Bien le bonjour amis et amies, vous qui suivez les publications de mon blogue dédié au domaine artistique et au monde du nu. J’espère de tout mon cœur que vous avez pu profiter du temps magnifique qui recouvre actuellement la belle région de Québec, et ce depuis quelques jours. Cette période de beau temps est propice à parcourir les rues de notre belle ville si ce n’est d’explorer les coins de la campagne.
En ce qui me concerne, j’adore me balader dans le quartier Limoilou de Québec à la recherche de sujets, un peu comme un explorateur à l’affut d’un animal rare pour lequel quelques photos prises sur le vif serviront à en immortaliser sa rencontre. J’ai donc profité de ce dimanche dédié aux «journées de la culture de Québec » pour rencontrer une artiste formidable de ce quartier à la fois simple et pittoresque. Je le dis d’emblée! J’ai été ébahi tant par son ouverture à l’égard de votre humble serviteur que par son talent sans oublier bien sûr son charme féminin irrésistible.
Je fus agréablement surpris par l’orientation artistique de cette jeune dame. En effet, ce fut la première fois que j’ai eu la chance de découvrir ce que l’on nomme dans le jargon « le mouvement artistique du street-art » puisque cette artiste est, semble-t-il, une véritable passionnée de tout ce qui a trait à la culture urbaine. Comme il est indiqué sur son site web, Marie-Claude Grou «… applique la technique du pochoir et du graffiti à l’aérosol acrylique et au pinceau. Elle s’exprime tant sur les murs, le bois ou les toiles. Sa démarche artistique est en constante évolution.»1
Comme elle me l’a elle-même avoué, Marie-Claude Grou a été depuis toujours influencée par sa mère, du nom de Johanne Gauthier, qui est elle aussi une artiste reconnue à Québec. Toutefois, elle a adopté son propre style pour lequel elle possède un talent sans contredit immense. Vous pouvez aisément le constater par vous-mêmes en visionnant les photos que j’ai réalisées avec la permission de l’artiste.
Marie-Claude Grou a déjà un vernissage à son actif. Il a eu lieu du 15 au 23 août 2013 et, selon les dires de plusieurs, ce fut un franc succès. Je suis persuadé que le succès lui ouvrira ses portes car elle possède le talent nécessaire pour percer dans ce club très sélect de la culture urbaine. Il est à noter qu’un autre vernissage est prévu du 28 septembre au 12 octobre à la brûlerie St-Roch de Québec.
C’est grâce à des artistes comme Marie-Claude Grou et bien d’autres que le domaine artistique rayonnera encore pour les années à venir tout en étant accessible pour le grand public.