» Ne dérangez pas la jeune dame qui dort d’un sommeil profond. Qui sait à quoi peut-elle bien rêver ? À son amoureux ? À son amant ? Ou bien aux deux ? Serait-ce plutôt à moi ? Pourquoi pas ? Quelle chance inouïe d’être à ses côtés ! Bienheureux l’élu de son cœur et quel grand malheur pour ses prétendants éconduits. «