Il y a de ces silences
Il y a de ces silences qui font mal,
Qui nous poussent vers amont et aval,
Dans un tourbillon incessante de la vie,
À ces questions qui semblent infinies.
Silences qui tuent à petit feu,
Qui nous brisent l’âme peu à peu,
Qui nous rappellent la légèreté de nos pas,
D’un temps passé jusqu’à trépas.
Ô silence lourd!
Toi qui nous rend sourd,
De nos temps de joie et de sourire,
Devenus temps où l’on ne fait que souffrir.
Brisé sois-tu jusqu’à je me sois tu,
De ma solitude mon âme en est repue,
Quitte-moi je t’en conjure à jamais,
Dans les limbes où je t’oublierai.
De
j’adore!
Superbe
Merci infiniment pour votre commentaire.