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J’ai faim de toi
J’ai faim de toi
J’ai faim de toi,
Tu es un délicieux plat,
Laisse-moi te savourer comme il se doit,
Te goûter avec douceur et passion, permets-le-moi.
Laisse-moi découvrir la profondeur de ton intimité,
De cette intimité que tu as librement dévoilée,
À mes yeux qui scintillent de désirs inavoués,
Et de ma bouche, je saurai te combler.
Accroche-toi à mes mains,
Tu connaîtras enfin ton destin,
Avec ton sourire angélique, tu m’offres ce festin,
Pendant que j’entendrai ton haleine haleter tel un refrain.
Je sentirai les battements de ton cœur,
Ton sang coulera dans tes veines à cent à l’heure,
Tu connaîtras enfin l’apothéose sans aucune peur,
Tu en redemanderas sans cesse avec des cris et des pleurs.
Je fouillerai avec prudence chaque coin,
Alors que tu me tiendras la tête de tes mains,
Entre tes mains, je serai ton bibelot, ton pantin,
Ce jouet qui te fera monter au septième ciel jusqu’au matin.
Alors mon amour, ma chérie.
Installe-toi confortablement, je t’en prie.
Tu es si belle dans cette luxure alors que tu souries,
J’ai tellement faim de toi que je te dégusterai toute la nuit.
De
Rolland Jr St-Gelais
Québec (Québec)
Canada
Oseras-tu ?
DeviantArt du photographe RickB. : https://rickb500.deviantart.com/ Pour acheter un exemplaire du portfolio, écrire à cette adresse email : rickB@arcor.de
Oseras-tu ?
Tiens ! Te voilà ?!
Où étais-tu ? Réponds-moi.
En cette journée, j’ai si envie de toi.
Je t’attendais patiemment. Ô mon beau roi !
Du haut de cet escalier,
Sans cesse de venir je t’ai appelé.
Car à toi, je désire librement me donner.
De tout mon coeur, mon corps je t’offrirai.
Appuyée, je laisse les rayons du soleil me réchauffer.
En rêvant de recevoir sur mes fesses une suave fessée,
Toi mon maître qui sait si bien avec douceur réaliser,
Monte vite me retrouver dans cet espace réservé.
Dans ce lieu secret connu de nous deux,
Loin de ces hypocrites et de ces curieux,
Viens ! Viens ! Viens ! Oh oui, viens !
Pour toi, je fredonnerai ce refrain :
N’attends qu’il soit trop tard,
Car nul ne sait l’heure de son départ,
Mais tout ce que je veux, ce que je désire,
C’est que tu m’entends jouir à chaque fois que je respire.
Oseras-tu venir me chercher ?
Oseras-tu une seule fois essayer de me dompter ?
Oseras-tu faire de moi ton objet, ton jouet, ton bibelot ?
Oseras-tu enfin faire de toi un homme ? Toi, mon beau.
De