Il y a dans le modèle vivant, (j’en réfère ici aux cours de Marcel Rousseau au Moulin des Arts (hélàs défunt) quelque chose de sacré… comme une communion où l’érotisme du nu se transcende en ce que la beauté de cet objet qu’est le corps ouvre notre perspective sur notre être même au sein d’un univers infini…
Il y a dans le modèle vivant, (j’en réfère ici aux cours de Marcel Rousseau au Moulin des Arts (hélàs défunt) quelque chose de sacré… comme une communion où l’érotisme du nu se transcende en ce que la beauté de cet objet qu’est le corps ouvre notre perspective sur notre être même au sein d’un univers infini…
Merci beaucoup pour votre commentaire qui est très apprécié.