De ce collier

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De ce collier

 

Eh bien oui ! Voilà déjà un an,

Toi et moi jouions tels des enfants !

En ce pays de rêves ! En cette mer où vivent les sirènes.

J’adorais te voir sourire même si jamais tu ne serais mienne.

 

De ton corps, j’en ai eu respect total.

Sans jamais oser, ne fut-ce un instant, te faire mal.

Car, vois-tu ?, je t’avais promis petit coin de terre et de paradis.

Simplement pour t’exprimer ma gratitude que tu sois mon amie.

 

Mais, triste secret en mon cœur, en ces jours.

C’est là où mon cœur me fit découvrir mon amour,

Un amour qui me fit peur, peur à en perdre la raison.

Au risque de vouloir quitter ce corps dont mon âme fit sa maison.

 

Et puis, le temps fit son noble devoir.

Éviter plaies et blessures, j’ai préféré ne plus te revoir.

Douleur fit place à résilience avec le soleil levant et soleil couchant,

Voilà le chemin que bien des hommes font au gré du temps et du vent.

 

De ce collier offert un soir de fête au clair de lune,

Offert à toi avec joie et maintenant sans amertume,

Car je sais bien aujourd’hui que noblesse de mes intentions,

Accompagna chacune de mes petites et grandes marques d’attention.

 

De

 

RollandJr St-Gelais

Québec (Québec)

Canada

3 réflexions au sujet de « De ce collier »

  1. que de regrets…. c’est vraiment triste pour toi d’être passé à côté de ce paradis …… essaie d’y retourner

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