Quel grand sein!
Quel grand sein!
Quel sein à prier!
Quel sein à vénérer!
À vénérer avec les mains!
De mes mains que je n’ai pas
Ce n’est point de ma faute c’est comme ça
Ce que je donnerai pour lui rendre hommage
Comme il se doit avec des pensées bien sages
Quel grand sein divin!
Que je ne pourrai que contempler
Sur ma toile avec ma plume trempée
Pendant qu’il est ferme sinon ce serait en vain.
De cette majestueuse auréole
Aussi mystérieuse qu’une parabole
Promulguant une foi que j’embrasserais
De mes lèvres avec délicatesse à souhait.
De
RollandJr St Gelais