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C’est ma fête
C’est ma fête
C’est ma fête.
Mon Dieu ! Que je suis bête !
Je l’avais complètement oublié.
En cette splendide journée.
C’est le temps de s’amuser.
C’est le moment de s’embrasser.
Afin de passer ensemble du bon temps.
Car, hélas, cela n’arrive pas très souvent.
En cette fin d’été tellement ensoleillé,
Une chanson de Mungo Jerry, j’ai fait jouer.
En cette journée où il fait si chaud et tout est beau.
J’ai retiré sans hésitation mes fringues du bas et du haut.
Tant pis pour la fausse pudeur de certains individus.
Moi, je fais la vie qui me plaît même quand je suis nue.
Je n’attendrai pas leur permission pour faire si j’en ai envie.
Sont-ils coincés pour si peu ? Si oui, je leur réponds tant pis.
Aucune religion en ce monde ne m’empêchera de faire,
Ce qui m’enchante même au risque de me retrouver en enfer.
La seule foi que j’ai dans mon cœur est celle envers l’amour.
Que ma défunte mère a transmis et elle y sera pour toujours !
Aucun dieu ni diable ne réussira à me faire peur.
Car, tout ce qui compte à mes yeux, c’est le bonheur.
Être entourée par les gens pour qui j’ai un amour inconditionnel.
C’est ainsi que ma vie devenue au fil du temps si merveilleuse et si belle.
Ne serait-il pas le temps d’apprendre à nous apprécier ?
Face aux époques qui passent, nous sommes condamnés.
Avant de rendre l’âme, allons-y gaiement ! Festoyons librement !
Avant que tout soit terminé, réjouissons-nous follement !
De
Rolland Jr St-Gelais
Québec (Québec)
Canada
J’ai aimé tes bas de mailles
J’ai aimé tes bas de mailles
Je suis allé te rencontrer,
Après être allé prendre le souper,
Afin de me donner de la force,
Pour te baiser de manière féroce.
J’avais téléphoné,
En début de soirée,
Je voulais réaliser un désir,
En espérant te faire aussi plaisir.
Je suis arrivé chez toi à l’heure convenue.
En bonne courtisane, tu étais à moitié nue.
J’étais un peu gêné d’avoir recours à tes services.
Je ne savais faire autrement pour assouvir mon vice.
Tu portais des bas de culottes faits de mailles.
Tout ce que j’avais demandé était assez original.
Pourrais-je faire l’amour avec une pure étrangère ?
Voilà le fantasme que je désirais tant satisfaire.
Toi et moi sommes allés avec calme vers le salon,
Où jouait, en une langue ancestrale, une chanson.
Tout en étant bien à l’aise sur les dossiers du sofa,
J’ai commencé à admirer ce qui s’offrait à moi.
Quelle danse lascive que tu as accomplie !
Ce qui a donné vie à mes coupables envies.
Me faisant signe de retirer mes vêtements,
J’ai acquiescé à ta demande prestement.
De ton regard si langoureux,
Tu m’invitas dans ta chambre bleue.
En contemplant la droiture de ma verge.
Car, tu n’étais plus depuis longtemps vierge.
Étendu sur le dos, avec grande confiance, je t’ai laissé faire.
Après tout, n’étais-tu pas en ce lieu l’experte en la matière ?
Voyant avec bonheur que j’étais prêt à te rendre hommage,
Tu retiras alors tes bas de mailles et ce fut bien dommage.
Avouons-le ! Ils faisaient si bien sur toi.
Ils me donnèrent tant de rêves bien grivois.
Tu avais deviné, sur mon visage, mon chagrin.
Et pour me consoler, tu les déposas dans mes mains.
Ils sentirent le doux arôme de ton parfum.
Quel désir monta en moi que nous fassions qu’un.
Que cette nuit soit mémorable à travers les âges.
Arrêtons de jouer les enfants adorables et sages.
Je reconnais avec joie que j’ai aimé tes bas.
Mais, en réalité, mes yeux étaient fixés sur toi.
Comme tu étais belle en cette chambre aux péchés.
J’espère jusqu’au matin te choyer sans m’épuiser.
De