais comprendre
Cette crainte qui veut tout me prendre
Et par laquelle je perds tout y compris l’amour
Serais-je ainsi jusqu’à la fin de mes jours?
Si je pouvais revivre mon enfance
Y déceler cette faille qui englouti celles que j’aime
Revivre mon adolescence pour savoir qui je suis vraiment
Sûrement qu’aujourd’hui ma vie serait autrement.
Si je pouvais revenir sur mes pas
Et dire à mon père qu’un homme me suivait pas à pas
Sur le chemin de l’école qui allait devenir ma route de Damas
Route qui allait devenir fardeau à supporter telle une croix, hélas.
Si je pouvais arrêter cette culpabilité
Peut-être aurais-je moins peur d’aimer
Car il y a dans l’amour tant de raison d’exister
D’exister, de respirer et de sans cesse être émerveillé.
Avec des si, on mettrait Paris en bouteille à ce qu’il paraît.
Mais même avec tous les si en ce monde, mon mal de vivre est.
Si seulement je le pouvais, ce soir là je t’aurais serrée dans mes bras
Car vraiment je t’aimais plus que tout ma chère Victoria.
De
RollandJr St-Gelais
Québec (Québec)
Canada
Je ne peux pas te nommer…
Je ne peux pas te nommer…
Je ne peux pas te nommer,
Car je t’ai tellement blessée,
Sans le vouloir et sans le désirer,
Je voulais vraiment t’aider et t’aimer.
Mal de vivre m’accable depuis ce jour,
Qui me suivra pour toujours,
Tu symbolisais la beauté,
Celle que j’ai admirée.
Je ne peux rien faire,
Je ne peux reculer dans le temps,
Alors Voilà ! Qu’en emporte le vent !
Car Dieu m’en soit témoin je t’aimais vraiment.
Te nommer ? J’en suis point capable.
Car en mon cœur, je me sens coupable.
De ne pas vivre, de ne pas être allé plus loin
De ne point suivre mon chemin ni mon destin.
De
RollandJr St-Gelais
Québec (Québec)
Canada
Simplement fatigué
Simplement fatigué !
Simplement fatigué !
De toujours se sentir épié,
Que l’on doute de mon amour,
Matin, midi, soir et pour toujours.
Épuisé de vouloir être,
Et non pas devant vous paraître,
Mal de vivre en ce monde immature,
Où au fil du temps présent tout me torture.
Écrire ce que je ressens,
Sans pour cela être jugé pour autant,
Souvenir du passé lointain sont comme sable,
De ce sablier m’en libérer j’en suis encore incapable.
Désolé de blesser,
Par mon silence d’un homme blasé,
Je suis rendu au bout de ma longue route,
Car sans cesse m’envahissent bien des doutes.
De