Je danse sur les notes de mon violoncelle Déc8 Je danse sur les notes de mon violoncelle Poème de Rolland Jr St-Gelais Dessin par DerBuettner Source : https://www.deviantart.com/derbuettner/art/Musician-1000325566 Inspiré par Emden09 Source : https://www.deviantart.com/emden09 Je danse sur les notes de mon violoncelle Je danse sur les notes de mon violoncelle, C’est alors qu’en mon esprit ma vie me paraît si belle. Avec tout l’amour indéfectible qui habite mon cœur, Je fais sortir avec tendresse les cordes de leur torpeur. L’existence est pareille à un long fleuve que l’on parcourt. Une carte sur laquelle on trace une ligne sans contours. Nous apprenons à force de naviguer sur les eaux. Sous un ciel, parfois orageux, à l’occasion beau. Les ficelles tremblent au fil de mes larmes versées. Quand je pense aux êtres que j’ai tant appréciés, tant aimés. Plusieurs d’entre eux ont disparu dans le brouillard de mes souvenirs. Ces réminiscences d’une époque qui m’a donné si envie de vivre. De mes doigts, je saisis l’archet qui embrassera les cordes d’un long baiser. Je le ferai, avec une aisance propre, sur ces chemins de métal, valser. Ils s’uniront tels des soupirants pour exprimer une luxurieuse passion. Un amour qui, depuis mon adolescence, est de survivre, ma raison. Maintenant que tout est depuis belle lurette une chose du passé. En mon âme, ce temps si précieux, je ne pourrais jamais l’oublier. Il m’avait permis de garder mon regard perçant vers l’horizon. Nos mains s’enlacèrent alors que tout était si pur, si bon. Les grains fins du sablier sont à jamais perdus. Laissant sur ma peau les signes d’un lourd vécu. De mes rêves allaitaient de leur nectar mes espoirs. Telle une sève s’écoulant d’un érable à la tombée du soir. Aujourd’hui, il me reste plus que mon violoncelle. Pour me rappeler en ce lieu que je suis encore belle. Que je dois continuer d’aller sans cesse droit devant ! Puisqu’il se trouvera toujours un soleil levant. De Rolland Jr St-Gelais Québec (Québec) Canada Partager :Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)J’aime ça :J’aime chargement…
Afin d’immortaliser cet instant de bonheur Déc22 DeviantArt du photographe RickB. : https://rickb500.deviantart.com/ Pour acheter un exemplaire du portfolio, écrire à cette adresse email : rickB@arcor.de Afin d’immortaliser cet instant de bonheur Viens près de moi, Nous sommes seuls moi et toi, La journée ne fait que commencer, Sous le ciel bleu et les terres familiales enneigées. Ces terres où nous nous sommes rencontrés Lorsque nous étions encore des enfants Il me semble que cela ne fait pas si longtemps C’est en dessous du vieux chêne, je t’avais embrassée. Comme le temps à passer Tes cheveux brillaient sous le soleil d’été Je l’avoue lorsque je t’ai connu un peu gêné j’étais Car quelque chose me disait que déjà je t’aimais. Nous avons poursuivi chacun son chemin Accomplissant de son mieux son destin J’avais choisi d’étudier le piano Et toi, le chant, tel un soprano. Nous avons réussi haut la main tous nos examens Nos parents nous applaudissaient à chaudes mains Quand nous avons reçu avec une immense fierté nos diplômes Mais au fond de nos cœurs, nous étions comme des mômes. Maintenant que nos parents vers un autre monde sont allés Car peu importe la richesse ou la pauvreté, nul ne peut être épargné Nous nous sommes épris l’un de l’autre comme l’a voulu la vie Tu es devenue la femme dont mon cœur pour toujours s’est épris. Au pied de l’autel, nous avons dit oui. En se promettant l’un à l’autre un amour infini En buvant dans la coupe sacrée de ce vin Nous avons juré d’unir à jamais nos destins. Accompagne-moi pour cette mélodie Que je joue sur mon piano pour toi ma tendre chérie Et de ta voix harmonieuse, chante de tout cœur Afin d’immortaliser cet instant de bonheur. De RollandJr St-Gelais Québec (Québec) Canada Partager :Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)J’aime ça :J’aime chargement…
Mouvements de l’ombre Juil26 DeviantArt du photographe RickB. : https://rickb500.deviantart.com/ Pour acheter un exemplaire du portfolio, écrire à cette adresse email : rickB@arcor.de Mouvements de l’ombre Mouvements saccadés, Avec des pas sur la pointe des pieds, De mes pieds, après avoir tant dansé, si fatigués. Mais, pour celui qui me regarde je continuerai à danser. Car telle est ma destinée, Ma seule raison d’être depuis que je suis née, Née dans un pays où les pianos sont adulés par la noblesse, Par leurs notes exprimant avec précision tant la haine que la tendresse. Mais en dépit de cette fatigue, je continuerai toujours à valser. C’est là que je trouve ma raison de vivre, ma raison d’exister. Car c’est sous les notes de pano que je peux respirer, Et de mes pas de danse, en ces lieux gambader. Par Satie et ses quelques amis, Qui, pour moi, composèrent ces tristes mélodies. En voyant en ma féminité, une gnose tellement envoûtante. Qu’ils la perpétuèrent en une complainte si étonnante. Me rappelant en mon âme comme le temps peut sembler être figé. Telle une blanche banquise figée par le vent glacial sur une mer givrée, Et puisque le temps qui m’a fait honneur de ces mille secrets racontés, Je jure par les mouvements de mon ombre, en moi je les garderai. Je les garderai et les protègerai sans relâche à tout jamais, De ces gens qui se croient sages mais combien ils sont niais. À tant s’évertuer de percer les mystères de l’existence humaine, Au sein des mots griffonnés dans des grimoires aux écritures vaines. De RollandJr St-Gelais Québec (Québec) Canada Partager :Cliquez pour partager sur Twitter(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Facebook(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Reddit(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur LinkedIn(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Tumblr(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Pocket(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Pinterest(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour imprimer(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquer pour envoyer un lien par e-mail à un ami(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur WhatsApp(ouvre dans une nouvelle fenêtre)Cliquez pour partager sur Telegram(ouvre dans une nouvelle fenêtre)J’aime ça :J’aime chargement…