Pourquoi?
Dis-moi, ô belle rousse de mon cœur.
Dis-moi, car tu me fais un peu peur.
Toi que je ne peux t’admirer cette beauté.
Femme de printemps ou bien d’été!
Serais-tu un songe d’une nuit sans fin?
Un fantasme que m’accable tel un cruel destin?
Dis-moi, tout doucement « pourquoi me regardes-tu? »
Quelle est ma faute à laquelle m’aurais-je tue?
Je ne peux hélas supporter de tels yeux.
Ces rubis si flamboyants, si merveilleux.
Dis-moi, de quelle accusation m’accable t-on?
Afin que je puisse me défendre devant le Dieu de Sion.
De