Vous savez ! Cela fait maintenant plus de 19 ans que je reste dans la belle ville de Québec, sans compter ma période d’étude à l’université Laval où je résidais à même sur le campus, et ce de 1983 à 1996. En effet, j’ai profité de ces années d’études pour élargir mes connaissances tant en histoire, en sciences politiques et en communication publique. Je dois ma passion pour la connaissance à ma défunte mère qui a fait tout en son pouvoir afin de m’inculquer le goût de la lecture et, par conséquent, l’ouverture sur le monde.
C’est ainsi que j’ai fit la connaissance de gens extraordinaires avec qui les échanges d’idées m’ont amené à évoluer au fil du temps. Il va de soi que notre perception du monde se transforme selon nos expériences personnelles et la réalisation de nos projets lesquels peuvent être des réussites ou bien des échecs. La vie est ainsi faite. C’est là une vérité que nul d’entre nous ne peut se soustraire. Et, croyez-moi sur parole, il en va de même pour votre humble serviteur.
Or, j’ai eu l’opportunité de m’investir dans des domaines qui m’étaient, semble-t-il, interdis vu ma situation physique dont la pratique des arts martiaux et le monde du modèle nu. En ce qui concerne ce dernier, cela m’a parmi de faire la connaissance de gens tout à fait magnifiques et avec qui j’ai approfondis davantage mon bien-être intérieur face à la particularité de mon corps. Inutile d’en dire plus à ce sujet. N’est-ce pas ?! Toutefois, il m’est arrivé en certaines occasions de découvrir que quelques-unes de mes connaissances avaient la même passion en ce qui regarde la nudité artistique. Une nudité qui est aux antipodes de ce que le web regorge en fait de pornographie car son but premier est avant toute chose la recherche de la beauté en évitant de sombrer dans la vulgarité.
C’est ainsi que j’ai trouvé quelques photos réalisées par une de mes amies de Québec au fil de nos discussions sur le réseau social Facebook. Qu’ai-je ressenti en voyant, je devrais plutôt écrire en admirant, les photos de mon amie Mélia Niang ? Tout d’abord, je fus ébahi par le charme qui se dégage de chacune de ses photos. Un charme typiquement féminin où l’œil averti peut y déceler avec aisance la recherche de la perfection non seulement dans les poses choisies mais aussi dans l’expression corporelle de ce modèle féminin exceptionnel.
Ensuite, la sensualité y est présente mais de manière réellement respectueuse à l’endroit de Mélia Niang. Elle a su tenir les poses de manière à éveiller la masculinité, voire ici le désir bien légitime d’aller vers l’autre sexe, tout en amenant une profonde réflexion sur la féminité chez votre humble serviteur. Pourquoi est-ce si beau ? Pourquoi suis-je si attiré ? Et, corollairement, par quoi suis-je vraiment attiré ? Autrement dit, quelle est donc la force attractive de ces photos ? Enfin, force est de constater que je fus étonné que l’une de mes connaissances de Québec ait accepté de collaborer à une telle séance photo, surtout en ce qui concerne Mélia Niang, car jamais elle ne m’avait fait part de son intérêt pour un tel domaine lors de nos rencontres à la brûlerie limoilou de Québec.
Quoiqu’il en soit ! C’est vraiment avec une joie indescriptible que j’ai fait une telle découverte. Je profite de l’occasion qui m’est offert pour la remercier d’utiliser ces photos dans l’optique de rédiger le présent article.
Et, qui sait ?, nous vivrons peut-être une séance de nudité artistique dans le futur. Tout est possible dans la vie. N’est-ce pas ?
Oui Rolland, tout est possible ! Merci pour ce beau partage ! 🙂
Merci pour ton commentaire, cher ami.